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Full text of "La liberté et le patriote (1954-02-19)"

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anti-religier : au Mexique 


tribunal s'est fondé sur l'articie, Par ailleurs, l'aspect antire- 
27 de la Constitution qui pres-| ligieux de la loi de 1917 se re- 
crit: “Les églises destinées au!flete dans la répugnance mani- 
culte public appartiennent au!feste qu'éprouve le Bureau du 
peuple, représenté par le gou-| cinéma, ministère de l'Intérieur, 
vernement fédéral, qui détermi-| à approuver la présentation d'un 
nera quelles églises continue-| film ‘religieux, “Le ce de 
ront d'être affectées à cette fin”’,| la gloire”, où le rôle principal 
L'article 130 de la charte établit} est dévolu au Père Méethn, 
que la loi ne reconnait pas d'en-! O.F.M., ancienne vedette. de la 
tité juridique à tout groupement | chanson et du film mexicains. 
religieux désigné sous le nom |Le gouvernement retarde à au- 
d'Eglise. Les mêmes dispositions | toriser la présentation de la pel- 
s'appliquent aux résidences épis- | licule en alléguant certaines dif- 
copales et aux presbytères, |ficultés indéfinies. 


MEXICO Des événe- 
ments récents ont rappelé du- 
remént que l'Eglise catholi- 
que et la religion en général 
sont encore soumises à de sé- 
vères restrictions au Mexi- 
que, en vertu de la constitu- 
tion de 1917, En effet, la lé- 
£islation adoptée cette année- 
la a rendu les mariages civils 
obligatoires, interdit les écoles 
privées, mis hors la loi l'instruc- 
tion religieuse dans les écoles de 

Etat; elle niait également aux 
Eglises le droit de posséder ou 
d'admimisirer des biens, et pro- 


bait toute manifestation reli- 
Lieuse en public. 


S. Exc. Mr R. Duprat, 0.P.. 
est décédé à l'âge de 76 ans 


an esprit 


Fer PA! 


WINNIPEG, VENDREDI 19 FEVRIER 195 


me 


d / 
p,, 


V 
NW 
AY 
© 


[UTE 


bRIX: SEPT CENTS 
_— 


N- 


SHERBROOKE — S. Exe.| 


|Mgr Georges Cabana, arche- | 


| vêque de Sherbrooke, a décla- 
ré que l'établissement d'une | 
université à Sherbrooke est 
“un projet de cent ans”. Mais | 
l'université ‘aura des débuts | 
|modestes et elle grandira et | 
progressera avec les années et 


à mesure que nous aurons les 
moyens de la faire se développer”, | 
Il Qcommentait l'annonce par| 
l'hon. M. Duplessis que son gou- | 
vernement présentera un projet | 
de loi pâr lequel on accordera le 
rang d'université au séminaire 
| St-Charies Borromée, de Sher- | 
brooke l 
Mgr Cabana a dit que la Sa-| 
crée Congrégation des séminai- | 
|res et des universités, à Rome, | 
| a approuvé il y a quelque temps | 


AU COMPTANT 


Interdiction d'un film catholique 
Dernièrement, la Cour supré- 
a réaffirmé que nulle Eglise 
! droit de posséder des 
biens{onds; d'autre part, le gou- 
rnement à interdit jusqu'ici 
la présentation d'un nouveau | 
film catholique, en 
qu'elle constituerait une mani- 
festation religieuse en public. 
Depuis longtemps, on n'avait 
vu de pareil. La Cour su- 
prème a rendu son verdict dans 
me cause où deux sectes pro- 
testanies 
de Bétel et l'Assemblée de Dieu 
se disputaient sur l'usage d'un 
centre de culte dars la capitale. 
Le tribunal à statué que les ter- 


n a 4€ 


rien 


rains appartenaient à l'Etat mais | 


pouvaient être utilisés conjoin- 
tnment par les deux groupe- 
le 


ments, Dans cette décision, 


Des Soeurs cloîtrées 
sont victimes du froid 


FERRARE — Dix religieuses 
cloitrées sont mortes et douze 
sont tombées malades depuis le 
debut de l'hiver pour avoir man- 
que d'une protection suffisante 
contre le froid, particulièrement 


rigoureux dans la région cette] 


année, 

C'est ce qu'a annoncé S. Exec, 
Mgr Roger Bovelli, archevé- 
que de Ferrare, en soulignant 
l'etat d'indigence extrême 


comprenant 96 religieuses des 
ordres des Carmélites, des Capu- 
cins, des Clarisses, des Augusti- 
nes et des Bénédictines, | 

Au couvent des Carmélites, il | 


n'y avait pas de chauffage, mé” | 


me à l'infirmetie. On sait que le! 
Saint-Siège, préoccupé de l'indi- 
gence extrême des religieuses | 
cloîtrées qui doivent vivre de! 
charité et du 


dans leur état, avait encouragé 
la suppression de certains cou- 
vents et la fédération de certains 
ordres, 


Un officier supérieur 
anglais devient trappiste 


LONDRES -— Le colonel John 
O'Connell, ancien directeur ad- 
joint des services médicaux de 
la division cuirassée britannique 
du Moyen-Orient, s'est fait moi- 
ne trappiste. I1 vient d'entrer au 
monastère de Notre-Dame et St- 
Samson, dans l'ile de Caldey, au 
large de la côte du comté de| 
Pembrooke. 

Le colonel O'Connell, qui est 
médecin, vient de quitter l'ar- 
mée et il étudie en vue de la 
trise avec les frères cisterciens 
de l'etroite observance, en com- 
pagnie de vingt autres moines, 

Dans son nouveau temple du 
nce, John O'Connell va me- 
ner la vie austère du trappiste, | 
repas simples, sans viande ni 
poisson, lever à 4 h. du matin et 
travaux des champs pendant le! 
Jour, 


sile 


. EX ! 
M. et Mme M. Wagner, de 


alléguant | 


l'Eglise chrétienne | 


= des | 
cinq rouvents cloitrés de la ville | 


eu de travail qu'il | 
leur est possible de se procurer | 


[nos étudiants de plus er plus 


Revenu à DRE le R. 

; #0 P. Duprat occupa plusieurs pos- 
Mgr Réginald Duprat, OP, | tes dans les couvents e son Or- 
i sv ince-Al- | dre. Mentionnons qu'il fut prieur 

* srhege eve à 7 ’ | à Fall River, dans le Massachu- 
bert de 1938 à 1952, est déce-| setts, puis à Québec, de 1926 à 
: i svri | 19289. 
dé le samedi 13 février . 7 C'est en cette année 1929 qu'il 
couvent des RR. PP. Domini-| fut chargé d'aller dans FO 
5 : id âce. | Canadien établir le couvent domi- 
peses à Notre Dame de Grâce, | nicain de Prince-Albert. En 1934, 
après quelques jours de ma-|;] était élu prieur du couvent de 
hp | Notre-D de Grâce, à Mont 
: tunis A é | Notre-Dame ce, 4 
ladie. Il était âgé de 76 + s| réal. C'est là qu'il se trouvait, 
aurait célébré le lendemain le lorsqu'en janvier 1937, il fut 


MONTREAL S. Exc.| 


| 50e anniversaire de son ordina-| nommé administi teur apostoli- 
| tion otale, que du diocèse de Prince-Albert, 
| Biographie à la démission du titulaire, S. 


Né à Beauharnois, le 27 août | Exe. Mgr Prud'homme, 
1877, l'ancien-évêque de Prince-|, Elu par Sa £ainteté Pie XI 
Albert avait fait ses études clas-| évêque de Prince-Albert, le 17 
siques au collège Ste-Thérèse et| mars 1938, Mgr Duprut fut sacré 
au collège de Montréal. I1 était! dans sa cathédrale par S. Exc. 
entré chez les Dominicains le 3| Mgr Monahan, archevêque de 
août 1899 et avait ete ordonné | Fe le 31 mai de la même 

rêtre à Tupper Lake, N.-Y., le : 0 LÉ os di L 
| n février 1004, par S. Exc. Mgr | Mgr Duprat avait démissionné 
| Gabriels, évêque d'Ogdensburg. | (Suite à la deuxième page) 


L'essor des écoles catholiques 


en Irlande du Nord est entravé 


| BELFAST —— S, Exec, Mgr 
Nigel Farren, évêque de Der- 
| ry, sur le littoral nord de l’Ir- 
| lande du Nord, a déclaré que 
les intérêts de l'instruction 
catholique en Irlande du Nord 
sont défavorisés par l'effet 
d'une influence sinistre. 
Selon l’évêque, toute tenta- 
, pe K F | 
tive visant à ménager de nou- 
veaux locaux pour les élèves | 
dont le nombre s'accroît au point 
d'atteindre actuellement 700, a 
été entravée par des ‘‘puissances 
occultes dans les six comtés”. 
Mgr Farren a précisé que les 
autorités municipales en matière | s 
d'instruction publique ont rejeté | posés à la collaboration, compré- 
une demande tendant à établir | hensifs. Mais les fonctionnaires 
une école élémentaire pour les | de tout service de l'état ne peu- 
catholiques de Maghera. Mais |vent prendre que les initiatives 
on a heureusement réussi à|que leur permettent les politi- 
les faire approuver, après avoir | ciens.” 
interjeté appel auprès du minis- a 
tre de l'Instruction publique. Grève des mineurs réglée 


Persécution des catholiques NORANDA -- Une grève qui 

“Mais les puissances occultes |se prolongeait depuis 6 mois et 
ont continué d'agir, ajoute le|impliquant quelque 1,500 mi- 
prélat; en moins d'un mois, une | neurs à la grande mine Noranda 
lettre émanant du Cabinet reti-| a été réglée quand une offre de 
rait cette permission et interdi-| la compagnie de 742 p. 109 d'aug- 
sait la construction de l'école | mentation du salaire horaire a 
élémentaire projetée.” été acceptée par les hommes. 

L'évêque a dit également: Les mineurs ont voté 654 con- 
“Nous avons récemment essayé | tre 125, samedi, pour reprendre 
de trouver des locaux pour une!le travail selon une base d'’'en- 
autre école dans la ville detente qui leur fournira des aug- 
Derry, ou du moins pour un ra-| mentations allant de 8 à 13 cents 
jout ailleurs qu'ici, afin de loger |l’heure. L’enterte conclue sera 
en vigueur pendant un an. 


nombreux; dans ce cas, encore, 
|nous nous sommes heurtés à un 
refus.” 
Entraves à l'édacation 
des enfants catholiques 

“Non seulement a4-on entra- 
vé aussi directement nos éfforts, 
mais il semble exister un comité 
dont le but est de 
ver l'instruction 
ques”, 

Où la politique intervient 

“Tout règlement édicté par 
l'Etat, touchant l'instruction pu- 
blique, semble faire l’objet d'un 
examen minutieux. On s'arrange 
pour que les catholiques en reti- 
rent le moins de profit possible.” 

“Par ailleurs, dit encore Mgr 
Farren, les fonctionnaires du mi- 
nistère de l'Instruction publique 
se sont montrés équitables, dis- 


la paroisse St. Andrew de Manitowoc, Wis., sont fiers de leur pro- 


pre club de football composé de leurs 11 fils que l’on voit ci-dessus alignés pour la bataille, sous la 
direction de leurs entraineurs, qui ne sont autres que leurs parents. On distingue, de gauche à droi. | 


s avant: Chérles, 


ur la “ligne” 


8 ans, Michael, 5 ans, Richard, 3 ans, Phillip, 2 ans, Nicholas, 4 


John, 6 ans et Anthony. 8 ans. Les joueurs d'arrière sont: Peter, 14 ans, qui tient le petit Joseph, 


de 6 mois, Maithew, 12 ans, 


age 


Le Cercle Molière prés 


demain soir, 20 fé 


au théâtre Playhou 


et Tom, 10 ans. (NCWC) 


entera 
Comédie 


vrier, à 8h. 30 
se de Winnipeg 


en À} actes 


CS Crusader, alors que ce navire était à l'ancre 
dans les eaux de Corée, ont té des cantiques pour les marins qui les recevaient. Les enfants 
ont passé des heures intéressantes et les membres de l'équipage aussi, en rendant la vie plus agréa- 
ble à leurs jeunes visiteurs. Les marins du Crusader furent surtout impressionnés par les bonnes 
manières des jeunes Coréens. ( } 


La Colombie Britannique compte le 


Ces jeunes Coréens, visiteurs à bord du HM 


| 


Un Franco-Américain supérieur 
général des Rédemptoristes 


MONTREAL — Le Révé- | 


plus grand nombre d'alcooliques 


TORONTO -- L’‘“Alcohol- 
ism Research Foundation of 
Ontario” publie les conclu- 
sions d’une enquête sur la 
consommation d'alcool au Ca- 
nada. Voici les faits qui res- 
sortent de ce rapport: 

Soixante-dix pour cent des 
Canadiens adultes consom- 


ment liqueurs, bière ou vin. La 
population boit maintenant plus 
de bière que de boissons for- 
tes. C'est en Colombie Britan- 
nique que le taux d’alcoolisme 
est le plus élevé, mais c'est en 
Ontario que la consommation 
d'alcool absolu est la plus forte 
par tête d'habitant. 

C'est Québec qui boîit is 
de bière. La consommation) 
boissons: fortes ) le- 
ment à ia population, est la plus 
élevée en Nouvelle-Ecosse: Le 
Canada est le sixième pays du 
monde pour le taux de l’alcoolis- 
me. 

La proportion de buveurs est 
plus élevée au Canada qu'aux 
Etats-Unis. La consommation 
moyenne d'alcool absolu a été 
‘en 1952 de 1.48 gallon par habi- 
| tant. 

Origine de l'enquête 

L'enquête porte sur des statis- 
tiques de 1871 à 1952. Elle com- 
pare la situation du Canada à 
celle des pays étrangers, pour 
la consommation d'alcool. “L'Al- 
coholism Research Foundation” 
fut établie, en 1949, dans un but 
d'étude et de traitement des al- 
cooliques, Financée par la pro- 
vince d'Ontario, elle est auto- 
nome. Son conseil d'’administra- 
tion se compose de dix représen- 
tants de divers corps publics. 

La hausse depuis 1921 

Le rapport établit la consom- 
mation en ‘alcool absolu’, c’est- 
| à-dire selon la teneur en alcool! 


de la bière, du vin, des boissons 
fortes: La consommation a aug- 
menté depuis 1921, alors qu'elle 
était de 0.54 gallon d'alcool ab- 
solu par habitant. Le taux d'al- 
cooliques était alors de 732 par 
100,000 habitants; il y avait 460 


condamnations pour ivresse per 
100,000 habitants. 

Pendant la période de 1946 à 
1950 la consommetion est mon- 
tée à 1.37 gallon par habitant, la 
proportion d’'alcooliques à 1,810 

(Suite à la neuvième page) 


Un évêque allemand réclame 
des écoles confessionnelles 


OSNABRUCK, Allemagne 
— Les “écoles chrétiennes 
unifiées” ne conviennent pas 
à l'instruction des jeunes ca- 
tholiques et entraînent même 


fdés dangers, déclare S. Exec. 


Mgr Wilhèém Berning, évé- 
que d'Osñabruck, dans une 
lettre pastorale. 

Exhortant les catholiques à 
résister aux tentatives que dé- 
ploie le gouvernement de la Sa- 
xe inférieure afin de fonder le 
régime d'instruction publique 
sur les “écoles unifiées”, la let- 
tre déclare: 

“Les catholiques exigent des 
écoles confessionnelles pour leurs 
enfants. Dans ce projet d'écoles 
unifiées, le christianisme ne se- 
rait qu’un faible souffle ou une 
mince couche recouvrant tous 
les sujets non religieux ensei- 


| des papes, tous les aspects de l’é- 
ducation des enfants doivent 
être pénétrés de l'esprit chré- 
tien.” 
Les écoles unifiées 

Sous le régime des écoles uni- 
fiées qu'on projette d'établir, les 
enfants de toutes les confessions 
| fréquenteraient Ja même école 


rendissime Père Guillaume 


ristes, a-t-on appris du mo- 
nastère des Pères Rédempto- 
ristes de St-Alphonse d'You- 
ville. 


Le R. P. Gaudreau est un Fran- 

co-Américain originaire de Bain- 
tree, Mass., dans le diocèse de 
Boston et est âgé de 55 ans. 
. Le nouveau supérieur général 
était depuis 9 ans supérieur vi- 
ce-provincial d'une vice-æprovin- 
ce redemptoriste qui comprend 
comme territoire une partie du 
Brésil et du Paraguay. 

Le R. P. Gaudreau succède, à 
titre de supérieur général de la 
Congrégation du T, S. Rédemp- 
teur, au R. P, Léonard Buys, dé- 


|! cédé l'an dernier. C'est le pre- 


mier supérieur général des Ré- 
demptoristes qui ne soit pas ori- 
ginaire d'Europe. \ 

La Congrégation du T. S. Ré- 
dempteur, fondée en 1732 par 
saint Alphonse de Liguori, est ré- 


| pandue sur Les cinq continents, 


dans 50 pays et compte 8000 
membres. | 
Les Reédemptoristes | 

dans le monde 
Le but premier de la Congré-| 
gation est constitué par les mis-1 


Gaudreau vient d’être élu su-| 
| périeur général de la Congré- 
| gation des Pères Rédempto- | 


sions. La maison-mère se trouve 
à Rome. La Congrégation est di- 
visée en 25 provinces et 29 vice- 
provinces, et comprenait 520 mai- 
sons en 1950. 

Au Canada, la maison provin- 
ciale pour les maisons de langue 
française se trouve à Ste-Anne 
de Beaupre, et celle pour les mai- 
sons de langue anglaise, à To- 
ronto. On trouve une maison vi- 
ce-provinciale à Edmonton. 


Le T.R.P. G. Gaudreau 


LA LIGNE DE CHANCE 


Direction et mise en scène de Pauline Boutal 


| gnés. Pourtant, suivant le conseil | 


publique et ne seraient séparés 
que pendant un nombre d'heu- 
res déterminé pour recevoir 


l'instruction religieuse confor- 
mément à la confession à laquel- 
le ils appartiennent, 


Mgr Berning a sui que 
ement des catholiques 


l'attach 
aux écoles publiques catholiques d 
découle du droit naturel et s’ap- 


puie sur le Concordat conclu à 
vec l'Allemagne en 1933. Enga- 
geant les fidèles à ne pas se 
laisser prendre à l'improviste 
par les événements, il a ajouté: 
“Vos évêques s’attendent à ce 
que, en votre qualité de citoyens, 
vous exigiez des écoles catholi- 
ques et qu’au besoin vous com- 
battiez pour elles”. 


L'Association des instituteurs 
catholiques d'Osnabruck a dé- 
noncé le projet de loi en cause, 
qui ne tient aucun compte des 
droits des parents, 


MELBOURNE — Le KR. P, 
|P. Peyton, C.S.C. vient de 
terminer une croisade de trois 
mois en Australie, où il a or- 
ganisé une campagne en fa- 
veur de la prière en famille, 
C'est en ce pays qu’il a adres- 
|sé la parole devant le plus 
grand ralliement du chapelet: 


dans les Jardins botaniques de 
Melbourne, il a prononcé une ho- 
mélie devant près de 250,000 
personnes. Aprés la réunion, S,. 
Exc. Mgr Mannix, archevêque 
de Melbourne, qui aura 90 ans 
le mois prochain, a loué le R. P. 
Peyton comme le plus grand 
croisé qui soit jamais allé en 
| Australie et comme un Napoléon 
| de la stratégie, 

| Quelque temps auparavant, le 


| 


| ralliement à Sydney, où la foule 
| atteignait 110,000 personnes, 
26 diocèses 
Le religieux a visité 26 diocè- 
ses en tout, au cours de sa ran- 
donnée sur le continent, En cha- 
que cas, l'évêque du lieu et les 


| Aide aux fils d'ouvriers 
qui veulent se destiner 


au sacerdoce 

UTRECHT Les dernières 
statistiques publiées par M. l’ab- 
bé Dellepoort, professeur au sé- 
minaire “Ypelaar” dans le dio- 
cèse hollandais de Breda, révè- 
lent + ur le nombre de vocations 
sacerdotales augmente continuel- 
lement dans les milieux ouvriers 
néerlandais. 

Le K.A.B. (Mouvement ouvrier 
catholique hollandais) a créé un 
fonds pour les étudiants-prêtres, 
| fils d'ouvriers 
ganisation a pu aider dans les 
études 894 fils de membres du 
K.A.B. En 1952, ce nombre aug- 
| menta à 1,003 et en 1953 à 1,200, 


d'Albert 


Husson 


| déjà la demande d'une charte ci- | 


| 


1 


R. P. Peyton avait organisé un | 


En 1951, cette or- | 


a —— — 


permettre l'établisse- 
d'une université sherbroo- 


vile pour 
ment 
koise, 
Toutes les facultés 

D'après le bill dont l'hon. J.- 
S, Bourque, député de Sher-| 
brooke et ministre des terres et | 
forêts, s'est fait le parrain, l’uni- | 


| versité, dit-il, aura le droit d’éta- | 


blir toutes les facultés désirées. Il | 
est bien évident, ajouta-t-il, que 
l'établissement de ces facultés | 
s'effectuera à tour de rôle à me- 
sure que la direction de l'univer- 
sité sera à même de les instituer. 

Il semble que le séminaire St-| 
Charles établira d'abord la facul- 
té des arts et on croit que la deu- 


2 RH ts sais 


_Les troupes canadiennes sta, 
tionnées en Corée et au Japon ont 
maintenant leur propre program- 
me’ de radio, Le brigadier Allard 
présida l'ouverture du poste “Ra- 
dio Maple Leaf”, au centre ré- 
créatif canadien en Corée, Il an- 
nonça que le poste diffuserait des 
programmes canadiens et em- 
pres des annonceurs cana- 
liens, 


principaux dirigeants civils 
étaient présents, Au ralliement 
de Melbourne, un chapelet en- 
tier fut réc'té de la plate-forme 
par des représentants catholiques 
des diverses professions, 

Une des particularités les plus 
encourageantes de la randonnée 
du R. P. Peyton consiste en l'in- 
sertion du chapelet dans plu- 
sieurs émissions radiophoniques. 

On a évité avec soin les metho- 
des employées par les protes- 
tants à tous crins et par les parti- 
sans des ‘‘revivals”, Mais 7,500 
hommes, groupés sur le plan pa- 
roissial, ont visité les foyers ca- 
tholiques pour les inviter à s'en- 
gager à réciter chaque jour le 
chapelet en famille, 

Record dans une paroisse 


IL EST PLUS FACILE DE 
PAYER SELON NOTRE PLAN 
À Chiot 


FTED 
271, AVENUE PORTAGE 


Sherbrooke sera bientôt 
dotée d'une université 


xième sera celle des sciences ou 
du commerce. e 
Mgr Cabana a fait observer 


que, pour le moment, il n'est pas 
question de construire dé nouvel 


édifice. On trouvera des locaux 
pour aménager ces facultés à me- 
sure que leur organisation se réa- 
lisera. 

Comme ce fut le cas pour d'au- 


tres séminaires et universités ca- 


nadiennes, “le séminaire St-Char- 
les Borromée deviendra le ber- 
| ceau de l'Université de Sher- 
brooke”, a dit l'archevêque, 
R li Li 
engieuses en 
costume laïc 
en Hollande 
SITTARD, Pays-Bas — Re- 


vêtues d'un costume laïc, trois 
religieuses espagnoles sont ar- 
rivées à Sittard afin d'établir 
la première mission de leur 
communauté en dehors de 
l'Espagne, Fondée il y a dix 
ans, la jeune congrégation 
incarne une formule moderne 


d'apostolat qui tend à la chris- 
tianisation du peuple, 

Ces religieuses ne portent pas 
de costume spécial ni de voile, 
Elles veillent à j'entretien de 
leur chevelure. Elles espèrent ac. 
complir un apostolat au milieu 
de gens qui resteraient figés à la 
vue d'un costume religieux, 

Le R.P, Domenzain, S.J. 

fondateur 


Cette congrégation, celle des 
Missionnaires du Christ-Jésus, a 
été fondée par le R. P. Moises 
Domenzain, S.J.,, en 1944, Sa 
constitution est modelée sur cel- 
le des Jésuites. La maisonmère 
se trouve au château Javier, en 
Espagne. L'édifice remonte au 
13e siècle, et c'est là d'ailleurs que 
saint François Xavier est né et 
fut élevé. 

Dans leurs études, les religieu. 
ses accordent une attention spé- 
ciale à la missiologie, à la méde- 
cine et à la musique. Leur but 
principal est d'agir en qualité 
de catéchistes, 

Les religieuses veulent se fa- 
miliariser avec le néerlandais a- 
vant de se rendre en Indonésie, 
Elles ont été invitées à exercer 
leur apostolat sur l'ile de Flores 
per S. Exc. Mgr William van 

eckkum, vicaire apostolique de 
Ruteng. 

Aù cours de leur séjour en 
Hollande, les Missionnaires du 
Christ-Jésus enseigneront égale- 
ment l'espagnol, 


Mlle Agnes Macphail, 
première femme élue 
député, est décédée 

TORONTO Mlle Agnes 
Campbell Macphail, 63 ans, pre- 
mière ‘femme élue député au 
Parlement canadien et la seule 
à y siéger durant plusieurs an- 
nées, est décédée samedi dans 
un hôpital de Toronto, 


50,000 personnes à la conclusion de 
Ta campagne du Rosaire en Australie 


dans un diocèse, celui de Mait- 
land, Nouvelle-Galles du Sud, 
la réponse s'établissait à 75 p, 
100. Dans une paroisse de Mel- 
bourne, 96 p. 100 de la popula- 
tion a fait la promesse deman- 
dée. 

On a annoncé que 15 films en 
couleur de haute tenue et de 30 
minutes, sur les mystères du Ro- 
saire, sont prévus pour 1954 à 
Hollywood; plusieurs vedettes 
de l'écran américain ont offert 
gratuitement leurs services afin 
d'intensifier le mouvement que 
le R. P, Peyton a lancé en faveur 
de la prière en famille, Des écri- 
vains' et des dirigeants catholi- 
ques en vue, de toutes les ré- 
gions du monde, ont été invités 
à offrir leurs suggestions afin de 


On n’a pas encore reçu toutes | rendre les pellicules intéressan- 


les cartes d'engagement. Mais, |tes. 


# 


Le premier ministre Louis St-Laurent, à gauche, est accueilli 
aux quartiers généraux de l'OTAN à Paris par lé secrétaire géné. 


ral de l’organisation, Lord Ismay. 


M. St-Laurent a été l'un des prin. 


cipaux champions de l'organisätion des Nations uniss, (CPC) 


Billets en vente à 138, ave Provencher, St-Boniface, 


jusqu'à midi demain, 20 


au Playhouse même, 


février. Téléphone:20-2761, 


Les billets seront en vente à compter de 7 h. demain soir, 


— Prix: 51.00, 75c, 50c. 


Les billets réserves par téléphone doivent être réclamés 


avant 8 h. le soir de la représentation. 


PAGE DEUX 


#35ème anniversaire 
de la Cie Fahrney 


| préparé par la maison E. J. Dec- 
| er, fabricant de livres, pour con- 
itenir les lettres d'estime reçues 
| par la maison Fahrney, sans ja- 


Cette semaine, un des pionniers 
dans le domaine de médicaments 
domestiques, la maison Dr. Peter 
Fabrney & Bons Co, les manu- 


anniver-| ment fort intéressant étalé dans 


quatre-vingt-cinquiéme 
| la salle de réception de l'usine 


saire comme société anonyme, 


Pendant une visite aux bâti.! principale, La société reçoit tou- 
ments qui logent les grands la- | jours de la correspondance des 
boratoires et facilités de fabrica- | quatre coins du monde, dont les 
tion modernes, on ne peut guère! écrivains louent les différents 


produits de la compagnie, ou bien 
manifestent leurs expériences sa- 
tisfaisantes 


imaginer le début moderne de 
cette société il y a plus de quatre- 
vingts années. M. Curtis O. Kraus- | 
ser, directeur exécutif, qui prête | 
ses services à la compagnie de- 
puis plus de 36 années, est de l'o- 
pinion que le secret de son suc- 
cès est basé sur la satisfaction 
universelle et continuée de ses! 
produits de la part de r | 
dans toutes les parties des Etats-} 
Unis et dans bien des pays étran- | samment. 
gers également. Au commence-| 
ment du siècle courant, un livre,| ané, ils ont 
considéré dans ce temps-là com-| decines au Canada pour 
me le plus grand du monde, fut | clients canadiens 


|Fahrney envisage 


leurs 
... 


Le ‘’Men's Musical Club'’ présente . ., 


LE CHOEUR PHILHARMONIQUE DE WINNIPEG 


avec 


ORCHESTRE 


Directeur: Donald LEGGAT 


A 
L'AUDITORIUM DE WIiNNIPEG 


LE 4 MARS A 8 H. 30 P.M. 


Le programme comprend: 
*Pastoral” 
de Sir Arthur BLISS, 
maitre de concerts pour la Reine 
ET 
“Hymne à Ste Cécile’ 
de Benjomin BRITTEN 


Soprano: LOUISE ROY 


Billets en vente ou ‘’Celsbrity Box Office’’ 
270, rue Edmonton 
Sièges: $2.00 - $1.50 - $1.00 - 75e 


- mais avoir été sollicitées. Depuis | 
facturiers de Novoro du Dr Pier-|jongtemps ce livre est rempli, et! 
re, annonça la célébration de son | maintenant il constitue un docu- | 


Pour les 42 ans passées des 85| 
roduit leurs mé-! 


LA LIBERTE ET 


© A la bibliothèque de St-Boniface | 


{Arenue Prorencher) 


La section frarsaise de la Bi- 
bliothèque Publique de St-Boni- 
face est heureuse d'offrir à ses 
lecteurs, quelques-uns des meil- 
leurs ouvrages qu'eïie vient d'a- 


jouter à sa collection: 
La vie vée de Marie Stuart 
par J BOUISSOUNOUSE 


Ce livre constitue une excel- 
{lente biographie: c'est plus qu'u- 
ne étude historique, c'est toute 
une époque passionnante et trou- 
blée que les deux cent cinquante 
| pages du livre font revivre d'une 
manière saisissante. L'auteur s'est 
| attaché à nous présenter Marie 
| Stuart comme on présente un 
héros de roman, soulignant son 


M. Krausser manifesta égale-| caractère à la fois léger et pas- 
| ment que pour l'avenir la maison 


sionné, L'ouvrage précis est la 


l'introduction | preuve d'un vigoureux talent 
| de nouveaux médicaments pour | 
|la pharmacie domestique, pour | 
lesquels les recherches scientifi- | 
ques sont mises au point inces-| 


Les hommes ne veulent pas 


mourir 
par Pierre-Henri SIMON 

Pierre-Henri Simon, qui nous 
avait déjà donné le magnifique 
roman “Les raisins verts”, pré- 
sente dans ce dernier ouvrage, 
une espèce de fresque dont il em- 
| prunte au plus tragique de l’his- 
| toire moderne le décor et les per- 
sonnages. En :945, dans la gare 
en ruines de Stuttgart, un train 
db + Ÿ 
vivants d'un village roumain ar- 
rachés à la servitude communis- 


our y déposer les sur-| 


le film “Dieu à besoin des hom- 
|mes” et d'autres ouvrages com- 
me ‘Tempête 
jet “Au bout du monde” où il dé- 
crit d'une manière pittoresque la 
vie austère de ces habitants des 
tes, il nous transporte aujour- 
| d'hui à Ouessant, “un déchet de 
continent sur lequel grouiïliaient 
| les tempêtes”. L'action se passe 
| autour de la Noël 1783. 

| La tsarine mystérieuse 

par Maurice PALEOLOGUE 


Maurice Paléologue, qui a.êté 


ambassadeur à Moscou pendant 


| les dernières années du tsarisme, 
| nous raconte, au moyen de docu- 
| ments inédits et de souvenirs per- 
| sonnels, la vie de l'Impératrice 
| Alexandra-Feodorovna, fille du 
| GrandsDuc de Hesse et épouse 
| de Nicolas Il: il nous conduit ain- 
si jusqu'à 
| de l'avènement du bolchévisme, 
| Un coin de ciel bleu 
par Jean MIROIR 

Joli récit, mené d'une main sû- 
re, et qui conduit par d'âpres che- 
mins la 
un bonheur bien gagné. Il en- 
chantera certainement le public 
| féminin, mais il reste vrai et 
vraisemblable; il ne nous trom 
| pas sur les duretés de la vie;-il 
|nous touche en nous offrant un 


sur Douarnenez”! 


sa fin tragique, lors 


sympathique Sylvie à 


LE PATRIOTE 


\ 
1° 


Pa 


% 


NZ 


à 


| Exclusit à ‘’Lo Liberté et le Patriote” 
per Jecques LEMOYNE 


| Les Canadiens de Montréal 
songent sérieusement à rappeler 
| Gayve Stewart, une ancienne ve- 
lâamte des Maple Leafs de Toron- 
[to et des Eperviers de Chicago, 
afin de lui confier la tâche de 
soutenir l'aile gauche défaillante 
des Habitants. joueur des Ca- 
nadiens qui serait le plus heu- 
reux de ce retour de Stewart se- 
rait säns aucun doute Jean Béli- 
veau, le rapide centre du club 
Canadien, Béliveau et Stewart 
ont brillé tous les deux la saison 
dernière, alors qu'ils portaient 
| l'uniforme des As de Québec. 
| Stewart a connu alors une si bel- 
le saison que la direction des Ca- 
nadiens a songé sérieusement à 
le garder sur l'alignement du Tri- 
colore, Mais on nr brise pas fa- 
cilement l'alignement d'une équi- 
pe qui a remporté la coupe Stan- 
| ey, et Stewart prit le chemin de 
| Buffalo. S'il n'y avait pas connu 
tant de succès, il est probable 
qu'il aurait été rappelé bien àa- 


te. Comment se bâtira, dans la! plaisir de qualité, tandis qu'un|vant par la direction des Cana- 


douleur, le sacrifice et la joie, 
une nouvelle cité après la lente 


let pénible installation de ces dé- 
| portés dans de lamentables bara- 


ques, c'est-là la trame de ce récit 
dramatique. 
Naufragé volontaire 
par Alain BOMBARD 
Ce livre raconte l'exploit d'un 
jeune médecin “+ 28 ans qui a 
passé cent treize jours en mer 
afin d'étudier les conditions où 
risquent de se trouver des nau- 
fragés. 
Le docteur Bombard sait nous 


intéresses à ses dangers et donne | 


à tous une magnifique leçon de 
courage. Cet ouvrage a une va- 


leur scientifique et médicale en 


plus de sa valeur littéraire, 

Un homme &'Ouessant 

par Henri QUEFFELEC 
L'auteur connaît bien ces gens 
des îles, pauvres et simples, mais 
il sait comprendre aussi les sen- 


| timents de grandeur qui les ani- 


| ment, 


Après nous avoir donné 
des romans tels que “Le recteur 
de l'ile de Sein”, dont on a tire 


de gâchis - -- pa 


pas besoin d'oucrir 


avec 


Lavable 
Nettoyable 
Durable 


= d’odeurs de 
les fenêtres - °° 


peinture + - * 


FACILE À APPLIQUER! 


Si vous employez l'une des jolies 540 couleurs illustrées dans le 
dépliant-échantillon dit “Ballet 540 Couleurs”, votre travail aura 
vraiment une touche professionnelle. 


Facile à CHOISIR 
Facile à MÉLANGER 


n'importe quelle couleur désirée 


demains, 


Facile à APPLIQUER 


sèche rapidement 


Facile à NETTOYER 
Facile à ENTRETENIR 


Pourquoi attendre que vous soyez pris 
par les activites extérieures? 


C'est MAINTENANT le temps de donner 
à vos pièces l'apparence fraiche, gaie et 
de bon goùt que Ballet ‘540’ assure. Fai- 
tes-le dès maîntenant — aujourd'hui, 
cette fin de semaine-ci, 
quand cela vous conviendra, quelle que 
soit la température. Jamais n'aurez-vous 
employé une peinture avssi facile à ap- 
pliquer. Finissez une piéce ce soir, et 
par le temps que vous aurez lavé vos 
instruments de peinture à l'eau et au sa- 
von, votre travail sera sec. Vous pourrez 
replacer les cadres, les draperies et les 
meubles avant 
C'est aussi simple que <elal 


bref, 


d'aller vous coucher, 


Voyez votre marchand local de peinture STEPHENS' aujourd'hui 


| discret parfum chrétien l'embau- 
me, 


| 


Le haut du pavé 

par Michel ROBIDA 
Roman d'une 
| aux prises avec 
| nouvelles de la vie, où les quar- 
tiers de noblesse et les gloires 
| ancestrales ne 
| Pour conserver un château his- 
| torique et un hôtel sur l’esp'ana- 
de des Invalides, il faut aujour- 
| d'hui d'énormes ressources plu- 


| tôt qu'un beau nom. Michel Ro- | 
| bida nous raconte cette histoire | 


sans nulle trace de méchanceté, 
mais avec une malice taquine, 
mêlée de tendresse; l'auteur con- 
naît le passé et le respecte, son 
| érudition n'accable pas, 
présente avec une vivacité char- 
mante, 


=> S, Exc. Mgr Duprat, 


| O.P., est décédé ... 


| 


(Suite de la première page) 


de son évêché le 25 août 1952 et 
| s'était retiré au couvent des Do- 
minicains de Notre-Dame de Grà- 
ce, à Montréal. 

S. Exc. Mgr Duprat a joué un 
rôle considerable dans l'Ouest 
canadien et il était une des gloi- 
res de son Ordre. Il avait donné 
sa démission le 25 août 1952, a- 
près un épiscopat particulière- 
| ment fructueux, 

L'inhumation se fit chez les 
Dominicains de St-Hyacinthe, 
dans le cimetière aménagé sur 
les terrains du noviciat, pour 
tous les membres défunts de 
la province canadienne de l'Or- 
dre. Une simple croix de bois 
dre. Une simple croix de bois, 
avec un nom et une date, may- 
que l'endroit où repose le dé- 
funt, quel que soit $on rang, 


"La politique n'est pas 
| une sale besogne” 


NEW-YORK — “La politique 
n'est sale que lorsque nous lais- 
sons les événements suivre leur 
cours”, a déclaré à New-York 
l'ex-ministre des Postes des Etats- 
Unis, M. James A. Farley, 

M. Farley a exhorté la jeunesse 
catholique à participer active- 
ment à la vie politique, qui est, 
à son avis, la profession la plus 
dangereuse et la plus noble, “On 
ne peut se dégager de ses res- 
ponsabilités à set égard, dit-il, en 
rejetant simplement la politique 
| comme une sale besogne”. 


grande famille | 
les conditions 


comptent guère. | 


elle se| 


| diens. Mais le hasard a voulu que 
| Stewart brille à un tel point à 
| Buffalo qu'on hésite maintenant 
| à le faire revenir à Montréal, 
de peur d'indisposer les amateurs 
de hockey de Buffalo, 

Nous avons connu Gaye Ste- 
| wart assez intimement durant la 
| guerre. Gaye était officier dans 
{la marine, alors que nous occu- 
pions un poste beaucoup moins 
important. Cependant, nous a- 
vons eu le plaisir de jouer avec 
lui dans une ligue organisée pour 
occuper’ les loisirs des marins. 
Stewart a probablement joué les 
plus longues joutes de sa carriè- 
re à cette époque, car il devait 
demeurer sur la glace durant 60 
minutes. Il s’acquittait bien de 
sa tâche et était grandement se- 
condé par un autre excellent 
|joueur, Mel ‘“Pee Wee” Reed, 
qui a porté les couleurs des 
Rangers pendant un certain 
temps. Nous ignorons comment 
la saison s'est terminée, puisque 
nous sommes reparti en mer, en 
décembre de cette année, mais 
Stewart nous avait laissé alors 
l'impression d'un athlète très po- 
li, sérieux, doué d'un physique 
impressionnant et capable de bril- 
ler à toutes les positions, 


Il va mieux 

Si la situation ne s'améliore pas 
à Montréal, ii est probable que 
la direction des Habitants n’hési- 
tera pas à oublier temporaire- 
ment les susceptibilités des ama- 
teurs de Buffalo et Stewart re- 
tournera à la ligue Nationale, où 
nous croyons qu'il va connaître 
des succès. Si on réunit Béliveau 
et Stewart, et si on laisse Mau- 
rice Richard jouer à l'aile droite 
avec ces deux bons compteurs, 
les Canadiens pourraient bien 
reprendre le terrain perdu et me- 
nacer les Red Wings de Detroit. 
Béliveau n'a pas trop épaté les 
connaisseurs, au début de l'hiver. 
Il avait brillé d'un très vif éclat 
lors de la soirée des Etoiles, mais 
il fut lent à démarrer et deux 
blessures assez sérieuses le forcè- 
rent à prendre un long repos, 
Depuis qu'il est revenu au jeu 
cependant, le Gros Bill n’est plus 
le même qu'à ses débuts sous la 
grande tente. Il est redevenu le 
Béliveau des saisons dernières, 
Samedi soir dernier, à Toronto, 
nous avons admiré le travail de 
Jean qui, à lui seul, a abattu le 
plus de besogne, 

Les Canadiens ne paraissaient 
pas très anxieux de gagner la 
Joute de samedi soir dernier, et 
leur jeu à la deuxième période a 
été spécialement décevant. Ce- 


A la Librairie Catholique 


(Avenue Cathédrale) 


Je choisis mes auteurs 


| C'est un ouvrage de bibliothè- 
| que, un manuel, un guide, un ré- 
pertoire, où sont présentés la plu- 
part des romanciers contempo- 
rains, en fonction de leur valeur 
morale autant que littéraire. Mgr 
Calvet et le R. P. de Parvillez, 
| S.J., ont présenté ce livre. Modé- 
ré dans ses jugements et dans 
| l'ensemble, équitable, ce livre 
| peut rendre de grands services 
| aux prêtres, aux éducateurs, aux 
bibliothécaires, qui portent la 
| responsabilité des livres qu'ils 


| passent aux jeunes 

! Je choisis mes auteurs n'est pas 
une liste aride de romans par or- 
| dre alphabétique. Ce répertoire 
nous parle des romans relative- 
ment à leurs auteurs et il accem- 
pagne ses biographies d'un résu- 
mé très succinct de chaque ro- 
man qu'il apprécie moralement 


EUROPE 


Profitez des taux ré- 
duits hors saison pour 
visiter vos parents et 
amis en Europe, soit 
par avion ou par pa- 
quebot. 


Pour tous renseignements 
concernant des voyages 
ou de l'assurance, adres- 
sez-vous à 


Henri 
d'Eschambault | 


se e LA 
Limitée 
136, ave Provencher 


St-Bonifoce, Man. 
Tél.: 20-1137 - 38 


| par un signe abréviatif: une étoi- 
le: pour tous; deux étoiles: pour 
lecteurs formés (adultes); trois 
étoiles pour lecteurs très expéri- 
mentés (personnes müûries par 
l'étude et la vie); quatre étoiles: 
à déconseiller à tous. 

Voici donc un livre que toute 
personne consciente de ses res- 
ponsabilités se fera un devoir de 
consulter, avant de mettre un ro- 
man risqué entre les mains des 
jeunes. 

Je choisis mes auteurs: $3,75 
(franco) à la Librairie Catholi- 
|que, St-Boniface, 


SIGNAL D'ALARME 


Un mécanicien de chemin de 
fer avait expliqué à sa petite fil- 
|le qu'un drapeau rouge déployé 
| était un signal d'alarme. 

— Alors, papa, demanda l'en. 
fant, si vous voyez ce signal, ar- 
rêtez-vous la locomotive? 

— Certainement, sans cela il 
arriverait un malheur. 
| Pendant la journée qui suivit, 
la petite fille vit pleurer sa mère, 
chose qui depuis quelque temps 
| n'était pas rare. 

— Ah! répondit la mère, ton 
père s'est mis à boire; sûrement 
qu'il perdra sa place, 

Le lendemain, quand le mé- 
canicien ouvrit l'armoire pour 
y prendre sa bouteille d'eau-d2- 
vie, il y trouva un petit drapeau 
rouge attaché au goulot. 

C'était le signa! d'alarme! Il 
comprit la pensée äe sa fille, I 
remit la bouteille à sa place et 
ne l’a plus reprise depuis. 


* Avec les compliments de 


VOLCANO 
LIMITÉE 


Wilfrid Girouard, 


vice-président et gérant général 


Manutocturiers d'appareils de 
chauffage automatique 


743, rue de la Montagne 
Montréal, P.Q. 


| pendant, à la troisième, alors que 
les Leafs menaient 2 à 0, Béli- 
| veau fut lancé dans la mêlée par 
Dick Irvine et en moins de temps 

u'il ne faut pour l'écrire, les 
| Canadiens changèrent d'allure. 
Bill a dû être sur la glace pen- 
dant au moins 12 minutes, au 
cours de cette période, ét il était 
partout à la fois. 11 a même raté 
une belle chance de compter deux 
fois mais a marqué un but de 
toute beauté, y 4 ensuite en- 
voyer Elmer ch en position 
pour marquer le but égalisateur, 
Si Béliveau continue à travailler 
avec autant d'acharnement, et 
si Gaye Stewart et lui donnent 
le même rendement que l'an der- 
nier, les adversaires des Habitants 
n'ont qu'à se bien tenir. 

Bonne nomination 


Les enthousiastes de la boxe, 
et ils sont nombreux à Winnipeg 
si on se base sur la foule qui a 
assisté à l& rencontre Mitcheli- 
Spark la semaine dernière, ont 
appris avec plaisir la nomination 
de Gordie Mackie au poste d'ins- 
tructeur de l'équipe canadienne 
de boxe. Mackie connaît très bien 
le pugilat et il a fait ses preuves 
comme entraîneur. Gordie a déjà 
eu de grandes ambitions dans le 
domaine de la boxe et nous nous 
souvenons de l'avoir rencontré à 
Montréal, en 1946, après son li- 
cenciement de la Marine cana- 
dienne, Mackay étudiait alors à 
l'Université McGill et il avait dé- 
cidé de se lancer dans la boxe 
professionnelle, Il connut même 
des succès et nous nous souve- 
nons très bien du soir où il triom- 
phait d'Al Rodrigue, un noir pos- 
sédant beaucoup d'expérience. 
Mais Gordie devait quitter la 
boxe professionnelle et retour- 
ner à Winnipeg où il ouvrit un 
gymnase qui devint très populai- 
re. On sait que l'an dernier il 
était l'entraineur d'une équipe 
de football à une grande univer- 
sité américaine. 

Nous n'avons pas vu Mackay 
depuis de nombreuses années, et 
nous nous demandons souvent 
s'il a aussi abandonné son espoir 
de voir son nom sur le Broadway, 
car Gordie était musicien à ses 
heures et il espérait un jour pra- 
tiquer cet art sur la grande rue 
de New-York. 11 semble que Mac- 
kay ait décidé d'entendre une 
autre musique, et il a bien fait 
car c'était un athlète naturel qui 
savait se garder en excellente 
condition physique, Mackay ai- 
dera certainement l'équipe cana- 
dienne. Il connaît très bien le 
sport de la boxe, est intelligent 
et sait donner de judicieux con- 
seils. Comme il se garde conti- 
nuellement en bonne condition 
lui-même, il sera très à son aise 
pour exiger de ses boxeurs qu'il 
fassent de même, Qui sait si avec 
le talent qu’on lui enverra, Gor- 
die ne parviendra pas à rempor- 
ter plusieurs championnats pour 
le Canada, Nous souhaitons bon- 
ne chance à cet ancien camara- 
de d'armes. 

Impossible? 

Est-il possible de parcourir un 
mille en quatre minutes, à la 
course? Les ‘“athlètes” (et ici 
nous employons le terme dans 
ce qu’il a de plus large) à :a re- 
traite, comme votre humble ser- 
viteur, qui s'essoufflent en ten- 
tant d'attraper l'’autobus chaque 
matin, affirmeront que la chose 
est humainement impossible, mais 
il semble bien qu'il est difficile 
de convaincre tous les jeunes gens 
qui se lancent dans le sport de 
la course, John Landy est de ces 
jeunes téméraires qui, après a- 
voir failli établir ce record, a dû 
se contenter d'une longue série 
de “si”, 11 semble de plus en 
plus impossible qu'on arrive un 
jour à courir ce mille en quatre 
minutes, à moins bien entendu 
qu'on change la vitesse des imon- 
tres actuellement en usage, ou 
qu'on ne se serve plus des mé- 
mes mesures, Pour parcourir le 
mille en ce temps record, il faut 
absolument que le coureur fasse 
aller ses jambes à une vitesse 
moyenne d'au moins quinze mil- 
les à l'heure! Ceci veut donc dire 
qu'il devra dépasser les quinze 
milles, s'il a le malheur de ra- 
lentir un tant soit peu au cours 
de la course, 

I1 y a des records d'excellence 
qui nous semblent impossibles à 
battre et le mille parfait est dans 
cette catégorie. On aura beau 
entraîner le corps humain, il n’en 
reste pas moins vrai que notre 
organisme n’est pas une machine 
et que notre corps a des limita- 
tions qui le rendent très humain 
et qui, heureusement, le distin- 
guent d'un simple véhicule mo- 
teur. On peut perfectionner une 
machine à travers les âges; on 
peut améliorer le corps humain 
à travers les âges, mais il arri- 
vera toujours un temps où toute 
amélioration du corps humain 
aura atteint son maximum, et 
qu'il sera impossible de dépasser 
cette norme, On brise de nou- 
veaux records lors de chaque ren- 
contre olympique, mais le mille 
en quatre minutes n'est pas dans 
cette catégorie et, là où Jesse 
Owen, Glenn Cunningham, Paavo 
Nurmi et tant d’autres ont failli, 
il y a peu d'espoir pour les au- 
|tres êtres humains. 


Winnipeg, le 19 février 1954 


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Fermé le mercredi à 1 h pm. 


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and Loan Association 
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Bureau-chef 
WINNIPEG 


TORONTO -—— Le R, P, Hu- 


bert-Marie Puocock, montfortain, 
a été ordonné prêtre le 31 jan- 


vier dernier, à Toronto, dans la 
lle du Newman Club, par 
xc, Mgr Philip F, Pocock, 


Winnipeg, Mon. cousin de l'ordinand. C'est le 
premier anglo-canadien à entrer 
dans la Compagnie de Marie. 


} 
l 


| 


—— "0 


Dr A.-G. Dandenault 


M5, FAGS 
Chirurgie - Maladies des 
Téléphone: rés. — 20- 


Dr Jean Stolar 


Maladies internes 
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Il Journal hebdomodoire publié le vendrec conadion Publishers Ltd 
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foute errewpondance concernant la rédaction du journal doit nous parvenir ou plus tard 
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| Rédacteur, Le Liberté et le Patriote, 619, avenue McDermot, Winnipeg, Man. 
| Autorisé comme envoi postal de Ze classe, Ministère des Postes, Ottawa. 


La personne du Souverain Pontife 


L'angoisse causée dans l'immense famille 
catholique par la récente maladie de S. S 
Pie XII et le ralliement des coeurs et des es- 
prits autour de sa personne, manifestent une 
fois de plus l'affection respectueuse et la 
confiance inébraniable des membres de la 
itable Eg) ise vivante pour leur chef spi- 
rituel et temporel. Pendant les quelques se- 
de sa maladie passagère et de sa con- 
le monde chrétien sera privé de 
la voix puissante et réconfortante du Pere 
des chrétiens, qui reste toujours le premier 
sur la brèche pour défendre la purete des 
vérités religieuses et des directives de l'ac- 
tion humaine, comme 


ver 


maine 


aliescence 


pour affirmer 
es droits et les prérogatives de l'Eglise dans 
le monde internatioral. 

Grande figure dans la vie contemporaine 
S. S. Pie XII a su gagner, en plus de l'amour 

liul des catholiques pour sa personne, l'es- 
time et mème l'admiration de tous ceux qui 
prétent l'oreille à sa voix. Il n'est pas une 
seule question pratique intéressant le monde 
d'aujourd'hui qui n'ait arrêté l'attention du 
Souverain Pontife, et qui ne nous ait valu des 
paroles et des exhortations de vraie sagesse. 
Si les questions de foi gardent sa constante 
application, les problèmes courants de la vie 
des individus et des nations sont également 
de sa compétente juridiction, puisque tout 
acte humain est capable d'un jugement théo- 
logique sous le double aspect de la foi et de 
la charité surnaturelle. 

Il suffit de lire avec attention les Acta du 
Saint-Siège pour se rendre compte des inté- 
réts multiples du Souverain Pontife, de son 
activité remarquable, de sa paternelle solli- 
citude et de sa profonde sagesse. Parlant a 
tous les groupes qui viennent le voir, quelle | 
que soit leur spécialité ou leur profession, | 
recevant tout le temps des visiteurs en au- 
dience privée ou générale, s’occupant lui- 
même des affaires de l'Etat du Vatican et 
des affaires extérieures, S. S. Pie XII est 
certainement une des personnalités les plus 
remarquables et les plus suivies de notre 
époque, Il n'est pas impossible que tout le 
travail qu'il fait pour l'Eglise universelle et 
pour le genre humain tout entier, n'ait fini 
par l'affaiblir, en exigeant de lui un repos 
annonciateur de sa guérison prochaine com- 
plète 

La détresse actuelle du monde a un ca- 
ractère encore plus grave: il s'agit de diriger 
la conscience des individus et des peuples 
en face du plus terrible assaut que l'Eglise 
ait jamais connu, d'un assaut ouvert et per- 
sistant contre la dignité humaine et chre- 
tienne, contre la famille et la societé, toutes 
menacées de catastrophes déchirantes, com- | 
me cela se voit dans tous les pays satellites | 
de Moscou et dans la Russie même. La persé- 
cution religieuse atteint les plus hauts digni- 
taires ecclésiastiques comme les plus hum- | 
bles chrétiens: le cardinal Mindszenty a con- 
nu la torture des prisons rouges, et les deux | 
nouveaux princes de l'Eglise, le cardinal | 
Stepinac, de Zagreb, et le cardinal Wyszyns- | 
ki, de Varsovie, n'ont même pas pu aller à 
Rome assister à leur élévation au Sacré Col- 
Les protestations constantes des évé- | 
ques des pays satellites dénoncent devant la 
conscience mondiale les sévices contre des 
pretres et des religieuses, contre des confes- 
seurs de la foi, contre les institutions chre- 
tiennes, malgré la liberté purement verbale 
que de prétendues constitutions accordent à 
la conscience religieuse. Avec quelle douleur 
le Saint-Père ne doit-il pas relever les mal- | 
heurs des temps épouvantables que la chre- 
tiente traverse en ce moment. 

Et ce n'est pas seulement dans les pays 
places sous la férule du communisme qu'il 


auss!l 


lege. 


d'une autre maniere les nations qui respec- 
tent le christianisme. Dans son discours de | 
Noël 1952 prononcé dans la salle consisto- 
riale, le pape a dénoncé en termes vigoureux 
“la societé mécanisée’” du monde moderne 
le socialisme d'Etat qui abolit le sens du bien 
commun, la dépersonnalisation malsaine des 
formes fondamentales de l’ordre social, et la 
vanité de f 


f 
… en matériel: c'est la charité, l'entraide, 


raitement humain des personnes, l'assistan- | 


ce aux pauvres, enfin un sens actif de la 
justice sociale qui peuvent éliminer la de- 
tresse humaine. 

En somme, les directives pontificales pour 
assurer la vraie paix forment tout un pro- 
gramme pratique qui s'adresse à tous les 
hommes de bonne volonté a travers la terre 
entiere. Encycliques, allocutions, messages, 
lettres et déclarations, tous ces actes du 
Saint-Siège révèlent la sagesse profonde et 
le coeur compatissant du Souverain Pontife. 
C'est pourquoi 46 nations maintiennent des 
relations diplomatiques normales avec le 
Vatican. 

Il est vrai que le Droit des Gens n'oblige 
pas un état quelconque à reconnaître tel ou 
tel état souverain, même si celui-ci l'est déja 
par la majorite des nations. Ce geste est une 
question d'intérêt, de fierté, de bienséance, 
de confiance en soi, de simple bon sens sur- 
tout. Certains gouvernements exigent que 
l'état qui veut être reconnu remplisse au 
préalable certaines conditions d'ordre poli- 
tique ou juridique. Sans avoir à discuter les 
raisons pour lesquelles tel ou tel état souve- 
rain n’est pas encore reconnu par tel autre, 
disons que dans la guerre idéologique que 
le monde occidental mène contre le com- 
munisme, les Etats-Unis et 
partagent avec la Russie soviétique le triste 
honneur de ne pas avoir de relations diplo- 
matiques avec le Saint-Siège. Les gouverne- 
ments de Washington et d'Ottawa persistent 
a penser que la reconnaissance de la souve- 
raineté pontificale dépend du nombre de ca- 
tholiques dans leur pays, au lieu d'expliquer 
à leur opinion publique que la principauté 
du Pontife romain est la plus vieille de la 
terre, au'’elle existait bien avant n'importe 
quelle dynastie du monde encore régnante, 
et qu'elle s'affirmait dans sa splendeur au- 
trefois comme aujourd’hui bien avant la 
constitution américaine ou canadienne, et 
qu'il serait digne et juste de le reconnaitre. 

A cet effet, une lecon utile nous est don- 
née par l'organe hebdomadaire de l'Eglise 
luthérienne suédoise qui vient de poser la 


question de la représentation diplomatique | 


du gouvernement suédois auprès du Vatican. 


Dans un éditorial de Var Kirku, on nous dit | 


ormules rigides pour atteindre le 


| cier 


le Canada! 


| Brest. 


LA LIBERTE ET LE PATRIOTE 


Prosternéz 
une 


Pie XII qui souffrit d'une attaque de gastriv: 
l'arrière plan apparait le palais apostolique, 


rain Pontife. - (CW) 


sur les marches de 
vieille dame italienne prie pour la guérison de Sa Saintete 


de 25 4 


la basilique St-Pierre de Rome, 


tout récemment. A 


Billet du vendredi 


Des leçons de style 
dues à Claude Farrère 


Spécial 


l'air, sans 
douter, Claude 
une excellente 
de stylistique 
ses Souvenirs. (1) 
raconte-t-il, élève sur 
Borda, où il 
le métier d'offi 
il entreprit un 
ir le papier la 


Sans en avoir peut- 


être s'en 
donne 
style 
2 de 
homme, 
navire-ecoie 
dait apprendre 
de marine, 
jour de décrire 
splendeur des levers de soleil, 
les horizons de rade de 
y employa les épithè- 
les plus colorées de sa té- 
et du dictionnaire, manqua 
son Coup, trouva navré, “Je 
compris tout à coup, écrit-il, que 
les adjectifs sont des mots dont 
la seule utilité est de rendre moins 
mauvais un substantif déja mé- 
diocre — impropre — et que l'art 


leçon de 


et à 


sur la 
Il 
tes 
te 


s'en 


d'écrire consiste à choisir le subs- 
| tantif propre et à n'y ajouter au- 
cune épithète, Le verbe et le 
nom, rien de plus. Toute l'écritu- 
re se résume à cela”, Il continue 
dans la même veine: ‘“Relisant 
mon Corneille, qui fut de tout 
| temps ma littérature de choix, je 
découvris qu'Auguste, parlant à 
Cinna, n'use pour ainsi dire ja- 


que le Saint-Siège a maintenant des nonces | 


et des délégués dans presque tous les pays 


du monde et que 41 Etats ont des represen- | 


tants diplomatiques auprès du Saint-Siège. 
Parmi ceux-ci, quatre sont notoirement pro- 
testants (Grande-Bretagne, Hollande, Fin- 


lande, Libéria) et six ont des populations en | 


tres grande majorite non-chrétienne. Et l’au- 
teur de l’article se demande si le Vatican 
n'est pas plus important pour la Suède que 
les pays de l'Amérique latine auprès des- 
quels est représenté le royaume suédois. Sans 
aucun doute, l'opinion protestante suédoise 
ne veut plus fermer les yeux sur les réalités 
de notre époque, où nous vivons un conflit 
total dans lequel le Père des chrétiens donne 
des directives courageuses à tous les hommes 
de bonne volonté. 


Espérons donc que le Canada aussi se dé- 


| adject 


1 
| 
| 
Î 


près de celui dont la mission divine et hu-| 


maine est de travailler ardemment au salut 


| eux 


mais d’'adjectifs, et encore moins 
d'adverbes, Bien entendu, sachant 
cela, je ne savais pas écrire pour 
i peu. Mais j'étais en route pour 
apprendre”. Le jour où les jeu- 
nes écrivains canadiens, les ro- 
manciers surtout, feront ces dé- 
couvertes au cours d'une lectu- 
re, ils seront, eux aussi, en route 
pour apprendre, Le jour où ils 
auront le souci de la propriété des 
termes, où ils surveilleront leurs 
ifs et sentiront naître 
l'horreur de l'adverbe mau- 
herbe, ils 


en 


vaise 

voie, 
k À * 

Farrère devint écrivain sans y 


beaucoup songer, Au collège, il 


cidera à envoyer un représentant officiel au- | *Yait £loire maritime plutot que 


camarade disant 
pouvait, même marin, de- 
un écrivain à succès, à l'ex- 
emple de Pierre Loti, il éclata de 
rire. Sur le Borda, il s’efforça 
surtout d'apprendre les secrets de 


littéraire, Un 
qu'il 
venir 


‘’La Liberté et 
Farrère | 


la page | 
Jeune | 


le | 
enten- | 


le Patriote’ 

tenait bon. Farrère doit beaucoup 
à Loti, sous lequel il servit à bord 
du Vautour, Non seulement fut-il 
encouragé et protégé par lui, mais 
profita de l'engouement qu'il 
avait créé pour le cosmopolisme 
et l'exotisme. Cet homme, qui d'a- 
bord se préoccupait peu d'écrire, 
donna plus de trente volumes, 
dont un sur Loti, où il dit son 
amitié et son admiration pour son 
maitre, Aujourd'hui octogénaire, 


li 


il trouve encore le moyen de pu- 


seront en bonne, 


| l'église 


la navigation et de la manoeuvre, 


“beaucoup plus fier d'avoir pro- 
prement serré un grand hunier ou 
1 petit perroquet par forte brise 
de... tentatives d'écriture”. 

ou cinq ans plus tard, 1! 
envoya son premier article au Sa- 
lut public de Lyon, qui l’accepta 


| Il y traitait du tir d’escadre et 


faut défendre la dignité chrétienne et hu- | des âmes et au bonheur des peuples pacifi- | 
maine. Le paganisme matérialiste affecte | ques. 
$ : BA AGEN 4 EC AR DES, SERRE RER Rs te 
Trente-sept petits |lation totale de 47,680. Les pro! Bou PA fête du Pape 
’ . . . . | testants etaient au nombre d 
seminaristes JAapPOnGIS 3462 De Rome, en novembre 1952, 
lrente-sept petits séminaristes SA RNNE  EURAN ADP Er $S. E. le cardinal P.-E. Léger a- 
s rentrés, septembre 1953 L'année du Vatican dressait un message à ses diocé- 
1 Petit Sen + des Les Caro- Pour Sa Sainteté Pie XII, l’an- | sains où il exposait nos obliga- 
; l'ex a pt trÉ s ee ” 7. Lu Pere #1} 4 tions envers le pape. Quelle meil- 
‘ ; voulait en faire le bilan, en ne, £ ; F 
t de la radio japonaise, cons- | brenant que le côté numérique leure lecture à faire pour la fête 
r rrain appartenant | des choses le plus spectacu- | du pape, le 7 mars! L'Institut So- 
À ia | aire, mais non pas le plus repré- | cial Populaire a pubiié cette let- 
Après la guerre, S. Exc. Mgr | sentatif de l'influence profon-l!tre en un feuillet qui se vend 
Fe ey, SJ., obtint du gouver-! de de Pie XII on pourrait | 5 sous franco. (Cn peut payer en 
t Ù ca que la pro-! chiff ce bilan par 84 discours | timbres, au secrétariat de l'I.S.P. 
* fut L à la mission. | ou s, deux encycliques | 25, rue Jarry ouest, Montreal.) 
i va tir sérieusement en-|(l'u VIlIle centenaire # 
dommagé, a été en partis restau | de 1a de sain vard, Les 25 ans de l'hebdo 
rs a la fois de Se ] l’ . ‘ S] 
où de ns CE j “rte ae à catholique d'Athènes 
Outre ces trente-sept petits sé. | phes, près ds ‘350 000 personnes L'hebdomadaire “Katholiki”, é 
stes, 1e Vicariat a aussi un | reçues en audience privée, spé-| dité à Athènes, est le seul heb- 
riste en quatrième, a l'ile | ciale ou generale, Le chiffre des | domadaire catholique de toute la 
de Gt et uf à San José, | personnes reçues en audience est ce. Il vient de fêter son 25ème 
; inférieur à celui de l'a > 1952, iversaire. Son nüméro jubi- 
doute à cause de la suspen- |] contient en éditorial un coup | 
sion des audiences pendant sept | d'oeil rétrospectif sur ces vingt- 
semaines, alors que le pape souf-| cinq ans d'activité journalisti 
frait de la grippe. Trente-quatre | au service de l'Eglise en Gr 
des allocutions du pape ont ête | dont cet hebdomadaire est !'or- 
a prononcéss en italien, 29 en fran-! gane reconnu. Cette activité s'est 
Çais, 8 en allemand, 5 en anglais, | traduite par le rôle doctrinal du 
4 en 3 en espagnol! et 1 er 1 qui transmet aux lec- 
ginaires au vVicariat, et un seul | po Les deux pr s enseignements de la hié- 
e er. D'apres les: der-! ac annee ont êté rar D'autre part, “Katholiki 
s st tiques reçues (1950), ! sistc 12 janvier, où furent | a toujours été le miroir des réa- 
y a vingt-deux prêtres et | créés 24 nouveaux cardinaux lisations des catholiques hellènes, 
19,350 catholiques aux îles Ca- l'ouverture de l'Année qui ont mis en pratique ces en- 
rolines et Marshall sur une popu- | le 8 décembre. | seignements. 


problèmes de balistique élé- 
itaire, dans l'intention d'aider 
lecteur à comprendre, Certains 
ntaires venus à sa connais- 


*#e, qui soulignaient l'ignoran- 
ce du public et celle des journa- 
listes censés l'éclairer, il en tira 
pour lui-même cette leçon: ‘’N'é- 


re jamais que pour mettré noir 
ur blanc l'indispensable, 


su et cou- 
per tout le superflu, César est 
un écrivain! Cicéron est un ba- 
vard”, De 1897 à 1900 écrivit 


son premier ouvrage, Les Civili- 
sès. L'ayant relu et ne manquant 


pas d'esprit critique, il le jugea 
exécrable, le jeta dans un tiroir 
et ne le reprit que plus tard, 
mais pour-le publier après les 


contes de Fumeée d'opium. Revu | 
et corrigé, remanié, le roman des 
Civilises finit par lui valoir le 
prix rt. Farrère commen- 
çait sa double d'officier 


comra 


Goncour 


carriere 


da écrivain, 


Ê 
prédicti 
, qui 


k + 
on de son ami 
s'appelait Guirand, 


1 
| 
| 
À 
: 
L 
13 
à | 


dans 


blier ses Souvenirs, qu'il se dé- 
fend d'appeler mémoires, parce 
que, écrit-il, “Je n'ai rien fait qui 
mérite qu'on s'en souvienne”. De 
son nom Edouard Bargone, il na- 
quit en 1872. Dans une entrevue 
qu'il accordait à Frédéric Lefè- 
vre en 1923, il donna une preuve 
de son esprit critique en dési- 
gnant comme les meilleurs écri- 
vains français d'alors Pierre Loti 
et Collette, Ce sont, dit-il, deux 
génies littéraires. Et il complétait 
sa pensée: “J'appelle génie celui 
qui ne se rend même pas compte 


de ce qu'il fait”. Il ne pouvait 
mieux juger. I] disait aussi à 
la même époque: ‘Pourquoi at- 


taque-t-on tant Pierre Benoît en 
ce moment? 
a beaucoup de 
d'humour et sa forme n'est pas si 
lâchée qu'on le dit, C'est un écri- 
Vain de bonne race...” Ses Sou- 
venirs sont remplis d'aperçus per- 
sonnels, originaux et de bon sens, 
L'ILLETTRE 


Montréal, 
Testament 
Le testament de feu Amos 
Bowman, industri:l en renom 


dans le trafic de la ferraille, à 
Pittsburg, comprend un legs à 
catholique 
rite de Greentree. Le testament 
précise que l'argent servira à la 
célébration de messes pour le re- 
pos de 
son épouse. 

M. Bowman n'appartenait à 
aucune église; sa femme était 
membr2 de l'Eglise presbytérien- 
ne. Le testament prévoit une 
somme pour l'église de Choilley, 
Haute Marne, France, précisant 
que “tant que 
et que l’eau dévalera sur les pen- 
tes”, la messe se dira chaque an- 
née, ie 11 novembre, pour l'âme 


des morts du 316e régiment d'in- | 
américaine | 


fanterie de l'armée 
de la première Grande guerre. 


L'Académie de 
médecine 
et l'alcoolisme 


A l'Académie nationale de me- 
decine, des médecins éminents, 


dont le professeur Pasteur Val-! 


lery-Radot, sont elevés contre 
la propagande faite sur les boi- 
tes d'allumettes, en faveur de la 
consommation du vin à l'aide 
d'une phrase de Pasteur isolée 
de son contexte. Aussi un voeu 
a-t-il eté adopté à l'unanimité 
lequel l'Académie déclare 
notamment: 
et les pouvoirs publics prennent 
enfin conscience de leurs respon- 
sabilités dans le développement ! 
accélere de l'alcoolisme et arré- 
tent sans tarder les mesures né- 
cessaires pour mettre fin à une 
propagande qui constitue, aux | 
cux de tous ceux qui sont con-! 
scients du danger, à la fois un 
paradoxe et un scandale", 


S 


résidence du Souve- ! 


(D) Cercle e “du Livre de France, | 


Ste-Margue- | 


l'âme du légataire et de | : 


croitra le gazon | 


“Que le Parlement | 


La Chronique 


PAGE TROIS 


puisse s'abattre sur les hommes: 
la famine. 
que commencer à s'engager sur 


Or, le Canada ne fait 


la voie de la générosité, Certes, 

| il à fait beaucoup pour l'Angle- 
t nationale terre. Il l'a nourrie durant la 

FF n:0 in er guerre, et gratuitement par des- 

| Correspondant spécial de ‘’La Liberté et le Patriote” sus le marché! Mais > a D 
! puissent en penser les Torontois 
par André LAFLECHE et l'aile ultra-tory du parti libé- 

: Le conférence des Quatre’ traine en longueur et n'aboutit à °°! He ei — agi Sret rm nan 
| rien. L'aide canadienne aux pays affamés est insuffisante, | ‘°° COUNTY, ce n'est pas tout 
r le monde... Ce n'est même 
Conference des Puissances dans un troisième confiit uni-| pas, peu s'en faut, le pays le 
La Conférence des Quatre, à  versel”. En effet, mieux vaut pa-! plus pauvre. Quant aux autres, 

| Berlin, continue à réveler au | labrer, sé lancer des accusations | le Canada a verse la tout petite 


| monde sa parfaite inutilite posi- 


tive. Elle s'est ouverte le 25 
janvier. Et depuis le premier 
jour des entretiens, les deux 


adversaires (Russie d'une part, 
Etats-Unis, France et Angleterre 
d'autre part) ont joué une pru- 
dente partie d'échecs. Que pou- 
vVait-on attendre de plus? Un 
| confrère montréalais (Montreal- 
Matir, 5 février) fait à ce pro- 
pos d'intéressants commentaires: 
| "L'expérience nous a appris que, 
malheureusement, ces Conferen- 
ces des Quatre Grands n'abou- 
tissent qu'à peu de chose, C'est 
la septième réunion du genre .., 
Voici ce qui s'est produit aux six 
précédentes. À Londres, du 11 
septembre au 2 octobre 1945: 
rien de concret, impossikle de 
présenter une declaration unani- 
| me sur le travail de la conferen- 
ce. À Paris, du 25 avril au 12 
juillet 1946: le problème de l'Al- 
lemagne et de l'Autriche demeu- 
re insoluble, À New-York, du 4 
novembre au 12 décembre 1946: 
rien n'est fait, mais on témoigne 
d'un certain opiimisme. À Mos- 
cou, du 10 mars au 24 avril 1947: 
pas encore de traite avec l'Au- 
triche, ni avec l'Allemagne. A 
Londres, du 25 novembre au 15 
décembre 1947: échec complet. 
À Paris, du 23 mai au 20 juin 
1949: 
triche, 


mais impossibilite d'en 


arriver à un accord sur l'Allema-, 


gne', 
Un pacte de cinquante ans 
Malgré l'échec des six confé- 


des Affaires étrangères des Qua- 
tre ont encore consenti à se reu- 
nir à Berlin. La conférence dure 
depuis le 25 janvier. Et nous ar- 


de février... Cette fois 
| de nouveau parlé de la Chine 
| communiste, des problèmes asia- 
tiques, de l'Allemagne, de la 
| Communauté européenne de dé- 
fens:, du Pacte de l'Atlantique 
| et de plusieurs autres choses. Sur 
tous les points le désaccord a 
été total, M. Molotov a enfin 
fait une offre qui paraissait gé- 
néreuse, Il a préconisé un pacte 
de sécurité de cinquante ans! 
Rien que ça! Comme si les maîi- 
!tres actuels du Kremlin pou- 
vaient lier, durant cinquante ans, 
| leurs successeurs! La politique 
| d: la Russie change continuelle- 
ment. Ce n'est pas un pacte de 
plus ou de moins qui l’arrétera 
dans ses évolutions contradictoi- 


{portait des dangers évidents 
| pour l'Europe et les Etats-Unis. | 
| Elle signifiait le retrait des 


troupes américaines du continent | 
l'al- | 


européen et l'abandon de 
liance occidentale. Le piège était 
si grossier que les ministres des 
Affaires étrangères de France et 
| d'Angleterre l'ont dénoncé im- 


citer. 
L'attitude des Allies 


dit, pour sa part, que le plan 
soviétique ‘vise non seulement à 
| neutraliser l'Allemagne, mais 
toute l'Europe occidentale”. 
Anthony Eden a déclaré: ‘Cette 
proposition parait principale- 
| ment destinée à briser l'OTAN et 


à tenir l2s Etats-Unis et leurs for- 
ces hors de l'Europe. L'OTAN 
est la base de la politique bri- 
tannique, Nous mainfenons que 
l'OTAN ne menace personne et 


nous ne pouvons y renoncer‘. | 


M. Dulles a accusé la Russie de 
| chercher à “laisser l'Allemagne 
| occidentale et, cohsequemment, 
| la plus grande partie de l'Europe 
Occidentale sous la menace de 
toute agression venant de l'ex- 
térieur. 
depuis le debut du siècle nous 
avons envoye des forces en Eu- 


| rope, parce qu'il y en avait plu-| 
sieurs en Europe qui manifes-| 
taient des craintes et qui nous. 


demandaient ainsi.,," 
Ainsi, 
nouveau réaffirme leurs posi- 
tions respectives. Ils ne sont pas 
plus avancés qu'avant le 25 jan- 
| vier, date de l'ouverture de la 
| conférence. Un confrère de Mont- 
réal a eu l'autre jour un 

fort juste, ‘“‘’Consolons-nous, 
sait-il de l'échec de 
|ce, en pensant qu'il vaut mieux 
|que les déliberations se conti- 
| nuent, même sans succes, plutôt 
que de voir le monde engsgé 


d'agir 


di- 


Fondation d'une province 


franciscaine japonaise 


TOKYO Dans les milieux 
| ecclésiastiques autorisés, on s'at- 
| tend à la prochaine fondation au | 
| Japon d'une province franciscai- 
|ne composée de religieux indigè- 
nes, 

Cet ordre rencontre un très 
grand succés au Japon. 


| 


entente limitée sur l'Au- 


rences précédentes, les ministres | 


|rivons tranquillement à la fin! 
on a! 


| res. Mais l'offre de Molotov com- | 
Ce jeune romancier | 
philosophie et | 


médiatsment avec beaucoup de | 
vigueur, ce dont il faut les féli- | 


Monsieur Georges Bidault a! 


M. | 


Pour la troisième fois | 


les Quatre Grands ont de! 


mot |! 


la conféren- | 


et inonder la preése mondiale de 


photographies des “Quatre 
Grands”, que de détruire des 
pays enticrs avec des bombes 


atomiques! 

Aide canadienne insuffisante 

Notre Saint Père le Pape a 
souvent attiré l'attention du 
monde sur la necessite, pour les 
pays riches, de venir en aide aux 
pays pauvres. Il s'agit d'un as- 
pect d'une plus juste distribu- 
tion biens de la terre. Des 
pays comme le nôtre, à popula- 
tion de faible densité, riche, pro- 
duisant beaucoup plus que sa 
part biens comestibles, de 
matièr premières et de pro- 
duits ouvrés, devraient, à mon 
avis, faire un imperieux de- 
voir de se porter au secours des 


des 


de 
s 


pays sous-développés, dont la 
population est sans cesse mena- 
cés du plus qui 


terrible fléau 


somme de $800,000 l'an dernier 
au programme d'aide technique 
des Nations Unies aux pays 
moins fortunés! Cette année, il 
portera sa contribution à $1,500,.- 
000! 

Voyons! Estce suffisant? No- 
tre budget atteint $5,000,000,000, 
dont $2,000,000 seulement pour 


la défense militaire. Qu'est-ct 
qu'un reg à et demi sur cinq 
milliards? N'avons-nous pas don- 
né des milite de dollars à 
l'Angleterre durant et après la 
guerre? Et nous n'avons que 
quelques centaines de iers 
de dollars à distribuer aux in- 
nombrables populations africai- 
nes, asiatiques, sud-américaines 
et européennes? Qu'estce que 
cela pour des centaines de mil- 
lions d'affamés? Les miettes de 
la table. Pour ma part, je trouve 


céla honteux 


A la Chambre 


des 


Correspondant spécial de 


par Denys PARE 


Communes 


"La Liberté et le Patriote'’ 


Le problème du combustible au Canada devient sérieux. Le 


rationnement du pétrole serait-il effectué un jour? 


OTTAWA — Malgré l'évolu- 
| tion rapide de l'industrie pétro- | 
lière au Canada, nous dépendons 
de plus en plus sur nos importa- | 
tions de pétrole pour nos besoins 
| domestiques de ce combustible, 

Les hauts fonctionnaires am 
{ministères intéressés à cette 
question ont préparé un rapport | 
sur cette question, à la demande 
des autorités gouvernementales. 

Ce rapport, qui est dans le mo- 
ment entre les mains du minis- 
tre d£s Mines et des Relevés 
techniques, M. George Prudham, 
indique ce fait étrange: en dépit | 
de nombreuses découvertes de | 
puits d'huile faites depuis quel-| 
ques anncées, notamment en Al- 
berta et en Saskatchewan, le Ca- 
nada import: plus de pétrole | 
maintenant par voies maritimes | 
qu'il en importait durant le der-| 
nier conflit mondial. | 

Un grave probleme 

En 1953, nous avons importé | 
de l'étranger par bateaux 54 p. 
100 de nos besoins en pétrole, a- | 
lors qu'en 1942, la proportion de | 
nos importations n'était que de | 
39 p. 100. 

Le gouvernement canadien est 
fort intrigué, dit-on, par cet état 
de choses, 
drait d'autant plus sérieux s'il 
| nous fallait faire face à une nou- | 
| velle guerre mondiale. La solu- 
Brer à ce problème n'est pas fa- 

cile, On pourrait bien utiiiser 
| plus de charbon, mais on estime 
qu'à l'heure actuelle la houille 
ne pourrait pas remplacer le pé-| 
trole, dans la proportion qu'on! 
le désirerait. 

Selon les experts en combus- 
tible, les mineurs pas plus que 
{les mines ellesimêmes ne pour- 
raient actuellement être en quan- | 
tites suffisantes pour faire face | 
à une situation critique. 

On sait que le gouvernement 
fédéral vient déjà en aide aux | 
mines de charbon, Il est possible 
que cette aide financière que 
verse l'Etat central aux mines! 
de charbon soit accrue en vue 
précisément de pouvoir compter 
davahtage sur la houille, adve- 
nant le cas nécessaire, | 

Nos sources de combustible au | 
Canada se trouvent éloignees d£s | 
deux plus grandes provinces, 
l'Ontario et le Quebec. Aussi, 
pour aider ]£s mines de charbon 
défrayer une partie d:s frais | 
| du transport, 1 gouvernement | 


Le problème devien- | 


a 


|fédéral accorde chaque année| 
quelque $6,000,000 destinés aux 
mines de charbon. | 


Plusieurs etudes 
Trois importants comites pro- 
cèdent actuellement à une étu- 
| de d2 la situation du combusti- 
ble au pays. L'un de ces comités 
est présidé par nul autre que le 


premier ministre St-Laurent, et 
en son absenee, par M. C. D. 
How 


Il s'agit du comité de la defen. | 
se formé par plusieurs minis- 
tres. Ce comité étudie surtout les! 
mesures qu'il faudrait imposer | 
au pays relativement au combus- | 
tible si le Canada était engagée 
| dans un autre conflit à l'échelle | 
mondiale, Les deux autres co-| 
| mités sont formés de hauts fonc-| 
|tionnaires de plusieurs ministé-| 

res. Ils se tiennent en contact! 
direct avec le comité ministériel | 
| de la défense. | 
| La pénurie du combustible ne | 
|se trouve pas sulement au Ca-| 
| nada. On souligne que même les] 


| maisons, 
| core plus considérable. En 1940, 


ont recours à 


de ces mines pour le 
ble, 


Etats-Unis avec toutes leurs res- 
sources pétrolières doivent im- 
porter une partie assez considé- 
rable de ce combustible pour 
leurs besoins domestiques. 


On consomme plus 
La consommation d'essence et 


| de pétrole a augmenté d'une fa- 
| çon presque incroyable au Cana. 


da depuis quelques années, En 
1942, la consommation de ces 
produits au pays atteignait les 
36,000,000 de barils, tandis qu'el- 


le passait à 90,000,000 de barils 
en 1953, 
En ce qui concerne la consom- 


{mation du pétrole comme çom- 


bustible pour le chauffage de 
l'augmentation est en- 


les Canadiens ont brülé 4,900,000 
barils de pétrole pour chauffer 
leurs demeures, alors que la con- 


| sommation de ce combustible 


pour des fins analogues attei- 
| gnait en 1952 les 33,000,000 de 
barils, 

Et le nombre de maisons équi- 
pées avec le systèm> de chauffa- 
ge à l'huile se multiplie d'année 
en année, On estime qu'en 1941, 


| il y avait 67,000 maisons dont le 
| système de chauffage 


était à 


| l'huile, Dix ans plus tard, on a 


calculé que plus de 777,000 ha- 
bitations étaient chauffées par 
la combustion du pétrole, Il y 
aurait aujourd'hui plus d'un mil- 
lion d2 maisons canadiennes qui 
l'huile pour le 
chauffage. 
Rationnement possible? 

Selon nos informations, il n'est 
pas impossible que le gouverne- 
ment impose le rationnement sur 
le pétrole, On reconnaît qu'il se- 
rait coùteux de faire un retour 
à la houille comme combustible 


| de chauffage dans bien des cas, 


mais cela pourrait devenir né- 
cessair 

Le gouvernement songerait à 
améliorer la situation des mines 
de charbon, car il estime qu'en 
période de crise, il faudrait dé- 
pendre davantage sur le produit 
combusti- 


Les champs pétroliféres de 
l'Alberta sont vastes et riches. 
it les découvertes de nouveaux 
puits ont été nombreuses depuis 
celle du fameux champ Leduc 
en 1947, Mais tout cela semble 
insuffisant, La situation du com- 
bustible au Canada reste anor- 
male, 

Mais avant de dépendre uni- 
quement du soleil pour chauffer 
nos demeures, comme ce sra le 
cas éventuellement selon Pal- 
mer Putnam, conseïller pour la 
Commission de l'énergie atomi- 
que des Etats-Unis, on tentera 
bien d'autres moyens. 

L'homme de science écrit dans 
Science Digest que tous nos com- 
bustibles d'aujourd'hui seront 
considérés comme trop dispen- 
dieux dans 75 ans. Il dit qu'aux 
Etats-Unis, on a mis au point des 
fournaises dont la seule source 
d'énergie vient des du 
soleil. Dans l'Inde, on rapporte 
que les recherches dans ce sens 
sont encore plus avancées; cer- 
tains ont même donné des résul- 
tats excellents. 

I1 y a évidemment tout dans 
la nature pour satisfaire les be- 
soins de l’homme: il suffit de l'a- 
dapter le plus économiquement 
possible aux besoins de l'homme, 


rayons 


PAGE QUATRE 


Déjeuner de la Fédération 


des Femmes Canadiennes-françaises 


C'est le jeudi 25 février, à 12 h | billets de rafle de bien vouloir 
20, que sera tenu le déjeuner an-|les retourner à qui de droit pour 
nuel de la section W ipez-St-|le 21 février, sans faute 

ifac salle Georgian e 
D Bas dhuden Grand thé 

S Exec, Mgr Maurice Baudoux L'Orchestre Sy ‘phonique de 
nous honorera de sa présence, en pl RE 
Que de St-Boniface et de la parois. | dans la grande salle de l'audito | 
se du Précieux-Sang rium de Winnipeg La grande 

Nous prions les membres de |"ente de “Nourriture In natio- 
nous avertir afin que l'on sache! nale” (International Food Bar) 
combien de convives attendre; | Aura lieu a ce the M 1+ 
téléphoner à Mme Jean Poitras, | . Notre présidente, Mme J.-E 
su numéro 93-6214 ou à Mme! Cossette. a bien voulu accepter 

de représenter Le groupe Cana 


Cossette, au numéro 20-4323 
Tous les membres sont cordia- 
lement invités à assister à leur 
déjeuner annuel ee 
Assemblée mensuelle = 


comp 


diens-français 


Mme Ida Kelly, conseillère, de Nous comptons toutes le 
476, rue Aulneau, St-Boniface, | Canadiennes françaises de Winni- | 
recevait l'exécutif pour son as-|peg et de St-Bon pour nou 
semblée mensuelle le jeudi 4 fé- | aider à atteindre notre but 
vrier dernier re. 0 

Une soirée des plus agréable Nous apprenons que Mme Al- 
y fut passée; les discussions nom- | fred Lécuyer, membre de la Fé- 
breuses s'enchaînérent et pour! dération, est ho alisée, Nou 
couronner le tout notre aimable | ]uj souhaitons rm ure santé et 
hôtesse nous servit un goûter des | ne heureuse convalescence 
plus succulent * ae: 

Nos remerciements bier ncè- | s6 pa di 
res à Mme Kelly pour sa gracieu Los idoes 
se et généreuse hospitalite 


. 
en marche 


Notre assemblée m 
nérale fut tenue le 


nier en la salle du r du Tous les mercredis soir passent 
basilique de St-Boniface. Malgré à CKSB des causer us for 
la température inclémente qui!me de discussions sur un 

nombre répondi-! sujet d'actualité. Ceux qui se 


donnent la peine d'écouter ces é- 
seulement les trou- 
tes mais en- 


Etes- 


missions non 


vrets de | vent té 


tre 


ess 
core t grand profit 
vous de ceux-|a? 

Ainsi, le mercredi 25 février, 
on discutera des relations entre 
le Canada et les Etats-Unis 
sujet de l'étude s'intitule: Le Ca- 


| nada 


en tire 


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si et 
grammes, se former en groupes | 
ou équipes et préparer la discus- | 
sion par une enquête préliminai- | 
re. On pourra faire venir le dé- 
| pliant qui explique le sujet de 
|la discussion, avant que celle-ci} 
{ne passe en ondes, en s'adressant | 
à la Société Canadienne des A-| 
dultes ou à Radio-Canada, C.P.! 
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second violon des Etats-| 
| Guide-ainée et une de ses amies. 


avec nos puissants voisins du sud, | 
“Les Idées en| 
| 


important | 
On peut, à l'occasion de ces pro-| 


| messe 


| vous 
| de l'argent 


|un don 


“Notre-Dame de Chartres”, 
en ce 
monde, durant l'Année mariale. 


Education et apostolat sous 
l'insigne de la Croix Guide 


Peu de %ÿen connaissent le 
mouvement guide ici, à St-Bo- 
niface et au Manitoba. Ils savent 


les Guides existent mais igno- 
tout de leur organisation. 
si, pour jeter quelque jumi 
le mouvement, je vor 
un dialogue entre une 


ue 


: 


sur 


préserite 


| 
| 


— Tu me parles si souvent du 
mouvemeni guide catholique que 
j'aimerais en lus familière. 
Pourrais-tu Î 1er le but de 
cette organisali 

— Le 


on? 
guidisme 


catholique a 
un double but: l'éducation (pra- 
tique et morale) et l'apostolat 

- Tu dis bien l'éducation pra- 
tique et morale, n'est-ce pas? 
Comment travaille-t-il cette 
éducation? 


a 


— Comine oeuvre d'éducation 
de la jeunesse, le guidisme se 
conforme aux principes et aux 
directives donnes par S. S. Pie 
XI dans son encyclique sur l'é- 
ducation. Cette méthode d'édu- 
{cation intégrale renforce sans 


toutefois remplacer la formation 


| de la famils, de l'école et de l'E- 


glise. 

— Oh! Je comprends... 
propos d'apostolat? 
La Fédération 
Catholiques de la paroisse de 
Québec, à laquelle nous appar- 
tenons, soumet toutes ses activi- 
tés apostoliques aux disciplines 
de l'Eglise en vertu de la pro- 
solennelle des Guides de 
servir, de leur mieux, Dieu, l'E- 


et à 


des Guides 


glise, la reine, le Canada et le 
prochein 3 
— C'est une merveilleuse or- 


ganisation! Mais qui peut en fai- 


re partie? 


— Toute jeune fille catholique 
romaine peüut y appartenir. | 
— J'ai entendu parler des Jean- 


| nettes, des Guides et des Guides- 


ainées. Quelle différence existe- 
t-il entre ces classes du mouve- 
ment? 


— Le jeannettisme est la mé- 
thode guide adaptée aux fillettes 
de 8 à 11 ans. C’est une méthode 
essentiellement active, condition- 


_ Chevaliers 


de Colomb 


Conseil St-Boniface 


C'est bien le 17 mars prochain 
qu'aura lieu notre partie de car- 
tes annuelle. A peine un mois. Le 
frère Mahé trouve que tout va 
bien, sauf que les prix ne ren-| 
trent pas vite. Ceux qui sentent 
le besoin ou le désir de lui don-| 
ner quelque chose pour un prix| 
de cartes sont les bienvenus, 

Aussi, nous informe-t-on, il y 
a encore des billets de rafle à 
vendre. Un coup de main, s'il 
plaît, frères: pour donner 
il faut en avoir. 

Les conseils Goulet, Norwood 
et St-Boniface ont récemment fait 
à l'hôpital St-Boniface 
qui couvre l'achat de la croix illu- 
minée au-dessus du nouvel édi- 


| fice, Ce don viendra en aide aux 


Seeurs Grises qui se dévouent| 
pour nous, Canadiens, ici, à St-| 
Boniface. | 

Il y aura une retraite fermée 


de Colomb à 


la fin de ce n vi. Une bonne 
assistance nous ferait honneur. 

Il y a des rs qui courent | 
au sujet de fih documentaires 
religieux qui seront peut-être 
montrés au public bientôt, Au 
dire de notre aumônier, ils sont 
des chefs-d'oeuvre de photogra-| 


| phie et promettent d'être des plus | 


intéressants, En tout cas, 


on en| 
parlera encore, 


APRES-TOUT 


Deux groupes | 
d'enfants français au 
“Children's Theatre 


Le “Children's Theatre” de: 
Winnipeg, qui organise sa troi-| 
sième “Flay Parade” pour les 


“ 


enfants de 7 à 13 ans, a demandé, 
cette année, à des groupes fran-| 
çais d'y prendre part. Deux grou- | 
pes de St-Boniface ont accepté! 
l'offre gracieuse qui leur était] 
faite: le premier est sous 
tion de Mme R. Déprés et le 
deuxième est dirigé par Mme E 
Ragot. 

Les deux présenteront 
ce respective le vendre 
vrier prochain, dans | 
collège de St-Boniface, à 
p.m. 

La troupe de Mme Déprés, qui 
a pris nom ‘Les Moineaux'”, exé- 
cutera “Le bois des fêtes" et celle 
de Mme Ragot, “Les heures clai-} 


| res”, interprétera “La petite fille! 


qui vendit son coeur 
L'entrée est de 


25c pour les! 


| adultes et de 15c pour les enfants. | Jean. | 


let qu'il participera’ à cette acti-| 
| vité génerale par une prochaine 


| Labossière, Donna Hunter, Doris 


. Fiola 
Grade IV: Paul Musso, Denis 
Sourisseau, Claudette Dacquay. 


a direc- | 


| progrès 


|prix depuis septembre: Jeannet- 


| 


| 


| 


| 


| 


| 


la plus célèbre cathédrale de 


e plus ancien lieu de pèlerinage en l'honneur de Marie 


pélerins de toutes les parties du 


née par la joie. Une guide est une 
adolescente d'au moins 11 ans 
et d'au plus 17 ans, qui s'est li-| 
brement engagée par la promes- | 
se des Guides Catnoliques et qui 
d'y être fidèle dans sa | 
ie quotidienne, Le guidisme-ai- | 
née, c'est l'épanouissement plé- 
nier d'un caractère de femme sous 
l'influence du guidisme, devenu 
pour elle à la fois un moyen et 
une expression de vie chrétien- 
ne intégrale au foyer, dans l’E-| 
glise et dans sa viile. | 

— Comme cela, je ne suis pas| 


s'efforce 


trop vieille pour faire du guidis- 
me”? 

- Mais non! Comme je viens 
de te le dire, aucune fille n'est | 


trop vieille pour faire du guidis- | 
me. Trop de gens de nos jours| 
pensent comme toi! | 
Après un peu de réflexion, | 
je pourrai te rendre réponse. Ça| 
te va? 

— Prends tout le temps que 
tu veux car chez les Guides, nous | 
voulons que tu sois heureuse et | 
que tu apportes de la joie. 
Yvonne PELLETIER (a.j.) 


| 
| 


Représentation au 
Playhouse par: le 
Cercle La Coulisse | 


I1 paraît que la saison théâtra- | 
le bat son plein. Aussi, il va de 
soi que le Cercle La Coulisse, de 
St-Boniface, ne reste pas inactif | 


apparition sur les planches du | 


Playhouse, | 
‘’Mon oncle et mon cure” | 
Vous aurez donc l'entière sa-| 

tisfaction de voir et d'entendre | 

l'irresistible pièce ‘Mon oncle et | 
mon curé’, adaptée par Lucien 

Dabril d'après le rom:n de Jean | 

de la Brète. Cette comédie en 3 

actes vous charmera par sa frai-| 

cheur et sa joyeuse bonhomie. 

Les personnages vous apparaîi-| 

tront bien vivants et surtout bien | 

sympathiques et cela, malgré les | 
colères et la sentimentalité exa- 
gérée de la tante, Mme de La-| 
valle, et les fougues de sa nièce, 

Reine de Lavalle, Nous voudri-| 

ons que chaque spectateur raffo- | 

lât de ce boute-en-train, de cette | 
petite Française candide et mali- | 
cieuse, spirituelle et naïve qu'est | 

Reine de Lavalle, évoluant en- 


tre son cure si parfaitement hu-|J.-A.-A. Dease, de Minneapolis, | 


main et son oncle ‘‘vieille Fran-} 
ce”. | 
Appel à la population | 
Puissiez-vous venir nombreux 
encourager les efforts de cette} 
troupe que vous avez déjà appris | 
à connaître et qui ne demande | 
qu'à vous plaire encore et tou-| 
jours davantage. | 
Nous aurons de nouveau l’oc-| 
casion, dans une prochaine ru-| 


| 


| brique, de vous donner un résu-| 


mé plus détaillé de la pièce où 
figureront les noms des acteurs| 
qui vous disent: ‘à très bientôt”. 


Ld . 
Précieux-Sang 
Tableau d'honneur 


rade VIII: Jacqueline Desau- 
Raymond Dupas, Diane Ré- 


te! 


millard. | 

Grade VII: Dolorès Dureault;| 
Marcelle Sourisseau, Ida Oueli| 
lette 


| 
Kathleen Kowbel, 
Andrée La- 


Grade VI: 
Pierrette Manseau, 
frenière. 


Grade V: Michel-Claude La- 
voie, Clémence Marion, Roger 
Pelletier. ; 


Grade V (2ème classe): Camille 


Grade IlIl: Gilbert Laurin, Jim- 
mie Ryan, Jacques Montpeiit 

Grade Il: Yvonne LakRiviére, 
Douglas Main 

Grade 1: Léon Désilets, Eveli- 
ne Garet, Paul LaRivière. 

Grade I (2ème classe): Patri- 
cia Hervo, Lucille Hébert, Kath-! 
leen Lévêque 

Jardin d'Enfance: Nicole Pel- 
letier, Richard Guertin, Jeannet- 
te de Moissac, | 

La Fédération des Femmes Ca- 
nadiennes-Françaises donne cha- 
que mois un prix à l'élève qui a, 
dans chaque grade, fait le plus de 
en français. Voici les 
noms des élèves qui ont eu des 


ce 


s 


te George, Marcelle Sourisseau, 


Kathleen Kowbel, Claudette 
Brown, Roger Lafrenière, Clé- 
mence Marion, Roger Hébert, 


Marie-Louise Normandeau, Yvon- | 
ne Hervo, Gilbert Laurin, Yvon- | 
ne LakRivière, Claude Fouillard, 
Diane McDenald, Georges Matte, 
Kathleen Lévêque et Rita St- 


LA LIBERTE ET LE PATRIOTE 


|, 542, rue Aulneau, St-Boniface, | 


ner 2 De 11 février à | 

‘hôpital St-Boniface, à l'âge de / 

70 ans ! Af 
DIAL 322 


| l'église de St-Jean-Baptiste le lun- 


| roissial. | 


| de 278, rue Notre-Dame, St-Bo- 


| O: 


| à tour commis, comptable, gérant | 


Vincent, Warren et Carvel Mc- 
| Arthur, Stanley Siver, Emilien 


Décès | 
MME F, SAVOIE 
Mme Frédéric Savoie, de suite 


La défunte était originaire de 
Lorette, Man. et résidait à S!:-|! 
Boniface depuis 1936. Elle était | 
membre de la congrégation des 
Dames de Ste-Anne et de l'or- 
dre des Tertiaires. 

Outre son époux, Frédéric, el- 
le laisse dans le deuil 4 fils, le R. | 
P. Elie Savoie, O.M.I., de Duluth, 
Albert, de Winnipeg, Antonin, 
de St-Boniface, Donat, de Van- 
couver: 2 frères, MM. Henri Du- 

uis, de St-Boniface, et Marcel 

puis, de Lorette; 2 soeurs, | 
Mmes A. Touchette et P. Guay, 
de St-Boniface. 

Les funérailles de Mme Sa- 
voie eurent lieu en la basilique 
de St-Boniface, lundi dernier. Le | 
R. P. E. Savoie, O.M.I. officiait. | 
L'inhumation se fit dans le cime. 
tière de St-Boniface. 


M. PAUL TURENNE 
A l'hôpital St-Boniface, le sa- 


ment de chauffage .. 


attention. 


Choisissez de: 


Silkstone et Klimax 
Souris), la tonne 


International (Alberta), 


la tonne 


medi 13 février, est décédé M : 
Paul Turenne, retiré à l'hospice Greenhill (Alberta), 
Taché depuis 1950. Né à St-Boni- la tonne 
ace, il y avait passé toute sa vie 
demeurant pendant 30 ans à l'em- | Wayland (Elkhorn), 
ploi de l'hôtel Tourist. M. Turen- la tonne 
ne était âgé de 71 ans. 
Deux frères, Jules, de St-Bo- Sapphire (Elkhorn), 
niface, et Eugène, de St-Pierre, la tonne 
| survivent au défunt, de même que | 
2 soeurs, Mmes C. Couture, de 
Montréal, et J.-A. Chabot, de Win- | 
nipeg 


Le service funèbre fut chanté 
en la basilique de St-Boniface le 
mardi 16 février, à 10 h., et l'in-| 
humation se fit dans le lot fami- 
lial, dans le cimetière de St-Bo- 
niface, | 

Le salon mortuaire Desjardins 
dirigeait les funérailles. 

Li * L3 


Heures de magasin: 
9 h. 39 am. 


à 5 h. 30 p.m. 
MME MARIE ROBERT 


Winnipeg, le 19 février 1954 


Charbon sûr, de la Baie, 
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stone, la tonne 


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stone, la tonne 


10.60 
18.95 
18.95 
22.25 
22.25 


40% Wayland 
la tonne 
50% Wayland 
la tonne 


60% Sapphire 
la tonne 


13.95 
13.95 
15.25 
16.45 
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sac . .. 20 sacs pour une tonne, Signalez 3-2-2 et demandez le 


Departement du combustible, Sous-s0l de la Baie. 


Dodsons Day Company. 


INCORPORATED 2%? MAY 1870. 


Le vendredi 12 février, à l'hos- | 
pice Taché, est décédée Mme Ma- uw 
rie Robert (née Landry), de 268, | 
rue Notre-Dame. Elle était âgée 
de 83 ans. | 

La défunte laisse dans le deuil 
2 filles Mmes E. Carbonneau, 
de St-Boniface, et A. Plamondon, 
de Winnipeg: 5 fils, Joseph, de 
St-Boniface, David, de Norwood, 
Louis, d'Elmwood, Paul, de Mor- 
ris, et Arthur, de Wapella, Sask. | 


Lui survivent également 3 soeurs ct 
{sur le célèbre roman du grand 


Mmes Adeline Bernier, A. Roy et|® À x F 
O. Bérard, toutes de St-Jean-Bap- | écrivain russe Dostoiewski. C'est 
une réalisation de Lampin, avec 


tiste, 4 frères, Henry et Olivier, 
de St-Boniface, François, de Mor- une magnifique troupe d'acteurs 
français de premier ordre, 


ris, et David, de St-Jean-Baptis- 
te; 16 petits-enfants et 14 arrière- 
petits-enfants 


Les funérailles eurent lieu en 


Scénario 


Le prince Muichkine revient à 
St-Pétersbourg après cinq ans 
passés en Suisse où il se soignait. 


di 15 février, à 10 h., et l'inhuma- | 
tion se fit dans le cimetière pa- | 


{son parent, Epantchine, qui, pour 
marier sa fille, Aglaé, à Totsky, 
veut éloigner l'amie de celui-ci, 
Nastasia, en lui faisant épouser 
son secrétaire, Gania, Au cours 
d'une scène très dramatique, Nas- 
tasia se vend pour 100 mille rou- 
bles au marchand Rogojine et 
lance l'argent à la tête de Gani. 
Muichkine n'est pas dupe des ac- 
|tes de Nastasia et lui offre de 
l'épouser, Elle refuse et part avec 
Rogojine qui ne peut la compren- 
dre, Jaloux, il veut tuer le prince. 
Celui-ci aime Aglaé et celle-ci 
lui rend son amour, éclairée sur 
ses sentiments par Nastasia qui, 
pourtant, aime aussi le prince. 
Toutefois devant l'attitude d’A- 
glaé, Nascasia va rejoindre le 
prince, mais l’esprit de celui-ci lui 


Les arrangements funéraires a- 
vaient été confiés à la maison 
Coutu. 


M. H. R. J. DEASE 


Le jeudi 11 février, à l'hôpital 
Miséricorde de Winnip:g, est de- 
cédé M. Hector (Victor) Dease, 


niface. Il était âgé de 72 ans. 


M. Dease, originaire de Leroy, 
D.-N, avait épousé Flora Re- 
naud, à Neche, D.-N., en 1906. 
Deux fils sont nés de cette union, 
mer, qui survit à son père, et 
Aimé, décédé en 1912, Mme 
Dease mourut en 1921. M. Dease 
résidait au Manitoba depuis! 
1909. Il demeura à Winnipeg 
pendant quelque temps, puis al- 
la s'établir à St-Boniface où il | 
resta jusqu'à sa mort. Il fut tour 


de douleurs, l'esprit du prince 


de magasin, plombier et électri- | Sombre dans le désespoir. 


cien, à l'emploi de diverses mai- 
sons de Winnipeg. | ES jt 
En 1923, M. Dease contractal Voici un très grand film fran- 
un second mariage avec Mile | Sais tiré du plus beau roman rus- 
Régina Renaud, qui lui survit, | 5€ une des plus artistiques réus- 
Le défunt laiss> aussi dans le | sites de l'écran dont on doit louer 


Appréciation 


e| ae 00! . 
| deuil 3 petits-enfants, 2 frères, | aussi bien le réalisateur, que l'a- 


daptateur et les interprètes, ‘‘L'I- 
et AE. Dease, de Walhalla, D..| diot” c'est le drame de la résur- 
N., et 2 soeurs, Mmes Malvina | 'ection d'une âme perdue... ré- 
Genthon, de Winnipeg, et J.-G.|surrection par l'amour. Le grand 
Champagne, de St-Vital, l'ÉSRARERS a sas Aves AuaUe 
shnié ons: | Vigueur farouche et quelle ar- 
repetineeu que jenidretrié-|dente “éloquence. lon peut ra: 
du Grand Nord, le itain |cheter les âmes, sermentiallee 
oise W TE Porte nn jrs au fond de la fange. Bien enten- 

à Me sa mat“ d “| du, nous sommes ici à une autre 
ce irlandaise. Ses parents mater- 
nels (Gingras) étaient de Pointe- 
aux-Trembles, P.Q. 

Les funérailles eurent lieu en 
la basilique de St-Boniface le 
samedi 13 février, à 10 h., et 
l'inhumation se fit dans le cime- 
tière de la rue Archibald. 


Le monde moderne n'offre pas 
des problèmes de cette nature 
mais il reste vrai et de toutes les 
époques que l'âme peut aller au 
fond des abimes ou s'élever jus- 
qu'à la perfection selon qu'elle 
est mal ou bien guidée, Avec ce 
film exceptionnel, Georges Lam- 
pin prouve sa maîtrise aüssi bien 
en dirigeant les interprètes qu'en 
créant une atmosphère très étu- 
diée et très vraie. Les décors de 


Les porteurs furent 6 neveux: 


Genthon et Charles Goulding, | 
tous de Winnipeg. | 

La maison Coutu était en char- 
ge des arrangements. 


images de Matras et ses éclaira- 


Cité de Saint-Boniface 
AVIS 


Des demandes en écrit seront reçues par le soussigné jusqu'à 
5 h., du soir, le lundi ler mars, pour: 


Un (1) pompier au Département de Feu 


Salaire initial: $177.30 par mois 
Augmentiations réglementaires 
Entree en fonction: le 15 mars 1954. 
Temps de probation: 6 mois. 
Limite d'âge: de 20 à 28 ans. 
Les candidats devront soumettre leur degré d'éducation, ex- 
perience —- s'il y a lieu — et subir un examen medical 


Ceux qui ont dejà par le passe Iait une demande pour un em- 
ploi de ce genre devront soumettre une nouvelle demande. 


Pour plus de détails et formules de demande, s'adresser à M, 
Arthur SPENCE, Chef des Pompiers, au poste no 1 du Dépar- 
tement de Feu. 
PAR ORDRE 
Maurice PRUD'HOMME 
Greffier 
Hôtel de Viile 
St-Boniface 
le 17 février 1954 


échappe et elle retourne près de | 
| Rogojine qui la tue. Devant tant | 


époque et dans un autre monde.| 


Barsac et surtout les très belles | 


“L'idiot” de Dostoiewski au 
Paris, le 25 février prochain 


Jeudi soir prochain, à partir de | ges savants contribuent pour une | 
Î6 h, on présentera au théâtre |large part au succès de cette oeu- | 


Paris un film dramatique basé| Te: | 


| 


| 
| 


A son arrivée, il rend visite à|du prince, Gérard Philippe est 


Interprétation + 

Edwige Feuillère en tête de la 
distribution dans le rôle de Nas-| 
tasia a fait une création digne de 
son talent consommé de grande 
comédienne, Son personnage est 
un élément au succès d’exploita- 
tion de ce film au sujet drama- 
tique très attachant et qui re- 
présente un des plus gros “mor- 
ceaux” de la saison, Dans le rôle 


tout simplement une ue | 
son interprétation n'évoque ici 
ni l'habitude du comédien ni la 
perfection d'un métier: il fait sien 
un héros qu'il incarne. Et cepen- 
dant, il ne s'impose pas à lui; il 
s'y substitue: fidèle à lui-même, 
il l'est aussi au personnage, Il se | 
classe avec “L'Îdiot” parmi les! 
plus grands noms du cinéma fran- 
Çais, ainsi que Lucien Coedel, Na- 
thalie Nattier a un riche tempé- 
rament qui s'affirme de plus en 
plus et qu'on se plait à revoir. 
Jane Marken, Debucourt, Mar- 
guerite Moréno, Tramel ont tous, 
dans des rôles de second plan, très | 
bien campé leurs personnages, | 


| 


| 


Bulletin de nouvelles 
catholiques du Canada 
pour étranger 


OTTAWA — Le Service d'in-| 
formation de la Conférence ca- 
tholique canadienne vient de 
commencer la publication d'un 
bulletin spécial de nouvelles des- 
tiné aux pays étrangers. Ce bul-| 
letin, expédié chaque semaine par | 
avion, est à la disposition des 
journaux et agences de nouvelles 
catholiques, ainsi que des associa- 
tions catholiques internationales, 

Le premier bulletin a été en- 
voyé dans plus de 15 pays. Son 
but est de faire mieux connaitre 
la vie catholique au Canada dans 
les différents pays du monde, 

Ce bulletin international s'a-| 
joute aux bulletins réguliers que | 
le Service envoie plusieurs fois 
la semaine aux quotidiens et pos- 
tes de radio du Canada français 
depuis mars 1953, ainsi qu'aux | 
bulletins différents mis à la dis-| 
position des hebdomadaires en! 
novembre dernier. | 


Bureau de téléphone 
ouvert pour com- 
mondes de 9 h. a.m. 


à 5 h. 30 pm. 


Rapports encourageants 
de le bibliothèque de 
t-Boniface 


Les rapports que nous recevons 
sur la bibliothèque de St-Boni 
face sont extrêmement encoura 


geants. La section française qui 
nous intéresse particulièrement 
est heureuse de présenter un rap- 
port des plus intéressants. Notre 
section française a une liste de 
plus de neuf cents membres adui- 
tes: 924 de la ville et 4 de l'exté- 
rieur et plus de 628 enfants, On 
sait, par ailleurs, que les enfants 
de St-Boniface peuvent puiser à 
une autre source, celle des bi- 
bliothèques scolaires, Ce qui si- 
gnifie que nos enfants lisent ac- 
tuellement du français en assez 
grande quantité, Il est intéressant 
de noter aussi que très peu d'a 
duiltes sont en retard quand il 
s'agit de rapporter leurs livres, 
La circulation se fait régulière- 


{ment et rapidement. 


La circulation en janvier à la 
section française de la bibliothe- 
que a été de 1,556 et cela malgré 
une température excessivement 
froide et des jours de tempête 
Comme on le voit, ces chiffres 
sont éloquents. Entre-temps la 
bibliothèque s'enrichit tous le 
jours de nouveaux volumes et 
le service est à la hauteur, Peu 
de villes de la population de St 
Boniface et du genre de la nôtre 
- double culture — peuvent se 
vanter d'une pareille harmonie 


let d'un système aussi parfait, 


Nous sommes marchands 


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vous donnent 


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l'heure précise 


9h.30 a.m. 


Les Frères Chaput, 300, rue Hamel, rappellent 
à leurs clients que les livraisons se font deux 
fois par jour. On vous demande d'appeler avant 


de la matinée, et avant 


Winnipeg, le 19 février 1954 


HADIO 


VENDREDI 


1215— Nouvelles 
1120—-Nouveiles locales 
1220-L'art dans la vie 
146—Nos nations su 
micro (Juifs) 
115-Nos nations eu 


Du lunds su vendredi | 
imchusirement | 


‘ Quyerture rucro (Polonais 
: 1 6 Nonsvelles : 45— Opéra 
.» 115-Prière du ematin 400— La musique parmi 
+ Mi Nouvelles ras 
l'AL" : Sans cérémonie 42-Non nations au 
LE ,21 suiun à 140 Nouvelles micro 
hestre 10$—Sans cerémonie (Ukraimens) 
Nouvelle 22-Nouvelles 500-Nos cations au 
18.1 heure *xquise 175—Sans cérémonie micro ( Allemands) 
1110 Nouvelles VO Nouvelles 600— Match intercité 
s19-Quatre dans un 52 CKSB presente 


bM-Charades Gold 


Standard | 7400-L'univers des 


#45-Carnet Social 


PA45-Je vous ai tant rsonnases 
aime 129- Nos fut étniles 
00 N 800-Sur toutes les 
s…Poti iiers scènes du monde 
25-—Devinette Five 5 00— Nouvelles 
EH | #15-—Chron de Ftance 
30... Potins familiers 930— Variétés trançaises 
4—fHendez-vous chez 1000— Nruvelles 
à pr ne L | 1005-L'heure exquise 
Nouvel 
y LUNDI 


45-—Hadiu Sacré-Coeu 


+ SACT eut | 339—0Cité des plantes 
Nouvelles | 345-Monde animal 
Marches | 815—Kents Accordeon 
Au clavier College 
1225—Information 83%0-Don Camillo 
ruraie 9.15-Carrefour 
1230—Reveil rural 930-—-Le choc des idées 
00— Nouvelles 
119-Cond. des routes | MARDI) 
15— Prévisions B05—L2 parade des 
120—Marché aux bDes- chansonnettes 
x - grain | 1015—Au centre de cou- 
ra | ture Singer 


1120 Radio-Parents 
33%0—De l'adolescence 

à la maturité 
345-—Femmes célébres 
| 8320-—La revue des arts 

| et des lettres 
H15-—Affaires de l'Etat 
530—Reportage à tra- 

vers le temps 
Concert sympho- 
nique de Montréa) 


MERCREDI 
920—A votre santé 


1 
| 


se p | 330—Aventures scient 
2 le | 800—Le trio lyrique 
. 10." . | #30-—Idées en marche 
22 Éoté Parisis | 915-Carrefour 
4-88 ÿ , ie ” 53%—Nature du sol. 
mt aug | visage de l'homme 
| JEUDI 
DIMANCHE 8.05— Parade des 
50 r Î Chansonnettes 


19.15—Au centre de cou- 

| ture Singer 

| 330—Le cinéma 

| 830—Baptiste et 
Marianne 


| 
10.05—L'heu exquise | 
1100—Nouveiles | 


{ 55 N 
10.00 M 


1200—L+s institutions 9.15-Carrefour 
politiques dans le #30—Connaissance de 
r'r 


monde 


| Chronique de CKSB 


1250 Kilocycles 


Léo grandit en sagesse . . . et] 
en Claudel, Le 15, il célébrait sa 
30ème année de celibat. L'Oncle 
Léo commence à prendre de l'à-| 
ge et, à sa grande stupéfaction, |, 


il a découvert un cheveu blanc! {ist à 12h , “Institutions po- 
sur le temporal gauche, un demi. | 


| litiques”’; à 12 h. 30, “L'art et la 


Voici maintenant 


Le dimanche 21, à 11 h. 30, 


pouce au-dessus de l'oreille. On vie”: à 1 h. 45, l'opéra “Un Ballo 
ignore depuis combien de temps | In Maschera’”’ de Verdi: à 6 h., | 
l'intrus avait germe. . | “Match intercité”; à 7 h., ‘“Uni- 

Depuis quelque temps, 1 aml!| vers des personnages’; à 7 h. 30, 
Pierre est devenu silencieux | “Nos futures étoiles”, mettant en 
comme un sphinx. D'habitude, | ,edette Paulette Morin, soprano, 
on pouvait le trouver au plus|et Robert Bygrave, baryton. A 


fort d'une discussion philosophi-| 8 h., le Théâtre de Radio-Collège 


que ou culturelle dans la salle | brésente: “La Cerisaie” d'Anton 
de contrôle, Maintenant, il de-| Tchekov, avec commentaires de 
meure sagement assis, occupé à | M. Raymond. 


tourner les disques. P, doit rumi- 
ner quelque chose ... 
Les talents de J.B, n'ont pas 


Lundi, à 11 h. 45 du matin, le 
programme ‘‘Fémina’” passera 
sur nos ondes. Le sujet qui sera 
de limite. À celui de peintre, cari-| discuté sera “Une femme aver- 
caturiste, chanteur, il faut main- | {je en vaut deux” ou “Le voisin 
tenant ajouter celui de photogra- | bruyant’; à 8 h. 30, “Don Ca- 
phe, Il refuse de nous montrer le | millo’”’ et à 9 h. 30, “Le choc des 
résultat de ses efforts, mais nous | idées”, 
le convaincre 


PT US AS VE à Lou Mardi, à 8 h. 30, “La revue 
que le monde de l'art a besoin! 4 arts et des lettres”: à 9 h. 30, 
de ses oeuvres et qu'il exposera 
sous peu ses blancs et noirs 


“A travers le temps''; à 10 h. 15, 
“Les affaires de l'Etat''; 
gramme, dorénavant, passera en 
onde tous les mardis soir, à la 
même heure. 

Mercredi, à 8 h., ‘Le Trio Ly- 
rique”, mettant en vede‘te Lio- 
nel Daunais, Anna Malenfant et 
Jules Jacob; à 8 h. 30, ‘Les idées 
en marche” — ‘Le Canada: se- 
cond violon des Etats-Unis?”’; à 
9 h. 30, ‘“‘Nature du sol, visage 


La Librairie Catholique 


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St-Boniface, Man, 


. de l’homme’, 
fournit Jeudi, à 8 h. 30, p.m., “Baptis- 
. te et Marianne’; à 9 h. 30, ‘‘Con- 
rapidement naissance de l’homme”. 


Vendredi, à 3 h. 30, ‘‘Un chré- 
tien devant saint Paul”. 
Samedi, à 6 h., ‘‘Notre français 
| sur le vif’ et, à 7 h. 30, ‘‘Le ma- 
gazine des sports”, 


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L'autre est bien plus important. C'est une combinaison de ser- 
vice et d'administration. Voilà qui est capital cor l'argent n'a 
de puissance que dans la mesure où il est bien géré. - 


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offrons un service rapide, courtois, ponctuel. Et les con- 
seils d'hommes et de femmes adéquatement formés. Nous 


offrons des suggestions sur la façon d'améliorer l'administra- 


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quelques | 
programmes du 21 au 27 février: | 


Jardins plantureux, jardins! 


ce pro-| 


= mm DZ 


| 
{ 
| 
| 


| 


| 


Réception à l'Ambassade du Canada à Lima -- A l'occas 


ion 


du départ de S. Exc. Mgr Giovanni Panico pour la Délégation 
Apostolique au Canada, l'Ambassade du Canada à Lima, Pérou, 


a donné une réception en son honneur 
canadien, 
St-Léon de l’Amazone: S. Exc. Mgr Panico, qui était none: 


Damase Laberge, franciscain 


lique au Pérou depuis 1948: et 


De gauche à droite: Mgr 
préfct apostolique de 
aposto- 
Exc. Emile Vaillancourt, 


S M 


ambassadeur du Canada au Pérou. 


Nos communautés religieuses 
Les Filles de la Croix 


|où la fortune de la famille était| Benjamin agissaient comme té- 
len jeu: celle-ci se trouvait con- | Moins et MM. Léo et Louis Ben- 


(suite) 

Pour échapper aux recherches, 
le Père André exerçait son mi- 
nistère dans différentes retraites: 
tantôt dans une chambre, tantôt 
dans une grotte, tantôt au fond 

»s bois Il célébrait ainsi une 
se nocturne dans la grange 


des 
demoiselle, accompa gnée d'un 
vieux serviteur, virit se méler à 
l'assistance. Ardemment désireu- 
se de recevoir les sacrements, elle 
avait été heureuse d'apprendre 
qu'un prêtre revenu d’exil célé- 


surmonté bien 
se procurer 
participer. 


res et elle avait 
des difficultés pour 
la consolation d'y 


tre de Dieu, son air de sainteté 
la frappa singulièrement et elle 
se sentit portée à lui ouvrir son 
âme. Elle le rencontra donc au 
saint tribunal et partit toute ré- 
confortée, sentant que Dieu avait 
exaucé sa prière, qu'elle avait 
| trouvé son Ananie. 


| La fondatrice 
| La Providence avait donc pré- 
| paré la rencontre de S., André- 


Hubert avec celle qui devait de- 
venir sa première cCollaboratrice. 
| Celle-ci s'appelait Elisabeth Bi- 
chier des Ages, Elle était née au 
Blanc en 1773, de parents aussi 
chrétiens que nobles. De bonne 
heure se manifesta chez elle un 
excellent naturel qui la portait 
à la piété envers Dieu, à la cha- 
rité envers les pauvres. De dix 
à quatorze ans, elle fut mise en 
pension à Poitiers chez les re- 
ligieuses Hospitalières dont la 


était sa parente, Elle fut pour 
les autres pensionnaires la plus 
{charmante des compagnes, leur 
| laissant toujours, sans en 
| l'air, ce qui était le plus agréa- 
| ble. Son jeu favori était de cons- 
|truire de petits châteaux de sa- 
ble; aussi lorsque, plus tard, elle 
eut à diriger d'immenses travaux 
de construciion, elle disait plai- 
samment: “Ce devait être là mon 
métier puisque j'en ai fait l’ap- 
prentissage de si bonne heure, 
| Dans cette religieuse atmosphè- 
re, sa piété prit un nouvel essor 
[et sa première communion lui 
| a laissé au coeur une faim insa- 
tiable de l'Eucharistie. 


Mlle des Ages dans le monde 

Rentrée dans sa famille, ses pa- 
rents continuèrent de la forrner 
pour la vie qui, vraisemblable- 
ment, devait être la sienne, tan- 
dis que son oncle, l'abbé de Mous- 
sac, vicaire général de Poitiers, 
la pourvut de connaissances va- 
riées, depuis la religion jusqu'à 
la comptabilité, Elisabeth deve- 
nait chaque jour plus accomplie, 
Douée per la Providence d’une 
intelligence de premier ordre, 
d'un jugement parfait, d'un coeur 
excellent, elle était aussi 
beauté ravissante et 


le monde 


commença à la rechercher, “Mon | 


bal ne sera qu'obscurité et lai- 
deur. disait une dame de la so- 


ciété poitevine, si Mlle Elisabeth | 


ne vient l'éc'airer et l’embellir 
de sa présence”. Mais celle-ci é- 
tait ingénieuse à se dérober à ces 
invitations. 

L'heure des épreuves sonna 
bientôt. Ce fut d'abord M. des 
Ages qui contracta une 
maladie: 
le chevet de 
jusqu'à 


son lit, l'entourant 
sa mort de soins et de 
tendresse, On était au début de 
1792: la Révolution avait déjà 
commencé sa sinistre besogne, Les 
révolutionnaires du Blanc voulu- 
rent imiter ce qui se faisait à Pa- 
ris et poussèrent l'audace jusqu’à 
proposer à Mlle Bichier de jouer 


le rôle de la déesse Raison et de | 


trône dans 


figurer sur un son 


église paroissiale pour y recevoir | 


les hommages du peuple. Pour 
toute réponse, elle se redressa 
avec une méjestueuse dignité et 
foudroya les impies d'un regard 
si courroucé qu'ils se retirèrent 
pleins de honte. 
Avenir brillant pour elle 

Ensuite, 
et son plus jeune fils furent en- 
fermés dans la prison de Clä- 
teaurofx où et 


mois, ils furent relâchés mais Eli- 
| sabeth dut rester encore dans cet- 


| te ville pour soutenir un procès 


Soulagement immédiat des 


DEMANGEAISONS ==" 


Dès la première application, la Prescription 
D.D.D.—1 de adoucissant et rafraichissant— 
soulage les démangeaisons algues causées par 
l'ecréma, l'irritation du cuir « clu. les érup- 


tions et autres genres de dér geaison. Non 

| graisseuse el ne Lube pas. Fla +] ai, 4 
à atisiaire gent se Le 
mandez la PRESCRIPTION D.D.D. à votre 
DE 


Dinde lé CD 


Marsillys lorsqu'une noble| 


brait en secrets les saints mystè- | 


Lorsqu'elle vit à l’autel le minis- | 


supérieure, éducatrice accomplie, | 


avoir | 


d'une | 


cruelle | 
Elisabeth ne quitta pas | 


Mme Bichier, sa fille | 


nt beaucoup | 


à souffrir. Au bout de quelques | 


fisquée du fait que l'ainé des fils 


avait émigré pour suivre la famil-| y f4 € 
ÈCr | Gerry Gelley, accompagné à l'or- | 


le royale à l'étranger. Après bien 
| des démarches et des ennuis de 
toute sorte, la jeune+fille eut en- 
| fin gain de cause, grâce à sa com- 
pétence comme à l'estime qu'elle 
&vait su inspirer, Parmi ies com- 
pliments que ce succès lui attira, 
{le plus singulier fut sans doute 
| celui de l'ancien cordonnier de 
[sa maison:, “Citoyenne, lui dit-il, 
[il ne te manque plus que d'épou- 


{ser un bon républicain”, Cela! 
| n’entrait certainement pas dans 
Iles intentions d’Elisabeth. Le 


{monde brillant et quelque peu 
léger connu durant son adoies- 
|cence ne l'avait point attirée, ce- 
lui de 1793 ne pouvait lui inspi- 
rer que du dégoût. Sa mère, dé- 
|sireuse d'assurer son avenir, lui 
| faisait quelquefois, quoique tou- 
| jours inutilement, de propositions 
| d'établissement dans le monde; 
| un jour où elle insistait pour fai- 
|re accepter un parti qui lui sem- 
blait réunir toutes les qualités 
désirables, une réplique sponta- 
|née s'’échappa des lèvres d’Elisa- 
beth: “Eh bien, maman, puisqu'il 
l'est si parfait prenez-le pour vous- 
|même”. Elle se reprit aussitôt et 
|corrigea ce que cette répartie a- 
vait de choauant, maïs Mme Bi- 
{chier comprit que sa fille avait 
| des ambitions plus hautes. 

Désir de se consacrer à Dieu 
Celle-ci désirait se consacrer 
| uniquemènt à Jésus et à Marie 
{comme elle l'écrivait dans son 
|manuel: “Moi, Jeanne-Elisabeth- 
Marie-Lucie Bichier, je me dédie 
[et consacre aujourd'hui et pour 
| toujours à Jésus et à Marie... le 
5 mai 1797”. Elle aspirait donc à 
la vie religieuse; mais comment 
réaliser ce dessein dans le désar- 
| roi causé par la tourmente révo- 
|lutionnaire? La pieuse jeune fille 
| priait Dieu de rendre la paix à 
| l'Eglise de France et de l'aider à 
| réaliser l'idéal de vie auquel elle 
| aspirait. En attendant l'heure de 


| la Providence, elle faisait l’im- 
| possible pour recourir secrète- 
|ment au ministère de quelque 


| prêtre fidèle, et c'est ainsi qu'ay- 
|ant appris la présence de l'abbé 
Fournet aux petits Marsillys, elle 
s'y rendit aussitôt. 

(à suivre) 


les maladies du coeur ont 
| décidément augmenté, probable- 
| ment en raison de la rapidité et 
de la tension de la vie moderne. 
Beaucoup de gens qui dépassent 
la quarantaine oublient qu'ils ne 
{sont plus des adolescents, capa- 
| bles de monter les escaliers en 
| courant ou de descendre les cô- 
tes en ski. 11 est prudent de se 
rappeler son âge et de se ménager, 


UN SERVICE 
RENOMME POUR 


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Le puissant bâtiment principal de la flotte 
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AMPTON-LE HAVRE-ROTTERDAM par les 
| bateaux NIEUW AMSTERDAM, MAASDAM et 
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Î par les bateaux WEST et NOORDAM— 


. Une fois par mois le RYNDAM 
etle M AM desservent Cobh, Irlande. 


LA LIBERTE ET LE PATRIOTE 


PAGE CINQ 


De nombreux prix donnés aux 
‘cartes des parents scouts de St-Boniface 


La deuxième d'une série de cinq} 


parties de cartes organisées par | 


lies parents des Scouts de St-Bo- 


1 


[en 


| 
| 


| 


| liette Benjamin, 


niface eut lieu lundi soir dernier. 
Nous offrons nos félicitations aux 
heureux gagnants des magnifi-| 
ques prix qui échouèrent comme | 
suit: 

Prix des cinq mains: Mmes A.\| 
Beaudry et H. Beaulieu, Mile Ja- | 
net Sweeney et M. A. Pichette: | 
prix du “pool”: Mile Claire Ga- 
lipeau; prix d'entrée: Mme H.| 
Dubé: prix des dames: ler, Mme | 


Li 
Mariage 
BERNIER-—_BENJAMIN 


Le samedi 30 janvier, à 11 h., | 

la basilique de St-Boniface, 
eut lieu le mariage de Mlle Ju- 
fille de Mme 
Thérèse Benjamin et de feu M.! 
André Benjamin, avec M. Claren- | 
ce Bernier, fils de M. et Mme Na- 
zaire. Bernier, de 594, rue St- 
Jean-Baptiste, St-Boniface. M.| 
l'abbé U. Lafond donna la béné- 


diction nuptiale aux nouveaux 
mariés 

Pour la circonstance, la mariée 
portait une ra tte se- 


mi-longue 
Les manches termin 
pointes de lys. Sa coiffure 
posait d'un voile trois-quarts 1 


se 


tenu par un petit bonnet en for- 
me de coeur. Elle tenait un bou- 
quet “Cascade” de roses rouges 
et de stéphanotis. 

La demoiselle d'honneur, Mlie 
Jeannine Bernier, avait une ro- 
be de nylon bleue trois-quarts 
M. Henri Benjamin était garçon 
d'honneur. 

MM. N. Bernier et Clément 


jamin, comme huissiers. 
Pendant la messe nuptiale, M 


gue par Mme Bourbonnière, exé- 
cuta l'“Ave Maria” et le ‘“Panis 
Angelicus”, 

A l'issue de la cérémonie reli- 
gieuse, une réception fut tenue 
au ‘“Homestead” puis l’heureux 
couple partit en voyage à Min- 
neapolis. Pour le départ, Mme 
Benjamin portait un costume bleu 
avec accessoires blancs. 

M. et Mme Benjamin établirent 


| résidence à 446, rue Jeanne d’Arc, | 
| St-Boniface, | 


Petite Note 
Remerciements 


A. Marion, vivement touchés par 
les nombreux et sincères témoi- 
gnages de sympathie manifestés 


mercient de tout coeur tous les 
parents, amis et concitoyens qui 


| 


L'EUROPE 


deuil. Remerciements spéciaux à 


l'exécutif de l'Association d’'Edu- | 
cation et au journal La Liberté | 


et le Patriote. 


Une vie heureuse ou 


iun mortel ennui? 


Si vous vous proposez de pren- 
dre votre retraite d'ici dix ans, 
cherchez tout de suite quelque 
genre d'occupation, profitable ou 


non, qui se substituera à l’emploi | 


que vous laisserez. Bien que la 
plupart des gens attendent avec 
impatience les longues journées 
où ils n'auront rien à faire, où ils 
ignoreront le réveille-matin et les 
heures de travail, ils s’aperçoi- 
vent d'habitude que l'oisiveté 


peut être pesante au bout d'un! 


mois ou à peu près — et que l'en- 
nui peut rendre malheureux. 
D'aprés les médecins, quand on 
a un ou plusieurs passe-temps 
pour s'occuper après la retraite, 
l'esprit et le corps en bénéficient. 
S'intéresser à un passe-temps ou 
à quelque occupation peut faire 
toute la différence entre une vie 
heureuse et le mortel ennui. 


Epuisé, fatigué, 13 


LI # - LA 9 
Faible, déprime ? 
Fini! Vous serez étonné du regain de force, 
énergie et vigueur, Essayez aujourd'hui les 
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Cobh, Irlande 
Southampton | 
LE HAVRE 


| Janier 


| A. Dubé et H. Lévêque, Mile Co- 
|et Hadges, MM. J.-0. Lambert et 


| J. Dondo. 


| l'amabilité de donner des 


| d'Eschambault Ltée, Hôtel St-Bo- 


Les membres de la famille J.-; 


à leur égard à l'occasion de la | 
mort de leur bien-aimé père, re- 


se sont associés à eux dans leur | 


| 


Rotterdam 


La traversée à bord des poavebots de la 
Holland-America Line est plus agréable que 
jamais, grâce à leurtradition maritime héritée 
de plusieurs siècles d'expérience, leur pro- 

reté méticuleuse, leur chaude hospitalité, 
eur service amical et courtois et leur cuisine 
continentale renommée. 


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Ps cd du navire aux passagers de classe 


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Menu excellent at abondant. 


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Direction Générale des Transports (Ministrie van Verkeer en Waterstaat) 


La Haye, Hollande, 


Degart T'Haltar à destination directe pour Rotter- 
dam: Watermen, le 11 mars: Groote Beer, 9 avr. 
Da Quebec vers Southampton et Rotterdam: 
30 avr; Zuiderkruis, 13 mai, 
escale au Havre. De Mes Vert vers Southampton 
et Rotterdam: Grocte Beer, 17 mars; Waterman 


Agence: Holland-Americs Line. 


| Pain à 10renge et au Macis 


parties de 


E. Proulx, 2ème, Mme A. Séné- 


cal, consolation, Mme Alice Dru- 
wé; prix des hommes, ler, M 
sucun Ménard, consolation, M Méanger et tamiser 3 fois, 214 tasses farine à pâtisserie 


ou 214 tasses farine à toutes fins) tamisée une fois, 
31% c. à thé Poudre à Pâte ‘Magic’, 14 c. à thé sel, We. 
à thé macis moulu. Défaire en crème 14 tasse beurre et 
y incorporer % tasse sucre granulé fin; y ajouter, en 
battant, 1 œuf bien battu, 1 c. à thé zeste d'orange 
râpé et 14 c. à thé vanille. Ajouter les 
ingrédients secs au mélange crémeux, en 
alternant avec % tasse lait. Verser la pâte 
dans un moule à pain (44° x 84°") graissé 
et garni d'un papier graissé. Cuire au four 
modéré, 350°, environ 1 heure. Laisser re- 
froidir le pain dans le moule. Servir le 
pain froid en tranches beurrées. 


La rafle spéciale favorisa Mmes 
Alice Levacque et Eléonore Gen- 
dron et Mile Alice Normandeau, 
et les prix de la rafle ordinaire 
allèrent à Mmes A. Druwé, Mi- 
chel Normandeau, Rose Dionne, 


lette Huot (2 prix), Mmes E. Bi- 
lodeau, F.-X. Paillé, P. Hébert, | 
P. Quenelle, A. Proteau, M, Volk 


Les parents des Scouts désirent 
exprimer leur sincère reconnais- | 
sance aux nombreuses personnes | 
et maisons d'affaires qui ont eu 
prix 
au bénéfice de leurs parties de 
cartes, Ce sont: C.-R. Dufault 
Ltée, A. Huot, J. Van Belleghem, 


Toujours fiable 


Martin Paper, Meéckling Furs,| LE 
Bockstael Construction, Hospice | 
Taché, Epicerie Collette, Henri —— ee 


| Réunion de la Société 


niface (A. Landry), Chez Guay, | N : : d 

suterie Stanners, Bruneteau . . À 
Snack Bar, Western, Paint, LG ot Historique de St-Boniface 
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à St-Boniface 


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Lumber à Fuel Co. Lid, Patisserie La Société Historique de St 


Pelland, Modern Food Centre (M Boniface tiendra une réunion pu 
x s ‘ A : | e ré 1 | 

Marcoux), Empire Soap, Gene La nomination des candi- biloue la . 11 à " ? x + 
. 1 1ique eue sont inviles JUS 
Gauthier, De la Rue Transfer,|| dats au poste de commissaires He, A QUO dire “ À 
lercrec 


membres et amis, le 
j 


Dhatairs uguay agas Ma- naiss é x aur': ses 1  m 
Restaurant Duguay, Magasin Ma d'écoles de St-Boniface aura soir Hi Motte à D à 15 Le des 


er, Pal's Confectionery (Mme|| iieu le mardi 2 mars, entre mi- : cs 
No! I et Maontéin ot € 4 es férencier principal sera M. l'abbé 
Nolin), Daoust Electric et St Bo- || di et une heure. É François Rae curé d'Au 
| niface Hardware, Si plus de deux candidats || hjgny. qui parlera sur les origi- 
Nous invitons chaleureusement || se présentent pour remplir les || ne5 4e Ja AE co. d PLETSS 
ous amis des Scouts à venir || deux postes vacants, les élec- | public Le Evité l'ételotes à ble 
se récréer de nouveau à notre|| tions auront lieu le vendredi sétréà Le Fu . 


troisième partie de cartes qui au- 
ra lieu lundi prochain, 22 février, 
au local scout 


AUBAINES SPÉCIALES 
de FIN DE SEMAINE cu 


SAFEWAY 


1 


19 mars. la 


| L'assemblée sera tenue dans 
| salle Ste-Cécile de la basilique. 


Angle Braemar 
et Marion 


Ouvert le vendredi 
jusqu'à 9 h. p.m. 


la Ib, 2]c 
la 1, D9c 


Filet de morue, 
Rôti de boeuf, ri. 


derrière, nimporte 
quel morceau ‘ 


L'itom de la semaine 


THÉ CANTERBURY, 
la livre, 87c , moins 10c 


Café Airway, 1" 9% 


Tomates, ::*. 3 vu 52c 
GÂTEAU BLANC, sem … 370 
“COFFEE RING” 25c 


Fruits 


Pommes jaunes Newton, 
Courges Hubbard, 
Pamplemousses, :::::: * 


(Un régal pour la fin de 
semaine) 


blanche 


[PETEELITELE 


Winnipeg, le 19 février 1954 


Monique Guyot Jacques Ouvrard 


Mme Marta (docteur Jacques 
Ces jeunes artistes font partie de l'équipe du Cercle 
Molière qui présentera demain soir, au théâtre Playhouse 
de Winnipeg, la comédie en trois actes d'Albert Husson: 
La ligne de chance. 

Le doct Jacques Jacques, frais sorti de l'école de 
edex € t encore dans l'obligation re 
le facon suivie son pere Pour lui donner des n ei- 
es, sans doute, et lui témoigner son amour filial, mais sur- 

tout parce qu'il a besoin d'argent. Un jour pourtant, son 
pére vient le voir parce que les lettres se font moins fre- 
uentes, et il trouve son fils dans a TRE de tireuse de 
arte Jacques Jacques s appelle 1-Bey 11 s'est fait 
{akir parce que la voyante extra-luc de F4 deuxième, Mme 
Marfa, a une trop grande clientele, et une situation finan- 


ciere beaucoup pl nteressante 


Le R. P. L. Vielfaure, P.B., troisième 


prêtre ordonné à La Broquerie en un an 


1s 


LA BROQUERIE Le 2 fé-, Louis Vielfaure s'avança à la 
rier dernier, en la belle fête de A alors que d nom 
Purificatior de la Sainte | breux parents et paroissiens dé 
Vierge, avait vu dans notre |filérent pour recevc en 
égiise paroissiale l'ordination sa-' diction et 1 ba r 
cerdotale du R. P. Louis Viel Ensuite, Son Excellenc es 
faure PB membres du ergé present et 
4 10h, $S. Exec. Mgr Maurice | les nombreux parènts Y € 
Baudoux célebra ine messe | rendirent à la salle p L 
basse, assisté du R. P. R. Audet, | où un diner fut serv 
P.B., et de M. l'abbé Leon Roy, A ce repas, M, Gérard T« 
curé de La Broquerie, M. l'abbe ! trault, beau-frère d nouveau 
Roland Bélanger dirigeait :s!prêtre, agissait comn 
cerémonies. Le R. P, Oscar Boi-! de cérémonies. Ceux q pr 
SJ. assistait le nouvel or-|la parole en cetts occasion f 
donné alors que celui-ci co<ele-| rent M. A. Bédard, préfet de la 
brait avec Son Excellence. Afin! municipalité de La Broquerie 
de permettre aux nombreux as-! M. Arthur Fre , Syr ] 
sistants de mleux suivre et com-} RR, PP, Audet et Vachor 1 
prendre les cérémonies, M. l'ab-! M. Antonio Vielfaure, frère du 
bé Joseph Choiselat en donna!nouvel ordonné, les RR. PP 
l'explication du haut de la chai-! Hardy et Boily, SJ. M. l'abbé 
re Robert Nadeau, M. Fernand Bal 
Au choeur, on remarquait des | Caen M. l'abbe Léon Roy, l'elu 
membres des clergé ré ulier et! du jour lui-même et S. Exc. Mgr 
séculier. De la cmmmunauté des M. Baudoux 
Pères Blancs _citons les RR. PP Premières messes 
Audet et W, Vachon: des Jésuites * LE F 
du collège de St-Boniface, les|, Le 1 ndemain ? février, à 9 h 
RR PP. L. Hardy et O, Boily: | le R. P. Vielfaure, assisté de M 
le R. P. M. Hudon, C.SsR., de|le curé, Ceékébra sa premiére 
Ste-Anne des Chênes, MM. les  MESse, en l'église paroiss sé 
ibbéé Léon Roy. curé de La La première mess ennelle 
Broquerie Rob:-rt Nadeau vi- du nouv | ordonné fut intee 
caire à Notre-Dame de Lourdes, | ©" l'église er taper Mer 9 e 
Joseph Choiselat, professeur au eÀ ee À og vd de À Unis 
soit 7 ë + 4 é rt Ne a 1 Jose hois 
‘e pes a me ve À + er Gau servaient comme diacre et st 
PT “A+ ke diacre. Le R. P, J, Gendron, SJ 
Après la cérémonie, le R. P.|A titre d'ancien profe r du 
} e prêtre, prononça le sermon 
d2 circonstance, lequel t 
de la beauté et de la grandeur 
du saint sacrifice de la masse 
Les Res Pères Biancs de St 
Boniface et le R. P. J. d'Aut 
Richard, S.J., du collég: £:-B 
niface, étaient présents au sanc- 
tuaire 
Soiree 
| Le soir, à 8 h, 30, une soiree 
recreative organise pa pa 
roisse fut donn a 1 sa pa 
| ruissiale, en l'honneur du nouvel 
ordonne. La salle etait comble, 
| témoignage eloquent de la grar 
| de joie et de la légitime fi 
de la paroisse entie de oir, 
en moins d'un an, le troisien 
| de ses fils eleve à la dignité sa 


cerdotale 


St-Germain 


Bénédiction des enfants 


Le 24 janvier dernier eut 
la bénédiction des enfants dans 
notre paroisse La ceremon 
commença par la bénédiction du 
T. S, Sacrement, suivie d'ur 
ermon commen t € 
aissez venir à Mo pet 
enfants” 
Cette Le R. P. Willibrord, OF lé 
manda ensuite à s les pe 
ennonce accompagnés de leurs pe t 
mères, de s'approcher 
est inseree es pied du petit J 1 à 
‘écn A tou list il 
pe médaille miraculeu 
DREWRY n° remarquait le. petit Lion 
C 1rCnE 1e agen 1 Le 
DIVISION diction et do sa I 
DU MANITOBA irande au petit Jesus qd à 
Cneé pc L) d rniere 1 
DE e lendemair : dit 
1 À s( qu 1! 
ne D 


WESTERN saint 
CANADA 


Remerciements 


M. et Mme € ) à 
ans 4 S 
BREWERIES ; Réneqelies + où. 
ER: mg * rene 
LIMITED sf Date St_Vita : 
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LES SURPLUS ET UN | 
COMMERCE MOINS RESTREINT 


Les Etats-Unis et le Canada sont inquiets au 

sujet de leurs surplus de blé non vendu, et 
cependant dés millions de personnes dans le monde sont in- | 
suffisamment nourries. Si le Canada et les Etats-Unis redui 
saient leurs tarifs sur les produits etrangers, cela aiderait 
certainement les autres pays à acquerir plus d'argent cana 
dien et americain avec lequel ils pourraient acheter plus de 
nos surplus de ble. 


SEARLE GRAIN COMPANY, LTD. 


La troupe du Cercle Molière, au théâtre P 


AT LIBERTE it EE PATRIOTE 


René Chartier 
Auguste) 


Marie Bergeron 
Nicole) 


Ce changemeñt de métiers donne lieu à toute une série 


de mésaventures. Au nombre de ses clients, Jaca-Bev comp- 
te une jeune dame blonde et un détective, Grâce aux ren- 


seignements de ce dernier, il “voit” vite, clair et loin . .. 


pendant un certain temps 


Mme Marfa n'a toutefois pas que des clients. Sa fille, 


Françoise, et son ami, Ramirez, jouent une part importante 

dans les épreuves du fakir. Albert Husson exploite avec 

finesse les situations dans lesquelles il plonge ses person- 

nages et l'equipe au Molière sait faire valoir toutes les 
lances au texte 


Mme Paulir 
en scène de 
Christiane 


ne dernière 


1e Boutal, qui assurne la direction et la mise 
la piece, avec le concours de Suzanne Tremblay, 
LeGoff et Armand Guenette, déclarait la semai- 

J'ai rarement vu une équipe aussi homogene”. 


Lorette 


Raymond Faur 
(le détective) 


Jeanne Forcier 
Françoise) 
C'est dire que les amateurs de théâtre qui se rendront au 
Playhouse demain soir ne seront pas déçus 
La ligne de chance est une pièce vive, spirituelle et sans 
prétention aucune. Elle a connu un succès d'estime de la 
part de la critique et un succès tout court de la part du pu- 
blic, ce juge souverain, lors de sa création à Paris en 1948. 
Et son auteur, Albert Husson, déclare l'avoir ecrite pour 
distraire 
En effet, M.]J 
bitude si severe 


-J. Gauthier, critique du Figaro — d'ha- 

disait au lendemain de la générale, le 
plaisir qu'il avait pris à la représentation de La ligne de 
chance. Un gentil, un agréable divertissement, un passe- 
temps sans gravité, mais pas sans vivacité d'esprit. Quipro- 
quos, surprises péties, rebondissements, tout cela est 
tres adroitement mené et fait penser à une comedie ameri- 
caine oui serait dans le goût francais 


per 


Laurier 


PAGE DEP 


layhouse, demain soir, dans LA LIGNE DE CHANCE d'Albert Husson 


Benoit Guyot 
(Ramirez) (le 


Georges-Edouard LaFlèche 


père de Jacques) 


M. Maxime Beéliard autre critique parisien louait 
l'auteur d’avoir l'esprit et le tact de ne pas ennuyer le pu- 
blic et de savoir même très bien le divertir par des réparties 
originales, imprévues, nées d'une situation qui ne manque 
pas de piquant. 


Dans Spectateur, M. Thierry Maulnier, auteur dramati 


que et critique, qualifiait cette pièce de réussite à peu pres 
parfaite, 
Albert Husson est lyonnais; secrétaire general du théà- 


tre des Célestins à Lyons en 1948. En 1947, une autre de 
ses pieces, Monsieur Providence, lui a valu le grand prix de 
a Saciéte des auteurs 


La pièce a été represent la premiere fois aris 
F à Par 
au theâtre Gramont, le 17 juin 1948, dans une mise en scène 


de Michéle Verly. 


Les écoliers de Vassar rendent 


ee po ir 


Cercle des Filles d'Isabelle Sports 
Une rés so M. le curé et M. Alphonse Bou- . \ . 
UT Dore chard, deux fervents du curling, visite à e d S th ] 
belle, aura lieu à la salle parois- ont pris part au bonspiel de Mc-| C ux e ou unc ion 
siale e samedi 2? > er ‘rearv, | semaine er e 
a sig ” we bd € se “ Lis nier eu Lu de SOUTH JUNCTION Vendre-, supplémentaires s'éèveront ap 
débutera par une No 'antams Ont TeMPUTE | di dernier, 12 février, Jes élèves | proximativement à $300.00 par 
rtes, Un prix spécial JA. VICCOIrS dans F4 pdf A de de l'école recevaient la visite dés | année, répartis entre environ 50 
sera tiré à 8h gré- a R e d ge 5 Em ‘’|elèves de Vassar, Il s'agissait de | contribuables 
aux prix seront don- a ote-nRose 1 Le 1S Une  féter la St-Valentin. Ces visites pe . = = 
h., y aura progres sharp At Is ont gagne CON- | méritent de l'encouragement par e 
et danse a olklore. tre cnre VIVE par un pointa ce qu'elles favorisent les ncon Pp 
ichisscments et un suc- ge de 5 à 2, et dans une sie con es entre écèies me Rx ; rh owerview 
r seront servis | tre Rorketor gi 4 ne 5 Deux item étaient au program Mariage 
Cord bienvenue à tous Les ts de ont fait partie nulle | me Ce fut d'abord une partie de Le same 6 février, à midi, 
” AIR ET 0 NUE d+ +-à d Ha pAcet Le | hockey tré mouvementée South ! dans l'églis Thérèse, M l'ab- 
] enons à remercier par s pvc ue at: 1 | Junct on remporta la victoire au | bé M. Messier bénissait le ma 
a voix du journal tous ceux et | prochain x agi À re de ho ke) . *{ compte de 7 à 1. 11 faut dire que | riage de Mlle Nellie Souka, de 
celles qui ont répondu si gené- dimanche 21 février, à Laurier Îles joueu de Vassar sont très | Pine Falls, avec M. Jos, Albert, 
re mr re petits bas de Noël au Partie de cartes nr gr Der 4 ce n'est que la deu- | d'{ ceat 1 Fal 8, C B, Les témoins 
its be #. 1 “… + VRCAQP EE L ju 4 : | qu'ils jouissent de | étaient Mlle Diane Souka et M, 
profit de notre église. Ce fut un Ce fut une belle soiree que la | l'usage d'une patinoire. M. le cu-| Léonard Ramono. 
réel succes. Qu Îq es contribu- premiere partie du 14 février et | 56 arbitrait la partie He, 
tions nous parviennent encore LnoRe en 1 Rae PTRO DIE" La deuxième partie du pro Mme Antonin Bérard est de 
Donc un merci sincère à tous. teurs. Les pPrIX irent gagnés | gramme comprenait une démons- | retour chez elle après avoir été 
pr te comme suit: bridge, Mme Alphon- | {ration de patinage de fantaisie | hospitalisée à St-Boniface, à la 
Dimanche à 2 h. avait lieu no- {se Verley et M. Claude Deslau- | bar une douzaine de jeunes fil-|suite d'un accident de la circu- 
r : , À , riers; whist® Mme Louis Dupré|f, L Wilhes A Mol pape (atfs ; 
réunion mensuelle A IT À Cine Auris dudloues les de Vassar qui firent preuve | lation 
Bon nombre de nos Soeurs y tours de bingo. in succulent goü- cree, aratl (PUS) | Partie de cartes d 
issistérent mais nous espérons |ter fut servi. Un grand merci à | ollatio "HU HE vHE S. | La partie de cartes du 7 février 
que toutes seront présentes à la | tous | collation, Les élèves de South |a remporté la somme de $136.00, 
prochaine q aura lieu le 2e | ' NS Junction s'étaient cotisés pour dé- | M. et Mme Arthur Bruce rempor- 
dimanche de mars. M. et Mme Antoine Bourdin et Éreyer ee Gens RER & in succulent | tèrent les premiers prix des car- 
La co-éducation de nos jeunes leurs enfants sont arrivés de M FL # Mn de an |tes: Mme Arthur Kemball et M. 
fut discutée avec intérêt. Il n Vancouver pour un séjour d'un pr ir A A por Rév Sr 49" | Ludger Jubinville, ceux de con- 
faut pas oublier que c'est un su- mois chez leurs parents, M. et Gille institutrice, la Rev, Sr St-| solation: Mme Alfred Kemball, 
jet des plus important que de Mme René Bouchard. di) ; j le prix d'entrée. M. H.-J. Parent 
s'occuper de ce qu'il y a de Le sergent-major Danny McGowan, de Camp Borden, Ont. pa SRSMPANANR RER SR EE | ., Nouvelle école fut le gagnant à l'encan chinois 
eux pour bien preparer nos retire du four une cuite ds pain confectionné pour la première fois | Le département d'éducation se | et la jolie couverture (Baie d'Hud- 
unes pour l'avenir à la façon canadienne pour les soldats canadiens stationnés en Al-| | Aubigny montre trés favorable à la cons-| son) alla à Ia jeune Lucienne 
- —— | lemagne. Jusqu'ici, le pain servi aux membres de l'armés cariadien- truction d'une nouvelle école. | Normand, F 
. ne en était un moins raffiné, cuit à la mode anglais:. Le sergent- Tableau d'honneur Nous devons en remercier en par- | Baptème 
Elie major McGowan est le cuisinier en chef du 2ème bataillon du pour janvier : |ticulier le commissaire officiel,| Le 6 ier: Bertrand-Raoul- 
22ème Régiment. (CW) à ï À M. A. McDonald, qui nou: four Joseph d'Albert Pelland et 
ETVE A pAR CRC OS PSE Em 14 Grade 1I: Catéchisme, Adrien-|nira sous peu un estimé détaillé. | de Georgiana Vincent, né le 24 
: : ie : ne Richard, Lise Vermette, Denis | 11 semble bien que le coût ne se- | janvier, Parrain et marraine, M. 
I 13 janvier: à l'hôpital St- M. Pierre Frossais préside f'étsomblés Richard; Français, Lise Vermet-|ra pas une surcharge: les frais |et Mme Emile Degan 
Bonifac Ra d-Louis-Joseph, te, Adrienne Richard 
fil À ‘ 4 Pa j ! TA 1 * auréètis “il . + 
Se et Mme Leopold G! annuelle de la Caisse Populaire de Dunrea Fr Qi 
vier et eut po parrain et DUNREA--Le mardi soir 9 fé-! chants, Mlies Louise Boulet, irette, Léo Perreault. | 
marraine son oncie €l Sa lanie, | vrier avait lieu à notre salle pa-| Jeannine Bisson et Cécile For- II: Cat. et Fr, Paul 
M et M À Lo 14 F Joube rt, de roissiale l'assemblée annuelle de | tier; solos de violon et accordéon, ar tie AE j À | 
St-Pierre, remplacés par M. et} nôtre Caisse populaire. Elle fut! MM. Léandre Bisson et Gilles! Grade IV: Cat. Yvette Sauret- 
Mme Grég r( Girard à présidée par M. P. Frossais, ins-| Fortier. M. Talbot, de Somerset, | te, Anita St-Jacques; Fr, Yvette | 
Le 21 janvier: 4 l'hôpital de la | Lecteur des Caisses populaires, y alla de quelques chansons co- | Saurette DRI-CHARGED 
Miséricorde, Claud<-Richard, fils Qui prodigua de sages conseils miques qui eurent le don de dé- V: Cat, Maurice Tou- 
de M. et Mme Gilbert Désilets. | Dour le bon fonctionnement de rider l'auditoire. chette, Eveline Palud; Fr. Eveli- 
Il fut baptise à Elie ie 31 janvier | hôtre Caisse et son progrès pour La soirée se termina par un/ne Palud, Georgette Carrière, Chargée à 10c, elle ne peur, détériorer 
et eut pour parrain el marraine | l'avenir. Il se montra très satis- |. réconfortant goûter Grade VII: Cat. et Fr. Clau- à l'enteposage, cer l'œcide n'en ajouté 
son oncle et sa tante, M. et Mme | fait de la manière dont elle était! Un cordial merci à Fros- | dette Palud, Raymond Bouchard. | eu'ov moment de l'uchet, 
Richard Désilets administrée, mais il y a toujours sais, qui s'est dérangé pour nous Grade VIII: Cat. Berthe Ro- 
Va-et-vient moyen de faire mieux. faire l'honneur d sa presence bert, Thérè e Palud: Fr. Annet- AA ss 
MM. Zephirin Lachance et Actif et de ses bons conseils, te Clément, = 
Laurent Chabot sont partis par L'actif pour l'année écoulée Va-et-vient | ’ 1e 
avion, visiter l'Amérique du Sud. | est d'à peu pres $73,000.00 et M. Pierre Aubin est parti pour LS A s| ; A 
M. et Mme Hector Désilets depuis sa fondation, il y a onze quelques semaines de vacances te- me ie 722 
sont partis visiter leurs fille et ans, $760,000.00. ; chez ses parents; M. Alphonse CES 4 ; ; F &. 
Sonde L'ART TIR Ont. Le rapport financier fut donné | Potvin, de Somerset, le remplace Tableau d'honneur pour le mois | La 
INR ES ee tbe on | DE M Pailipee poulet, notre | auprès de M. Philippe Bisson, sr, ya É à l'école St-Vincent 
bonne Vois. dé guérison apcès | ‘°UOUrS vus gérant. son beau-père. ANR SE * 
avoir subi une grave opération à Comites Veillée d'adieu rage ? Catéchisme, à. RP | Æ / 
l'hôpital St-Boniface L'élection pour les differents Le dimanche soir 7 février, Verhaeg she; Français, Paul Ve- que vous 
» ____ ___ |comités se fit comme suit: Crédit, | une veillée d'adieu réunissait un rhaeghe. A 
Grade Il: Cat, Lorraine Lan- 


MM. Georges Boulet, Henri Côte 


se à 4 ’ l ) ,., ” | et Alphee Labossière remplacent 
Dee, GRR RES ao MM. Albert et Théo. Boulet, Leo 
PA TAR Grignard; font partie de ce même 

comité, MM. René Côté et Ed- 

, mond Beaupré. Le ragpari fut 
René ARTHUR donné par M. Albert Boulet. Co- 
x mité de surveillance: M he" 
animateur de ‘MATCH Rondeau fut élu pour remplacer 
à Radio-Can M. J.-A. Lavoie; font partie de ce 
edio-Conede comité: MM. Nap. Boulet et Al- 


fred Para Lavoie lut 
le rapport 
MM. Wilfrid Fortier, Henri 
Côte, Gérard Boulet, R. Rondeau 
et Alphée Labossière font partie 
LI du comité de direction, dont le 
ju rapport fut donné par M. Wil- 
frid Fortier, president 
ie, en route Programme recreatif 
me] ; Pour faire une h:ureuse diver 
sion et agrementer la soirée, un 
cou mais interessant program 
ie me de chant et de musique fut 
présente, ayant comme maitre 
de céremonies M. Nap. Boulet 
Prirent part à ce programme 


is. M. J.-A 


qui vous pose les questions suivantes: 


Q est le célèbre humo- 


ait ‘J'ai- 


St-La: zare 


Tableau d'honneur 

I Grade XI: Anna Prescott 93, 
Mary Chase Omer Chartier 83, Mélina Char- 
’ ? her important la tier 8] André Huberdeau 
ade X: Corinne Chartier 
pu Thérèse | need 91, Dolorè 
- NET +E ‘ ; À moine 76. Georgette Fouilla 
Marie Fouillard 63 

y 62 

IX 


Jacqueline 
} J- Alma Pépin 65, Si 
Vaudry 63 
Grade VIII 
90, Odile Des 
Grade VII: L 
Jeannette Desja 
Roy 73, Yvan Tremblay 
r Hudon 69, Leo Ro» 
Bu 58 
| Roberta Simard 89 
à Cr tier 73, Gerald 
73. Roberta Hudon 64, Va- 
l, Carmelle Ma- 


s Simard 51. 


> Chartier 


79 


uer 


Claudette 
hambauit 
88 
Yvonn 
73, Ar- 
60, Mau- 


Gra 


" 
eni 


grand nombre de parents et d'a- 


dry; Fr. Marie-Ange Verhaeghe. 


mis à la demeure de M. et Mme | 
Antoine Boulet, en l'honneur de Grade III: Cat., Lionel Fayant; 
leur jeune fille, Jeannette, qui  Fr., Germaine Verhaeghe et An- 
doit entrer prochainement chez | nette Pinette. 
les RR. SS. Chanoinesses des Grade IV: Cat. André Pinette: 
Cinq Plaies. Fr. Philibert Labelle 
EE à DAS Grade V: Cat. Juliette Landry; 
Fr. Adèle Verhaeghe 
Letellier Grade VI: Catéchisme et Fran- 
ça Léo Therrien 
Remerciements Grade VII: Cat. Lévis Pinette: 
La famille Jubinville désire re- | Fr.. Marjorie Fuller 
mercier ses paren et amis! _ Grade VIII Catechisme et 
pour les nombre! témoignage França Lorraine Pinette 
de sympathie çus à l'occasior Grade IX: Cat, Rose Yochman:; 
de la rt de M. Frédéric Jubin-!{ Fr, Solange Roussin. 
vi mer tout spécial pour pi 
es offrandes de bouquets spir Concours de dictée 
tuels et de fleurs et pour les ser En vue d'encourager et de sti- 
es qui furent grande- | muler étude du français, 
ment ! cié jeux données chaque 
os HOT t nn maine res des grades 
V à IX ensemble 
Otterburne Ce sont deux élèves du grade 
+ VI qui ont conservé la plus hau- 
Baptéme te moyenne des hr à dans le 
Le 14 février Jean-Pi e-Jo " de anvier Jeannette Ve 
seph-Georges, 1 e 16 er haeghe, 96° et Léa Archam- 
f s de Ferne a ty et de) bault, 95%, Qui remportera la 
Jean Griffoin. t ma palme le mois prochain? 
raine, Jean-Pierr nt. repré RUE NS + CICR SEE 
senté par Ambroise Joubert, et 2 
Eugénie Foucay, représentée pa: Réponses 
2 etine not \ " R 
Ce 19 rt 5 Dee. M " (KENE ARTHUR) 
Partie de cartes 1 Step} eacock 
) anct de . ‘ 2 Jn tas de feuilies n” tes 
avait a 2 La question du jour: res 
es Le r b'is. français 
2 ant j 
ar dé: x » 3 L'ab e est l'absence ma- 
pe. . adive de ) té 
prix a Be 6 Gibralta 
et ) prix d "a mile 
Car c e 0 . 
Alex. Be C'est 1 apprendre 
di D A ( doit t ' ouffrir pour le 
I La La ‘ : 
prix du tirage, Mme Joseph F 
ris 4 Q a erait ne étoile 
1 = " # 1€ 
4 E aine p 6 iura eu 0€ F 
fevrier. Prière de retenir En Nelligan, dans son 


up V6 
| sonnet Le vaisseau d'or”, 


E. LABOSSIÈRE et FILS 


353, avenue Provencher, St-Boniface — Telephone 20-3970 
À CKSB 
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Le signal horaire 
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vous revient 
tous les matins : 


avec les hommages de 


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Que c'est bon une bonne tasse de café bien 
chaud du FEDERAL LUNCH . rien de plus 
favorable à la détente! 


Le FEDERAL LUNCH est situé à 185, rue Wa- 
ter, à Winnipeg. 


PAGE HUIT 


Requiescat in pace 


Læ jeudi 4 février, la population | 
atholique et française du Mani- | 
toba perdait un des plus impo-| 
sant membre de son avant-gar-| 
de de la foi et de la langue,| 
dans la personne de M. J.-A. Ma- 
rion, victime d'un accident de la! 
circulation 

M. Marion avait lutté ardem- 
ment pour obtenir le droit de cité 
de notre langue française au Ma-| 


1 


nitoba. Ses charges politiques et | 
es rôles éminents qui à joués | 
lans l'éducation lui ont valu de| 
nombreuses décorations de l'Uni- | 
versité du Manitoba, de l'Univer- | 

té Lava du gouvernement | 


ais, du Saint-Pére même, qui | 


e fit Chevalier de St-Grégoire| 
e Grand 
M. Marion f in des fonda-| 
! l'A n d'Education 
et en était encore un membre | 
trés dévoué, et probablement je! 
f acharné, f a cause fran- 
{ f °. 
Les Jeunes Franco-Manitobains 
du collège de St-Boniface dési- | 
ent exprimer ici à tous ses pa- 
rent enfants et petits-enfants 
eurs plu êres sympathies à | 
occasion de ce deuil qui les frap- 
pe directement 
Il ne faudrait pas laisser tom-| 
ber les armes: tous nous devons 
marcher sur les traces de ce pré- 
curseur, de ce géant de la cause| 


française, | 
Les Jeunes | 
Franco-Manitobains | 


Un missionnaire raconte 
sa vie parmi les Rouges 


Le 3 février, nous avans eu 
honneur d'entendre une conte | 
ence sur la Chine, par le Père 
Lauzon. La stature carrée du con- 
férencier faisait contraste avec 


a voix douce et ses manières sim- 


e 


; 


Le Père Lauzon nous exposa 
brièvement, sur un ton de conver- 
sation, ses aventures sous le ré- 
gime communiste en Chine. D'a- 
bord, il fit remarquer que l'ar- 
mée rouge traita d'une manière 
espectueuse les missionnaires et 
les fidèles catholiques. 

Aprés quelques mois, tous les 


propriétaires se virent enlever 
leurs terres. Les marchands fu- 
rent taxés si lourdement qu'ils 


durent abandonner leur commer- 
ce, Les propriétaires agricoles fu- 
rent exécutés par milliers et les 
dirigeants communistes donné- 
rent leurs terres aux pauvres (les 
commerçants ruinés...), 

Puis vint la persécution contre 
l'Eglise, Le Père Lauzon fut con- 
finé dans son village, Mais les 
Rouges, voyant les grandes fou- 
les venir à la messe du diman- 
che, s'emparèrent de l'église pour 
en faire une salle de réunion. Le 
Père dut dorénavant dire la mes- 
se en cachette. 

Un mois s'écoula, puis on ame- 
na le Père Lauzon dans un autre 
village où il demeura avec un 
confrère missionnaire, C'est lài 


Le Coin du Collège 


VOL. XXVII=-No 18 


qu'il fut fait prisonnier. Certains | 


jeunes communistes étaient à sac- 
cager la sacristie, quand le Père 
Lauzon esssya de sauver une 
tit statue de Ste Thérèse. 
sortant, il donna un coup d'épau- 
le à un jeune homme. Celui-ci se 


| mit aussitôt à crier qu'on voulait 


le tuer. La police, cachée derrière 
la porte et qui n'attendait que 
ce signal, arrêta le Père. 

La description qu'il nous fit 
des prisons communistes fut très 
réaliste: manque absolu d'hygiè- 
ne, mauvais traitements, Dès les 
premiers jours, le Père subit une 
attaque d'angine; grâce au dé- 
vouement d'une religieuse, il fut 
sauvé. Après des mois de séjour 
dans cette première prison, il fut 
transféré à une autre où il eut 
son procès et fut condamné à 
l'exil; la raison? 11 était un espion 
américain. 

Conférence qui m'a fait réflé- 
chir. Je vois combien la pratique 
de la religion nous est facile et 


combien peu nous en profitons, 


Ernest LETOURNEAU 


Ciné-Club 


‘Un ami viendra ce soir” 


En qualité de président du Co- 
mité de l'Education cinématogra- 
phique, j'aimerais, en marge du 
prochain film et dans le but de 
préparer les esprits à cette réu- 
nion, donner l'aspect général du 
film. 

Nous invitons tous les membres, 
ainsi que tous ceux qui veulent 
le devenir, à assister à la repré- 
sentation du 21 février, à 7 h. 30, 
dans la salle du Cercie Ouvrier. 

“Un ami viendra ce soir”, pro- 
duit en 1946, est une réalisation 
de Raymond Bernard, C'est un 
drame de la Résistance, Les Alpes 
prétent magnifiquement leur ma- 
jesté aux exigences de ce film, 
dont les principaux interprètes 
sont Michel Simon, Madeleine So- 
logne, Paul Bernard et L. Salou. 

Le film, construit à la façon du 
film policier, nous laisse inten- 
tionnellement dès le début dans 
une atmosphère de mystère et de 
confusion. La photographie est 
puissante et le réalisateur sait 
nous aménager des scènes très 
poignantes. L'interprétation de 
Paul Bernard, dans le rôle du doc- 
teur suisse, est des mieux conçue 
et Madeleine Sologne se montre 
splendide dans la scène de ven- 
geance. 

Donc vous êtes tous invités à 
participer activement à cette soi- 
rée qui vous plaira; ces échanges 


d'idées sont toujours enrichis- 
sants. 
Léon FOREST 
L2 
Actualités 


Le vendredi 5 février, les col- 
légiens avaient le privilège d'as- 
sister à la messe du Père Louis 
Vielfaure, Père Blanc, récemment 
ordonné dans sa paroisse natale 
de Broquerie. C'est à titre 


d'ancien du collège (1949) qu'il 


Concours IF M | 


Réponses et gagnantes du concours no 10 


Voici les réponses du concours no 10 publie dans La Li- 
berte et le Patriote du 5 février: 


Wash-board: Planche à laver. 
Clothes pin: Epingles à linge, fichoir. 


Une mop: Une vadrouille. 


Vacuum cleaner: Aspirateur. 
Safety pin: Epingle de sûreté. 


Cash box: Caisse, cassette 


(a argent), 


Bicycle stand: Support, pied de bicyclette. 


Skyscraper: Gratte-ciel. 
Une crane: Une grue. 
Un tray: Un plateau. 
Un 
Un 
Un 


Une sewing machine: Une 


toaster: Un grilleæain. 
can-opener: Un ouvre-boite. 
egg-beater: Une batteuse d'oeufs. 
Un salt-shaker: Une salière. 


machine à coudre. 


LES TROIS GAGNANTES 
1, Danielle Rubigny, ecole du Sacre-Coeur, Winnipeg. 


2. Marie-Jeanne Berard, Ste-Elisabeth. 
3. Agnes Martine, Grande-Clairière. 


ncours sur 


quées plus bas 


Premier 
Deuxième prix 
l de France à Winnipeg 


cons 


Faites un 
vos impr 
ses désavantages 


col 


rection 
graphe 
les 


concours futurs 


Indiquez fidèlement: nom 


NOM 


ADRESSE 


ECOLE 


Troisième prix offert par un bienfaiteur anonyme. | 


Conditions du concours 


Concours IF M 


Grand concours de langue française 


Nous presentons aujourd'hui le douzième d'une série de 
con la langue française. Ce concours est organise 
par les J:unes Franco-Manitobains du collège de St-Bonifac®; 
seuls les elèves des collèges classiques sont hors concours. 


Des prix intéressants seront offerts chaque semaine aux 
gagnants, On demande de bien remplir les conditions indi- 


Concours no 12 
prix offert par le R. P. bibliothécaire du collège. 
offert par M 


le comte Serge de Fleury, 


rte composition (maximum, 125 mots) don- 
ssions sur le concours J.FM (Ses avantages 
vos suggestions . . 
Nous tiendrons compte du bon français et de l’ortho- 

ous prendrons en considération vos suggestions pour 


.) Pour la cor- 


Faites parvenir votre copie avant le 27 février à: Les 
Jeunes Franco-Manitobains, Collège de St-Boniface. 


adresse, ecole, grade. 


| 


| 


À 


prit les Philos 11 en flagrant déjit 
de laboratoire de biologie. Nous 
lui souhaitons tous un heureux 
succès dans son futur: apostolat. 

Dimanche soir, cinq autobus 
| venaient chercher les collégiens 
pour les transporter au nouvel 


| (pour Ja 


| collège) é une avance de 


d'enthousiasme et surtout 
tour à minuit! 

| Le mardi 9 février, les coilé- 
| giens, avec un grand nombre d'é: 
tudiants et d'étudiantes du diocè- 


vint aussi adresser la parole aux | 
Philosophes. C'est ainsi qu'il sur- | 


aréna de St-Pierre. Le grand club | 

rencontra le club Ge St-Pierre | 

pps des anciens du | 
algr 


2 à 0, prise au début de la par- | 
tie, nos hôtes se révélérent supé- | 
| rieurs et l'emportérent par 6 con- | 
tre 3. Agréable soirée, ut re. 
. re- 


LA LIBERTE ET LE PATRIOTE 


Hommage à M. Marion 


Bien des voix se sont déjà fait 
entendre pour louer les mérites 
de M. Marion. 


| 


INSTITUT COLLÉGIAL 
PROVENCHER 


Saint-Boniface 
Dirigé par les MARIANISTES 


| 


ZT-.-—— 


A la mémoire de 
Louise Dégagné 
de St-Jean-Baptiste 


Notre petite compagne 
Je sympathise beaucoup avec 
ses parents pour la mort de ma 
petite compagne de classe, Louise 
Dégagné. Elle sentait venir la 
mort avec piété en disant son acte 
de contrition en s'en allant à l'hô- 


| pital. Quand elle a su qu'elle de- 


: M. Marion et l'éducation ait partir pour voir le petit Jé- 
sus 


1 


se, assistaient à une messe de Re- | tre façon, les sentiments qui nous | 
quiem chantée en la cathédrale animent devant la perte cruelle 


pour le repos 
rion. Cérémonie 
le nombre des assistants 
de 2,000) et par 


(près 
la beauté du 


de l'âme de M. Ma-|que nous venons de subir en la 
imposante ‘par | personne de M. Marion. 


Sans lui l'école Provencher ne 
serait pas ce qu'elle est à pré- 


| 


Chant, dirigé par le Père Caron. | sent. Il a présidé à sa reconstruc- 
Après la messe, les étudiants se|tion et à son agrandissement. Il 
réunirent en masse devant la ca-|a surtout aidé à lui donner une 


thédrale où M. Raimbault et le 
R. F. Bruns firent un bref éloge 
funèbre du défunt, 

Lucien ISABEY 


| IMPRESSIONS 
D'UNE RETRAITANTE 


Chère Lucille, 


taient épatants, on 
demander mieux. Ils étaient in- 
téressants, aimables, pas génants, 
joyeux et, sais-tu, 
Partout nous nous sentions en- 
veloppées d'une atmosphère de 
paix, de cette paix si reposante 
qui nous rapproche de Dieu, Les 
instructions m'ont éclairée sur le 
sérieux de la vie et sur l'amour. 
Et Lucille, nos petites chambres, 
de vrais petits bijoux où nous 
pouvions réfléchir sur les ser- 
mons et nous reposer tranquilles. 

Les repas ne pouvaient être 
plus succulents. Tout nous ai- 
da à faire une bonne retraite. 
Chère amie, les mots me man- 
quent pour te dire comment 
cette retraite m'a fait du bien. 
Je l'ai grandement appréciée! 
C'est en ta compagnie, n'est-ce 
pas, que l'an prochain je vais 
me rendre à 680, rue Langevin, 
pour passer une belle fin de se- 
maine? 

Une amie sincère, 

YOLANDE. 


| 
A l'essai 
Oui, le moment le plus pré- 
cieux de l'Ecole Normale est ve- 
nu. C'est l'apprentissage. 
sa toile avec précision, nous, il 
nous faut tisser les preuves de 
nos capacités et nualités en une 
plus grande toile encore: celle 
de notre formation d'instituteurs 
| accomplis et prêts pour l'attaque 
| éducative, 
| Ce n'est rien de facile, mais 
{c'est gai. Levé de bonne heure 
le matin, il nous faut prendre 
l'autobus: couché tard le soir, 
|afin de bien préparer la leçon 
| du lendemain qui saura plaire 


|aux professeurs qui nous obser- | 


vent pour en faire une critique 
| détaillée. 


Plusieurs d'entre nous passent | 


des heures d'angoisse à suppor- 
{ter la palpitation d'un coeur an- 
| xieux et à transpirer (mauvaise 
| habitude) devant une classe tou- 
jours nouvelle. 

| Je dois citer un fait qui m'a fait 
|rire tout de même. Un élève du 


| grade I fit cette remarque à une | 


| jeune normalienne: “Vous êtes 
| bien trop petite pour enseigner la 
! classe!” C'est flatteur. 

| La durée de l'apprentissage est 
| de trois semaines, Je me deman- 
| de si tous sont d'accord avec no- 


Ître principal qui certifiait que| 


| ces trois semaines seraient 
| lien regretterait de n'en pas avoir 
| trois de plus! Affaire de goût. 

| Il faut la chance à chacun, c'est 
| pourquoi j'en souhaite amplement 


ja tous. 
Henri GREGOIRE 
L L2 LI 


Beau temps . .. 


pour un temps 
Que! changement! D'une pério- 
| de froide de 40° sous zéro, nous 
| voilà dans une Californie mani- 
tobaine à 40° au-dessus. Nous al- 
lons de la cave du thermomètre 


Me voilà revenue de “prison’” | MI 
comme tu dis. Tu ne me croiras |S!: ‘ * + 
jamais, mais j'ai-vraiment aimé|le reste de l'après-midi”. A ces 
ma retraite fermée et tu peux| mots les applaudissements se fai-| 
être assurée que ce ne sera pas!Saient ( 
la dernière! Les prédicateurs é-| Coins de la salle. 
ne pouvait! 


Tout comme l'araignée tisse | 


si | 


l agréables que le groupe norma- | 


au toit! Ce n'est pas régulier, mais | 


c'est nouveau. 

Oui, 
se dégèlent et encore une fois, 
| l'atmosphère joviale et entrai- 
nante règne à l'Ecnle Normale. 
Un changement subi se fait 
aussi dans l'habillement. 


les mémoires engourdies | 


|âme. Son souvenir nous restera 
| cher et son exemple continuera à 
; nous inspirer. 

m 
1 
! Un ami de Provencher 
| 11 était le “grand-père des élè- 
|ves de Provencher”. Le jour de 
|la fête de saint Joseph, quand il 
|montait sur l'estrade, avec sa 
moustache prédominante, il ter- 
nait toujours son discours ain- 
“Je vous donne un congé pour 


entendre dans tous les 


Ronald PROTEAU 


On ne pêut décrire la peine qui 
régnait à l’école Provencher lors- 


“pas laids”!| que l’on apprit la mort de M. Ma- 


rion. L'autre jour, un petit gars 
du grade III me disait: “Je vais 
manquer les nombreux congés de 
M. Marion”. Je me rappellerai 
toujours comment il savait an- 
noncer ces congés: ‘Je sais que 
vous n'aimez pas les grands dis- 
cours, Alors si ce n'est pas trop 
demander à M. le principal et à 
M. l'inspecteur — et il n’atten- 
dait pas la réponse — je vous ac- 
corde une après-midi de congé”. 
Claude BLANCHETTE 


Nous lui devons une grande re- 
connaissance pour ses nombreu- 
ses visites à l’école et sa présen- 
ce parmi nous, chaque année, à 
la fête de saint Joseph. Sa mort 
fut une tristesse pour tous les élè- 
ves qui l'ont connu, A l'avenir il 
sera reconnu comme un des plus 
grands défenseurs de la langue 
française au Manitoba. 

Marcel CHAMPAGNE 


| 


A l'Ecole Normale du Manitoba 
Pédagogues en Herbe 


Directeurs 
François Laroche, Isabelle Beaudette. 


Rédacteurs 
Carmelle Dumas, Dorothée Lacroix, Gabriel Comte, Rolande Plamondon, 
Sr Anne-Marie, Marie Bergeron, Réjeanne George, Olivier Muloin. 


installé ici pour poser chacun des 
élèves. Une photographie pour 
‘“‘décorer” le livre et l’autre pour 
le registre, Chacun y met son mot 
| pour en faire un volume intéres- 
sant. 

Notre journal mensuel, ‘The 
Argus”, devient de plus en plus 
intéressant. Ce journal est sous 
les auspices d'un autre comité. 


L'assemblée du matin est de- 
venue triste avec ces semaines 
d'apprentissages, M. le principal 
paraît encore plus grand parmi ce 
petit groupe qui reste. 


Le gouret se donne à la joie 
de ses partisans. Malheureuse- 
ment pour nous, notre première 
partie nous fut un blanchissage. 
La marine avait sa force du jeu 
dans son gardien des filets qui 
arrêta 48 lancers, Puis, il y eut 
résultat égal avec “Grain Gro- 
wers”. Celle-ci fut chaudement 
disputée et non sans intérêt pour 
les spectateurs. Dans le ballon au 


panier, les nôtres défirent le 
C.S.B. Même les filles, parfois, 
rencontrent les ‘‘athlètes’” au 


gouret! Que j'aimerais être, moi 
aussi, ‘‘athlète”! 


Et nous allons en classe ... af- 
faires de formalités. Quelques- 
uns y sont présents de corps, non 
| d'esprit; d’autres ne le sont pas 


| du tout. Une habitude des plus 
intéressés! Nous devons subir 
l'alternation des professeurs qui 
doivent faire la critique en mé- 
|me temps qu'ils enseignent. 


L'“Etincelle” semble toujours 
faire des merveilles dans les mi- 
lieux où elle passe, Mais bientôt, 
hélas, elle disparaîtra et ceux qui 
auront eu le privilège de la voir 
auront vite fait de l'oublier. La 
seule consolation sera que les nô- 
tres sauront ce qu'est l'Ecole Nor- 
male. Alors, elle ne sera pas une 
maison de correction, un orphe- 
linat où une école pour les pau- 
vres d'esprit, mais bien où l'on 
apprend la pédagogie, notre for- 
mation d'instituteurs et d'institu- 
trices de demain. 


L'esprit social des élèves res- 
te le même, On se comprend, 
on s'amuse ensemble, on discute 


Hier, | et ainsi, il n'y a pas de clan, mais 


{les fourrures et les capuchons é- ; tous sont amis ensemble, 
taient de saison; aujourd'hui, les 


têtes nues et lo coton écourté 

des demoiselles sont à la mode. 
Cette transformation fait que 

quelques jeunes malheureuses, se 


toile fine. 
claire, prennent le chemin de l'i 
firmerié par une ‘magnifique’ 
grippe. On doit se coucher, man- 
quer quelques jours de classe, 
qu'importe. 

Gens imprudents, orgueilleux, 
habilliez-vous donc. Je le dis, 
puisque je l'ai maintes fois en- 
tendu et qu'on le répète toujour 
Méfiez-vous de la température 
Gabriel COMTE 
LL LL 


_et 


n- 


Roufine 
Un comité a été élu pour l'é- 
dition du Jivre 1953-54 de l'E- 
cole Normale, À cette occasion 


| croyant à l'épreuve du froid sous | 
| une blouse de 


un photographe de la ville s'est | 


Le lieu préféré est peut-être le 
cafetéria qui soulage bien des ap- 
pétits gourmands. La cantine tient 
son rang d'importance chez les 
snobz et les amoureux ... il faut 
toutes sortes de passe-temps! 

LJ L2 LL 


Tic-Tic 
Maitresse — Pourquoi dit-on: 
|“Notre langue maternelle” et 


non pas “Notre langue paternel- 
le”? 
Jean Parce que les pères 
n'ont jamais la chance de parler! 
L2 L LL 


— Eleve Toto, pouvez-vous me 
dire pourquoi votre rédaction sur 
le lait n'a que quelques lignes, 
alors que celle de vos camarades 
est de deux pages? 

— La mienne est faite sur le 
lait condensé, Monsieur! 


LE COIN 


|4 


| 


| 
1 
ï 


| 


Je ne connais personne, au Ma- 
nitoba, qui ait davantage rendu 
service à l'éducation que M. Ma- 


Nous, les Paladins de Proven-|rion. Pendant cinquante ans il 
cher, nous voudrions redire, à no- | fut commissaire d'école. Pendant 


37 ans il fut membre actif de 
l'Association d'Education et pen- 
ant dix ans il en fut le prési- | 
dent. Les écoliers de St-Boniface | 
subissent une grande perte en M.! 
Marion. Nous devons prier Dieu ! 
de nous trouver un homme qui! 
puisse l'égaler pour la cause de 
l'éducation. 
Lucien CHARRIERE 

Le 4 février dernier, le Mani- 
toba perdait un de ses chefs en 
la personne de M. Marion, Tant | 
qu'il fut commissaire d'école, :l! 
travailla inlassablement pour 
Provencher et pour toutes les 
autres écoles. Nous pouvons dire | 
qu'il fut le pivot central de l'As-| 
sociation d'Education. Jusqu'à la| 
dernière heure de sa vie, il a tra- 
vailié pour la cause de l'éducation | 


au Manitoba. 
Danny COYLE 
Il a mené une vie entièrement | 
dévouée à la cause de l'éducation. | 
L'école Provencher, l'Académie! 
St-Joseph et l'école Marion, pour | 
ne parler que de St-Boniface, lui 
doivent énormément. Souvent on | 
avait recours à lui dans les dif- | 


ficultés. 
G. DESJARDINS | 


Défenseur de 
la cause française | 


M. Marion était un vrai Cana-| 
dien français, Il s'est donné tout 
entier à la cause de l'éducation 
française au Manitoba, Ii s'est 
dévoué pour conserver l’ensei- 
gnement du français et de la re- 
ligion dans nos écoles. Pour son 
excellént travail pour la défen- 
se de la cause française, il a reçu 
plusieurs médailles du gouver- 
nement français. En lui nous per- 
dons un grand défenseur de la 
langue et de la religion au Mani- 


toba. 
Henri LAVALLEE 


M. Marion fut un grand hom- 
me à qui nous devons une recon- 
naissance profonde. Il a fait énor- 
mément pour les Canadiens fran- 
çais. Pendant 50 ans il s'est donné 
sans compter à la cause française 
au Manitoba. Sans lui que serait 
devenu le français dans notre pro- 
vince? Tant de services rendus 
ne passèrent pas inaperçus mé- 
me parmi les Anglais. Aussi, en 
1951, M. Marion reçut-il un doc- 
torat ‘“honoris causa” de l’'Uni- 
versité du Manitoba. 

Jacques FILLION 
* 


Un pionnier du Manitoba 


Le jeudi 5 février, les mem- 
bres de l'Assemblée législative 
du Manitoba votèrent une mo- 
tion soumise par l'hon. E. Pré- 
fontaine pour transmettre leurs 
condoléances à la famille de M. 
Marion. ï 

J'assistais à cette session et je 
fus touché par la sincérité tou- 
chante de tous les discours. A tour 
de rôle les amis de M. Marion, 
le premier ministre Campbell, 


l'hon. E. Préfontaine, l’'hon. 
C. Miller, M. Teillet et M. Wii- 
lis — le chef de l'opposition et 


le chef du parti conservateur, au- 
quel appartenait M. Marion — ex- 
primèrent la profonde douleur 
qu'ils ressentaient à la mort de 
M. Marion. Tous admiraient son 
bon sens et son sens de l'humour. 
C'est vraiment regrettable que 
nous perdions un pionnier mani- 
tobain comme M. Marion. 
Edouard DESAUTELS 
L2 * D 


Travailleur infatigable 

M. Marion était un travailleur 
infatigable, Malgré son âge très 
avancé, il venait souvent visiter 
notre école. Tout ce qu'il faisait 
était pour les Canadiens français. 
Dès le début, M. Marion a travail- 
lé pour la cause française au Ma- 
nitoba. Sa mort inattendue nous 
a beaucoup surpris et nous ne 
saurons comment il &’est dévoué 
pour nous que dans quelques an- 
nées quand ce sera à nous de con- 
tinuer l'oeuvre qu'il a si noble- 
ment commencée. 

John GORDON 


Grâce au travail persévérant 
de M. Marion, nous avons à l’heu- 
re actuelle certaines facilités pour 
apprendre le français. Quand il 
entreprenait une oeuvre, il la 
poursuivait jusqu'à satisfaction 
complète, I] disait que reculer de- 
vant une difficulté équivalait à 
une défaite, Aujourd'hui, le mon- 
de est corrompu à cause des pa- 
roles fausses et des promesses 
non exécutées. M. Marion a tou- 
jours travaillé pour nous aider à 
devenir de meilleurs Canadiens 


français. | 
; Arthur PROULX | 


Un grand homme 

M. Marion est un des 
grands hommes que St-Boniface 
et même le Canada aient ja- 
mais produit. 11 a été parmi nous 
un des plus grands défenseurs 
des Canadiens français et des ca- 
tholiques. Durant toute sa vie il a 
travaillé à conserver le français 
au Manitoba et si aujourd'hui 
nous pouvons parler français dans 
les écoles, nous le devons à M. 
Marion. ! 

G. GUERTIN 


plus | 
| 
Elisabeth de France 

sera-t-elle béatifiée? | 
tudier l’héroïcité des vertus d’'E- 
lisabeth de France, soeur de Louis 
chevêque de Paris, a ordonné l'é- | 
tude des écrits d'Elisabeth | 
commission épiscopale, la Con-| 
grégation des Rites à Rome prend 


PARIS — A Paris a débuté un | 
procès d'information chargé 1 | 
XVI, qui mourut décapitée en| 
1794 S. E. le cardinal Feltin, ar-| 

Lorsque ce travail préparatif 
est terminé avec succés par la | 
possession du dossier et commen- 
ce le procès de béatification. 


|àa ses petits frères que 


et la sainte Vierge qu'elle 
âimait beaucoup, elle disait son 
chapelet dans son lit, bien mala- 
de, C'est une consolation pour 
nous et ses parents de la voir si 
prête devant le bon Dieu, et j'es- 
ère qu'elle nous aidera à rester 
nnes en attendant aussi notre 
tour. Louise était une petite fille 


bien aimable et toujours sou- 
riante, 
Une petite amie qui aimait 


beaucoup Louise, 
Lucille BEAUDETTE. 


Je l'aimais bien la petite Loui- 


se. Elle était polie. L'autre di- 
manche, M. le curé a parlé d'elle 
en bien. Il avait les larmes aux 
yeux. 11 dit que cette petite-ià 
avait été communier le diman- 
che matin et dans l'après-midi 


elle avait amené ses deux petits 
frères à l'église, et ensuite elle a 
été à la grotte. Elle a expliqué 
la sainte 
Vierge était là. Elle s'en alla au 
presbytère voir M. le curé. Elle 
dit que ses petits frères voulaient 
faire un cahier marial et M. le 
curé leur donna des images. A- 
vant de mourir elle dit tout son 
chapelet sur la terre avant 
monter au ciel. Maintenant, elle 
est notre petite soeur du ciel. 
Nous lui demandons des grâces. 
Une petite amie, 
Colette JUTRAS. 
LU L] 


. Louise était une petite fille qui 
était très bonne et très sage, Elle 
s'assoyait près de moi à l'école, 
Elle ne parlait jamais. Elle est 
morte dans les bras de son oncle. 


Il est resté très surpris quand il! 


s'est aperçu qu’elle était morte. 
Elle a été opérée pour l'appen- 
dicite. Le soir, elle a dit son cha- 
pelet avec sa tante, Marthe, et 
un plus tard elle a demandé à sa 
mère de lui faire faire son acte 
de contrition. Elle est morte ,à 
10 heures. 
Une petite amie, 
Denise GARAND. 
L1 


* 


La petite Louise était ma com- 
pagne. Elle était dans le grade 
III. Elle avait 8 ans et 9 mois. 
Elle était très obéissante et très 
pieuse. Nous regrettons beaucoup 
sa mort si soudaine. Mais elle est 
partie avec Dieu dans son beau 
grand ciel. 

Jeannine VERMETTE 


Notre chère petite compagne | 


de classe est partie pour le ciel, 
jeudi dernier. Le petit Jésus qui 
aime tant les petits enfants est 
venu prendre une de nos petites 
compagnes, En s'en allant à l'hô- 
pital, elle avait dit à son papa 
qu'elle était prête si le bon Dieu 
venait la chercher parce qu'elle 
avait dit son acte de contrition 
parfaite, Elle était membre de la 
Croisade Eucharistique. Elle a- 
vait 8 ans. Elle était dans le 3ème 
grade, Elle était très bonne au 
jeu et en classe, Et aussi, elle 
avait commencé son album ma- 


rial, 
Yvette LAFOND 


Pèlerinages d'ouvrières 
pendant l'Année mariale 


BRUXELLES À l'occasion 
de !'Année mariale, les Ligues 
vuvrières chrétiennes flamandes 
et les Femmes catholiques tra- 
vailleuses organisent trois pèle- 
rinages à Lourdes. 

Le premier pèlerinage a lieu 
du 28 juin au 5 juillet: le second 
du 19 au 26 juillet et le 3ème du 
9 au 16 août. 


Prière à 
Marie, Reine des Coeurs 


La reproduction de cette prié- 
re a été payée en reconnaissance 
de faveurs obtenues. 


O Marie, Reine des Coeurs, 
avocate des causes desesperees, 
Mere si pure, si complaisante, 
Mere du divin Amour et pleine 
de lumière divine, je mets en- 
ire vos mains si tendres les 
faveurs que nous attendons 
de vous aujourd'hui. Regardez 
nos misères, nos coeurs, nos 
larmes, nos peines intérieures, 
“os souffrance.. Vous pouvez 
nous exaucer par les merites 
de votre divin Fils, Jesus. 
Christ. Nous promettons, si 
nous sommes exaucés, de re- 
pandre votre gloire et de vous 
faire connaître sous le titre de 
“Marie Reine des Coeurs" et 
Reine de l'univers entier. 
Exaucez-nous pres de voire 
autel, où tous les jours vous 
donnez tant de preuves de vo- 
tre puissance et amour pour la 
guérison de l'âme et du corps. 

Nous espérons contre toute 
esperance: demandez à Jesus 
notre guérison, notre pardon 
et notre perseverance finale. 

O Marie, Reine des Coeurs. 
querissez-nous. Nous avons 
confiance en vous. (3 fois). 


Réciter cette prière neuf jours 
consécutifs, se confesser et faire 
la sainte communion. 


H 
631-45P.| lignes contre deux pour l'équipe 


de | 


| 
Vol 5 no 18 
| 


OTTERBUR 


COURS GENÉERHA 
Grades 8 à 12 


Directeur de la chroni 
REDAC 


Chartrand, Gerard Du 


La liste d'honneur 


La liste d'honneur n'est pas une 
liste quelconque. Tout le monde 
n'y passe pas comme sur le pont 
d'Avignon 

Elle est le signe de l'apprécia- 
tion concrétisée des professeurs 
Elle souligne au public, aux pa- 
rents et aux camarades les noms 
des élèves de premier plan sur la 
scène de la vie collégiale 

Il n'est pas exagéré de dire que 
les élèves qui y figurent affirment 
leur valeur rayonnante et aiguil- 
{lent leur vie étudiante vers l'ap- 
| pel des sommets. Ils prennent la | 
route qui conduit à l'épanouisse- 
ment d'une belle intelligence et 
à l'embellissement d'une person 
nalité qui se prépare à conquérir 
une place honorable dans la so- 
ciété. 


Place donc, à ceux qui pour- 
suivent cet objectif à coups de 
sacrifices et d'efforts constants 


Voici la liste d'honneur pour | 
mois de janvier 


Succès 


Grade XII: Louis Courcelles, 
Guy Chartrand, Camille Légaré, 

Grade XI: Léonide Alarie, O- 
mer Gosselin. 

Grade X: Gérard Dupuis, Ar- 
mand Marion, Marcel Pelletier 

Grade 1X: Gabriel Bazin, Roger 
Duprev, Svlvio Lachance 

Grade VIII: Maurice Catellier, 
Normand Hébert, Dona!d Dupré. 


Conduite 

Grade XII: Guy Chartrand 
Louis Courcelles, Roland Caya. 

Grade XI: Georges Béliveau, 
| Omer Gosselin, Léonide Alarie. 
Grade X: Gérard Dupuis, Lau- 
{rent Bosc, Charles Lambert, Gé- 
rald Bourrier, Denis Lussier, Emi- 
le Péloquin, Marcel Touzin, Ar- 
mand Marion, Marcel Proulx. 

Grade IX: Roger Duprey, Eu- 
sèbe Lachance, Roger Pantel, Gil- 
les Marion. 

Grade VIII: Guy Bélisle, Louis | 
Robert, Walter Lambert. 
| Application 

Grade XII: Louis Courcelles, 
Guy Chartrand, 

Grade XI: Omer Gosselin. 


€ 


Marion, Armand Marion, Gérard 
Dupuis, Marcel Pelletier. 

Grade IX: Eusèbe Lachance, 
Norbert Vigier, Sylvio Lachance, 
Claude Lussier. 

Grade VIII: Louis Robert, Guy 
Bélisle, Maurice Catellier, 


Winnipeg, le 19 février 1954 


La Maison Saint-Joseph 


Pensionnat — Ecole Supérieure 
dirigés par les Clercs de St-Viateur 


Louis Courcelles, Albert Mcrin, Georges Beliveau, Guy 


| con... 


Grade X: Denis Lussier, Ernest | 


19-12-54 


NE, MAN. 


L (High Schoot) 


inclusivement 


que: Leonide ALARIE 
TEURS 


puis et Lucien Lussier 
nee ee ee 


des visiteurs, nous remportons la 
victoire au compte de 13 à 9 


G. BELIVEAU 
N.D.L.R Pour être complet, 
ce rapport devrait souligner la 
victoire que l'équipe du grade 


XII, composée de six joueurs seu 


lement, a remportée contre un 
club “formidable” formé de tous 
les autres joueurs du collège. Na 
turellement le chroniqueur spor- 
tif préfère ne pas en parler puis 
qu'il faisait partie du clan des 
perdants, Ça vous apprendra, les 


JPuneé 


A bas les distractions! 
Il 


rade 


| temps 


notre 


que 
dans 


un Cama 
cnroniqui 


a qui 


posait 


un problème brülant: ‘Que fair« 
pour éviter les distractions?” C'est 
une question sérieuse à deman 
der, mais 1l n'est pas si facile 
d'y répondre, Je me risque. Il doit 


y avoir un moyen de chasser 
diables de distractions qui épar 
pillent nos esprits et nous empé- 
chent de bien étudier, Ce moyen, 
il faut le chercher et l'édopter 
parce que les distractions sont les 
destructrices d'un temps précieux 
et la cause de bien des retards 
chez les étudiants 

Il y en a qui se demandent: 
est-ce possible de ne pas être dis 
trait pendant quelques minutes? 
Je crois que oui. Pensons un in: 
tant au vieux dicton: “Qui veut, 
peut”, Un élève qui se met bien 
en tête qu'il veut suivre la classe 


ct 


peut le faire, 11 s'agit de faire 
appel à son courage et à son am 
bition. Pour cela, il ne faut pas 
être des “lächeurs”, Il faut re- 


noncer à cet argument des fai- 
bles: “Ça commence à être plat, 
je ‘sacre” tout ça là”. Il faut 
mettre de la volonté et de l'ef- 
fort; beaucoup à certains jours 
Le professeur qui est devant nous 
n'est pas un personnage dont nous 
pouvons faire fi. Il faut lui por- 
ter respect, l'écouter; cela nous 
aide à faire le point dans la le- 
et non pas dans la lune. 

Voici une parole d’un de mes 
professeurs qui m'a frappé: “Si 
vous suiviez votre classe avec 
100% d'attention, 87% du tra- 
vail serait déjà accompli”, Quel- 
le merveille! Quelle assurance de 
succès! Quel trésor pour l’embel- 
lissement de notre esprit! Il s’a- 
git seulement de s'y mettre, Il y 
en a qui vont dire qu'il faut être 
saint pour agir ainsi Mais non, 
ça se fait avec des gars comme 
nous. 

Si nous réussissons un jour à 


LA REDACTION 
L * LJ 


Au fil de ma plume 

Dimanche, premier jour de fé- 
vrier, marquait pour nous l'ou- 
verture des Quarante Heures, La 
messe fut célébrée par le R. P. 
Denis, C.S.V., curé de la parois- 
se, Cette période liturgique d'’a- 
doration fut clôturée mardi ma- 
|tin par une messe chantée par 
ile R. P. Directeur. 
| Mercredi, nous recevions la vi- 
site du club de Ste-Anne, La par- 
tie se prolongea tard dans la soi- 


lendemain. Une fois n'est pas cou- 
tume, heureusement, 

Dimanche dernier, nous avions 
la lecture officielle des notes de 
janvier à la salle d'étude, 

Dans l'après-midi du même 
jour, quelques orateurs avaient 
enfin j'occasion de manifester 
leurs talents, Dans un débat ora- 
toire, Louis Courcelles et Ray- 
mond Comeau prônaient le rôle 
des pompiers tandis que Roland 
Caya et Donald Comeau ripos- 
taient que les policiers jouaient un 
rôle prépondérant dans la socié- 
té, Le verdict du jury a prouvé 
que l’on devait auréoler les pom- 
piers et renvoyer les policiers à 
leurs fonctions au même sälaire. 
Le discours du président est en- 
core à venir... 

L'infirmerie continue d'être un 
appartement très- populaire, trop 
peut-être, On cherche encore le 
tonique ou la panacée qui mettra 
fin à ces séjours passagers ou 
prolongés. 

Deux ‘représentants de notre 
collège ont assisté à la journée 
d'étude de la J.E.C. à St-Bonifa- 
ce, le 31 janvier dernier. Même 
s'ils ont eu quelque difficulté 
à repérer l'endroit de la réunion, 
ils ont avoué avoir profité de leur 
| contact avec l'aumônier et les 
| autres étudiants. 

EN COLLABORATION 
LE LA LL 


(! 
Perte commune, 
deuil profond 

Je songe, appuyé à ma fenêtre, 

Au grand homme qui vient de 
disparaitre. 

Il ne nous appartient pas de 
| faire l'éloge de M. J.-A. Marion. 
| Ses mérites immenses ont déjà 
| été reconnus par la province en- 
|tière. Nous ne pouvons que dé- 
| plorer, nous aussi, le brusque dé- 
| part de ce grand patriote, de ce 
| trésor d'expérience en qui se per- 
| dait la confiance du groupe fran- 
| çais, de cet hommie puissant qui 
|nous a enseigné des choses ma- 
| gnanimes. 


Le destin perfide nous ravit un | 


guide précieux et une âme d'élite, 


| La perte est lourde et le deuil 
| proford. 
Nous offrons nos plus sincères 


condoléances à la famille éprou- 
| vée. 

Le lundi 8 février, une messe 
de Requiem fut chantée dans nos 
tre chapelle pour le repos de l'à 


me de M. J.-A, Marion, 
+ LA REDACTION 
l . L LU 
Hockey 
Le mercredi soir 3 fevrier, je | 


| club de Ste-Anne nous rend vi- 


| site. Raymond Comeau est l'étoi- | 


1 


du club local: il comnte cinq 
Ayant l'avantage de trois 


le 
buts 


rée au détriment des cours du 


| 
| 
| 


conduire notre barque nous-mé- 
mes, je suis certain que les plus 
distraits deviendront les plus at- 
tentifs, les plus savants... et les 
plus heureux. 
Louis SAVARD (XI) 
LA L1 


DITES-MOI ... 


“Dites-moi'’ est une rubri. 
que d'orientation. Elle veut 
aider les jeunes; elle peut ins- 
pirer les parents. Elle se limi- 
te aux problèmes des étudiants 
en face du présent et de l'ave- 
nir. 

Q. — J'ai 15 ans et j'ai de- 
jà fait six ans de collège, 
Quelle grande différsnce peui- 
il y avoir entre aller au col- 
lège pendant six ans et aller 
a l'école de ma paroisse pen- 
dant six ans? Je n'en vois pas. 
Voulez-vous me le dire? 

SOUCIEUX. 

R. — Quinze ans d'âge et déjà 
six ans de pensionnat! Cela sup- 
pose donc un stage au Jardin 
d'enfance: avant de venir ici. 
Pourquoi vos parents vous ont- 
ils placé pensionnaire à l’âge de 
neuf ans, au lieu de vous mainte- 
nir à l’école paroissiale? Mon 
cher, vos parents ont dû avoir 
leurs raisons dans le t:mps et ils 
seraient plus à même vous 
répondre que moi. 11 y avait 
peut-être la distance de votre 
foyer à l'école . . . et il aurait 
fallu vous transporter. 11 y avait 
peut-être aussi que vos paients 
| avaient à coeur de vous procu- 
rer une éducation et des études 
plus soignées . . . Si tei est le 
cas, vous d:vez leur en être pro 
fondément reconnaissant, 

Loin de moi de dédaigner nos 
écoles paroissialeg du Manitoba, 
pour lesquelles D ec une 
réelle vénération;, mais j2 suppo- 
|se que vos parents ont voulu 
| vous donner mieux et c'est pour 
|cette raison, Et cela leur fait 
| grandement honneur qu'ils aient 
| fait le sacrifice de se séparer Ce 
vous, et de vous mettre à même 
| de profiter d:s avantages qu'of- 
| fre la vie étudiante dans un pen- 
sionnat. Beaucoup de vos cama- 
rades n'en ont pas reçu autant 
Profitez-en, mon cher, car la fin 
| approche. Armez-vous de coura- 
ge Essayez de juger par vous- 


| même 
| AMICUS. 


RECHAUFFEZ 
et 
servez ce 


LA LIBERTE 


ET LE PATRIOTE 


PAGE NEUF 


En Colom Britannique l 


Triduum en l'honneur de Marie 
à Maillardville (N. D. de | Lourdes) 


r… 


ARDY ILI 


Ÿ 1h 


te Année 3 mariale 
cvasis : gné la fête d ‘ 
nière appa 
ge à sainte B iotto dti 
à 12 des. ar de cor 
rnne à r” mA ère à 
- . [1 
de | € F f Pr: 
t-Pierre et Ma ms 
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È 10 Le " a 
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nire 1 . { ’ ve brar R. P, E. Denommée 
mes de “ons à O.M e à Fat s était 
hant « de J 4 1 F 4 re } 7 
4 #] 4 1 1 Le L] s54 LH T ee 
eut la prière à P: à ia ; iore F 
et un chant A sa e ge aire , 7 . 
Æ4 rois À e G ë " - t et 
nemmenvait ne ù prena f pro 
+ D ‘ 4 , ea { { L ‘ 
1Ota . Fa ) : faric 
F. ‘ * ere que . À , 
o : LI . LL € = 8 : ; + 
out s é Fra à j 
£ FF Ke t Pa OFM 
Premier soir le : re 
s di r A 6 e F e la pa 
F é ‘ [4 £ é ‘ 4 ra 3 
t ce t 6 6 | / J #16 
7 4 f 
LA LE f L 
‘ et 4 4 L m 
Deuxieme soir 
d Le de por pe 2e re La messe de l'Année mariale 
mme 4 texte 3 t k 
« P ? de! € f : f 
ant à fianat 4 e d nedi po 
de Mme | ‘ ext ta ! P' + nt ee ma 
r ä Ce deux fr t à LA EI { précha 
4 érémonie e ! pa a recitat 1 apelet po 
4 t d T + Sa ement à é pecneur m 1e6 pa ü 
uinte V € né da s 
apparit 4 pniant Pi 
Victoria she D 
Deces 
Ça et la La R 4 Ste-Euphémie 
Mme Georg Parent, 1ère un de St-Bonif r décé 
viceæresidente de la Fédératior dée le 7 fé p' \ le 78 ar 
assistait à la réunion du Bureau | Elle était la soeur de M. Edouard 
de la Fédération, le. lundi 8 fé-| Parent, de cette par € 
vrier, à Notre-Dame de Fatima Chemin de croix 
Ma e, C.-B To ‘ red de atie 
A l'occasion de l'anniversaire | jhnnée les méditatior j "pete 
de mariage de M. et Mme Jo-| 4 cro nortent sur “Ma 
seph Hudon, de la rue Esquimalt à Pa ' 
une réception fut organisée pa 
leur fille, Rita, pour les mem Visiteurs 
bres de la famille La Ré Té Emile « 
M. et Mme Dollard Jacob, de! gieuse 1 | Québec, er 
la rue Ontario, passent deu , T. n de Ser 
mois en Californie t gi 
,La famille Beaulac, d a ie { 1 je Rimou 
Linden, en promer Fe 4 à | dant quelques je Elle fai 
Eureka, Ca lis se rendront à|tie d'un groupe de huit 1 pa 
San Francisco, Los Angeles, O-\$ses qui se rendent au Japon. Le 
range et San Diego autres sont des relicieuses de 
Mme Onésime L'Heureux, de !]l'Immaculée Conception 
San Francisco, Ca]., a passe quel- 
ques semaines ic visitant les 
familles Charpentier, de 1] Vancouver 
Harrison, Beaulac et Trer x 
M. et Mme Donat Bolduc, de Radio française 
Henrybourg, Sask., sont à l'h6- Le mardi 16 fevrier, en la sal- 
tel Beverley, rue Yates, pour les | le de l'écol nd Fatima, Maillard- 
mois d'hiver ille, le Comite de la Radio, sous ! 
N'oubliez pas la partie de car- auspices A la Fédération, or- 
tes du Club Canadien-Français, nisa une interessante soiree 
fixée à ce soir, vendredi 19 fe-! pour honcrer d'un façon spé-! 
vrier, à 8 h., ‘‘Au-Vieux-Queébec’ ciale les personnes qui a nt 
M. Paul Vialar, de Paris, don-| Pris pari aux différents program- 
na une conférence, sous les aus- | Mes de radio-française au poste 
pices de l'Alliance française, le CKNW. Une soixantaine de per- 
jeudi 11 février, à la salle des! SOnnes assistaient à cette réu- 
conférences de l'hôtel Dominion, ! N10n L R P Leduc OM, 
rue Yates curé, adressa la parole, ainsi que 
M. le Dr Beaudoing, president 
Nos malades de la Fédération, MM. Finnigan 
M. Casimir Despins, de la rue |et Montpetit,, les annonceurs 
Tolmie, M. Annibal Bianco, de | réguliers, Mme Marchand preési- 
la rue Menzies, Père LeSann,)dente du Comité de la Radio, 
Mme Anne-Marie Lavign sont! et M. L. Da: représentant du 
tous rentres à Jeur foyer apres | Poste CKN So tons que 
avoir passé des semaines à l'hô- | Les encouragements prodigues à 
pital St-Joseph nos artistes ugmentent le nom-! 
Se sont inscrits Au-Vieux-|bra des participants à l'avenir 
Quebec: Le dimanche 7, le programme 
Mile Edith Hotte de régulier du soir, avait eté exe 
J.A.C.F. de Montreal, et M. Ga-! cuté par un groupe d'artistes 
briel Bassette, de la J.A.C. de | invités. Les solistes furent Mmes 
Trois-Rivières, ainsi que M. et|T. Desautels et P. Thompson, 
Mme Massot, de Vancouver. MM. Girard et Allard. M. Hudon 
agissait comm maitre de cere- 
monies 


“Je croyais que c'était 
du bonbon . . .” 


Tout ce qui ressemble 


DODDS 
KIDNEY 


in bon- 


| bon tente les petits enfants. Ils ne 

PILLS connaissent pas la différence en- 

| tre une pastille et une pilul F 

un comprimé. Beaucoup 

\inenmenS mèdes domestiques inoffe s 

RE pour un adulte peuvent êtr 1 

CEPMANR TL poison pour un enfant. On doit 
D 04 1eou sit 214 donc tenir hors de la portée des! 

lenfants médicaments et drogues, 

| pilules et comprimés 

en a | 
| 


Ne monquez pas de voir ce 
magnifique d'aubaines, 
de 626 pages. Nouvelles mo- 
des fascinantes jolis ac- 
cessoires de maison —- mar- 
chandise à des prix economi- 
ques pour la famille, la mai- 
son et la ferme. Oui, lorsque 
le cotologue de printemps et 
d'été arrivera chez vous, vous 
conviendrez plus que jamais 
que 
"IL EST AVANTAGEUX 

D'ACHETER _CNEZ EATON"" 


#T. EATON C 2 


MINNPEQ CANADA | 


livre 


Catalogue donné 
gratuitement 
sur demande 


La prohibition 
L'enquête rappelle que toutes 
les provinces sauf Québec, adop- 
térent la prohibition en 1916 et 
1917. Quebec la subit en 1919 
Voici les années auxquelles les 
s provinces l'abolirent: 


diverses 0 
Colombie-Britannique, Québec, 


Vient de paraître 
chez Fides 
Un hivernage à Stadaconé 
par G. Cerbelaud-Salagnac 
Le lendemain de ia Pentecôte 
1535, trois navires quittent le port 
de St-Malo. Sur la plus grande 
flotte le drapeau du ca- 
it général Jacques Cartier 
Le Malouin, en route vers des 
s nouvelles, :amiène Taignoa- 


\v et Domagaya, deux Hurons 


prit à son bord au cours 
premier voyage. Se trou 
a sur les trois navires 


1atelots hostiles à ce voyage: 


sont les hommes de main de 
certains trafiquants de fourru 
qui voient d'un mauvais oeil cet 
te nouvelle expédition pouvant 
ruiner leur fructueux commerce 
Ces traitres ont pour mission de 
gèner, par tous les moyens, l'ac- 
tion des ‘“découv-eux 
Dans le cours du très dur hiver 
ie 1535, dans le fort de Stadaco- 
né, là où un jour s'élèvera Queé- 
bec, la petite troupe de Jacques 
Cartier va se trouver en butte 
à la trahison s matelots félons 
et à la perfidie des Indiens, Et 
voilà que, pour comble, vient s'a- 
I e terrible scorbut 
Ce grand récit est dû à la P 1 
me alerte de l'excellent écrivain 
qu'est Georges Cerbelaud- -Sal a- 
gen Sans cesse, il nous fai pas- 
ser habilement de la vérité his- 
torique, puisée aux sources mé- 
mes des relations de vovages de 
artier, à la fiction ro 
ut constitue un 
q nous permet 
toute sa gloire 
es p sodes de l'épopée 
france ique 
Un volume 123 pages. Prix 


$0.90 (par la poste $1.00). 


cours de la semaine dernière, ac- 
compagné de MM. Armand La- 


londe, Ernest Chabot et Léon 
Marchildon 

M. et Mme Louis Chartier re- 
cevaient, il y a quelque temps, 


| un album-souvenir de M. et Mme 


Kent Jackson (Valérie Brisebois), 
autrefois de Zenon Park et nièce 
de Mme LIL. Chartier, Cet album 
contenait des photographies pri- 
ses à l'occasion du mariage Bri- 
sebois-Jackson, célébré au cours 
de l'été dernier à Santa Rosa, Cal. 


Remerciements LES 
M. et Mme Sylvio April desi- 
rent remercier sincèrement les 


religieuses de l'hôpital Notre-Da- 


me, M. le Dr J.-A, Mandin, les 
gardes-malades et le personnel| 
de l'hôpital pour leur dévoue- 
ment et tous les bons soins pro- 
digués à Mme S. April durant 
son séjour à l'hôpital. 


Nos malades 
Mme Marie-Louise Joubert est 
retournée l'hôpital Notre-Da 
me après avoir été sous observa- 


à 


tion pendant quelque temps à 
l'hôpital St-Paul de Saskatoon 
Elle fit le voyage aller et retour 
en avion-ambulance 

M. et Mme Albert Favreau sont 
allés à Saskatoon où M. Favreau ! 
recevra des soins médicaux | 

Mme Lucien Moyen est aussi | 


hospitalisée à Saskatoon eli 


È e opération 


ou 


s 


M. Philippe Brisebois a dü être 
transporté d'urgence par avion- 
ambulance à l'hôpital St-Paul de 


Saskatoon pour opération majeu- 
re le samedi 6 février 
A ces malades, nous 
prompt 
rent 


foyers 
u 17 
Notre-Da 
Henri Ro 


retour 


hc 


ier McCrea et bé- 
Ali 


Laur 
Leon 

Mme Y 
Leblanc, Mme 
1bert, Charles Soucy 
Mme Elie Hudon et bébé, Mariet 
te Ma ildon, Mme F.-X. Sou- 
Rita Chabot, Dolo Char 
tier, Gérard Lalonde, Lucien V 

geant, Philippe Brisebois, en 
Joubert et Mme Jean-Marc Mar- 


ier, 
Leblanc 
vonne 


Mme 
Verrie 


bé 


Norbert 
Louise Jo 


Ut 


ichildon. 


souhaitons | 


au | 


ce} 


ALL'CANADA 
INSURANCE 
PADERATION 


n'a pas besoin d'être répété; d 
Nos Ecrivains en Herbe "TEST ES Ne souffrez pas 
geole et Simone la picote 
Lettre à un petit enfunt malade ! ne idée de faire un plan. Ce pla: à (f) Le troisième H util t 
ù elle navaill ensuite Qu Aa le suIvr in lemen 
nieix, Sask., | fidèlement. C'est ce qu'elle a 
e 5 juin 1953. |et cela a donné le résultat H d | 
sit hui cela a donné le résulta un jour de plus 
. d'a r n. ié ss 
1. (a) Quand j'ai su que tu étais en rite: d ù nécess é du par suite de 
malade, je me suis décidée de!"2ls Nous aurons ! Occasion 
t'écrire une courte lettre. (b) ft. | revenis : r maux de tête 
e que ça va mieux? (c) J'espère! Un aut begin À x troubles 
que tu vas revenir pour ta fête à a de OL » petit Attie P ; j d'estomac 
s avons une surprise pour | © les ré s a * vs : F 
s 7 A er - tes gr à phrases le me : ii dire Je vous assure ‘ indigestion 
tites amies espérent que tu seras  Simpies, cour et encore, plus bas (4, à, « nervosité 
mieux bien vite jamais encombrées. Surtot viendrons vous. voir PR perte de 
2 (a) Demain, nous allons éeri-|Cune d'elles nexprime qu'une | vous dirons... ? Et Set sommeil 
re les examens français, alors dis ! Seule idée. (A ce propos, voyez Lu «ps LA 4 nl ps leau"? manque 
donc une etite rière u le premier paragrapne en parti- |! rer suit rain ment : bi 
je fasse Fe “oh gxeniens. 4%) culier.) C'est là une qualité très au bas d'une lettre à un ami fl d'appétit 
Moi je prierai pour ‘que tu sois | importante En effet, il faut pro Au début de ce commentaire, atuosité (ga 
Cette basilique, construite de marbre noir, date du siècle der-, mieux bien vite céder pour la phrase comme pour | nous avons dit que cette compo f. intestinaux) 
nier et se trouve dans les Alpes françaises, à 5,500 pieds de hauteur, 3. (a) As-tu su que grand'mère | le Paragraphe: de même que ce-| sition était bonne, Elle l'est assu he causés par 
C'est le célèbre sanctuaire de Notre-Dame de la Salette, commémo-| était malade? (b) Elle est mieux | lui-ci, pour être bien composé, ment. Bt pourtant, n'est-ce pas, ou 
rant | pl poor de ia Vierge Marie à deux bergers de la montagne. maintenant. (c) Maman a été lui | doit être bâti autour d'une seule |: que de petites fautes elle contient une élimination paresseuse 
A l'arrière-plan l'on peut voir le mont Obiou où s'écrasa, en 1950, ai der pou semaine. (d\ Je ! idée dominante de même la!Ce autes ne l'ont pas empêchee r le N n'Miins ni 
un avion ayant à son | bord 54 Canadi- ns. aisais les repas. (e) Pendant phrase, pour être claire et bien | d'être primée, bien sûr, mais elles renes le Novoro du Locteur lierre 
sommets ie PE —— | qu'elle était partie, George a eu faite, doit contenir une idée seu- | en ent amoindri la qualité, Ce qui} ‘* soir et voyez par Ogg «ia ai 
a rougeole ét Simone a eu la pi- | lement. prouve que, lorsquon compose rime A br RON pes Dee 
La C | bi B it te | cote. (f) Je vous assure que nous Nous voulons fairé remarquer On ne saurait jamais corriger a-} "'°" man 
0 om 1e r! annique comp e e étions bien contents qu'elle soit à nos lecteurs, en passant, la va-!Vec trop de soin son brouillon Cela tient à ce que le Novoro vient à 
reve été que l'élève a su donner à Il a toujours, ici ou Jà, quelque | votre aide sous trois formes: (1) laxe 
d b d' | li 4 a) Dimanche s vien a forme de ses phrases. Les unes ite qui se cache, Dénichons-la. | tif, carminatif, (3) tonique 
p us gran nom re F.] coo iques drons vous a ” ta h ont très courtes (1. ©. d: 34, a, b. ravaillons. C'est à force de tra stomachique 1 
Marie, Aline. Diane et moi nous! d es a plus longues (1, a. | Yaille qu'on parvient à bien a . res d'après bn formule 
Suite de la première page) 1921; Manitoba, 1923; Alberta, t'apporte ons des be nbons et des e: 2 a: tantôt e es sont ttes Eugène ADOLPHE di) les, Voolies e srelsie 
he D pur pr 1924: Saskatchewan 1925; Onta belles fleurs Nou ve li- | affirmative L'eé.6: 24 4 D sugene 4 , , botaniques de | re. Il eat { 
condamnations pour ivresse à) No verié- Bees 1930 De ta petite amie b 1: et tantôt composées Contributions accrues e + oct go à années 
772 par 100,000 consomma Vie  Bk ES gs fe Have us > 6 a dan a production de 
tion movenne de 1951-1952 s'éta Voici la proportion de conson armen BR ANGER le meilleur moven d'éviter la mo. Qu Fonds de l'Enfance hr abohr domestiques dignes de 
blit à 1.48 gallon par habitant. mateurs selon divers facteu rade V-A e. Et la composition v ga è * 
Po 1951 a proportion d'al l { le St-Lo mouvement et de l'intérêt NATIONS-UNIES N.-Y gr ol g P rem inutilement 
parte Le ‘ 201 " es + “ L TER g : OMR FE s de Ia constipation un jour 
hobiané pet L.: du pin Le à 20 ans, p 1e St-1 S, SASK { 5 os s maintenant que : pe dors me) pr art a D os plus! Fake comme tant d'autres 
tions D vresse, 861 s Vo se composition er ques faute compris celui au al on \, ont font: prenez le Novore dn Dorteur 
En "1952 la proportion d'al téressants Nous allons exarnr 1. (a I faudrait dire je se un total de $14,245,000 au dns dont l'efficacité a été indéni. 
cooliques set ee t a 1,629 par : DEA SE 79 ner € nble et voir que en n décidée à t'écrir u, nds des Nations Unies pour prier qu Pt 4 par de nombreuses 
- - + € C econdaire 7 LT pr u ù À ment ai décidé É années de surcès, 
100.000 habitan Anciens d'écoles primaires , , . 65% SOr es principaux merices nfance au cours de l'année Achetez une } ill 
Comparaison avec l'etranger ar PARA .. + La première qualité d cette 3, soit 36 p. 100 de plus qu'en | même. Si bn À pére enouré tel 
Le Canada occupe le sixième Non L ébés .… composition, clarté. Clarté 1. (e .. que tu seras mieux pe de Novoro près LE LE T4 nd 
rang pour l'alcoolisme, d'apres Voici 1 sa es ras À b d'abord dans construction. | bien vite adverbe vite ne va vi ù Log hash a pr. cues frs ecrives 
statistiqu? à 1948 que voici 4 oICi 1 proportion ke stemes | Voyez comme cela est bien dis pas très bien avec le verbe L'Ethiopie, l'Iran et la Jorda- pe cevoir notre re d'Essal 
: alcooliques eur 100,000 | Selon le peuplement des diverses | posé, bien ordonné. Vous avez|ètre. Changeons l'un ou l'autre nie viennent d'annoncer leurs péciale 
ï regions | quatre paragraphes. Or chacun|mot et écrivons , que tu seras contributions à ce programme FOUT TU rmSr « 
Rues lon de moins dé 16.609 habitants 330 | d'eux ne contient qu'une idée! bientôt mieux” ou que tu L'iran a donné $5,000, la Jorda- Envoyez ce coupon “Offre | 
Danema k Les de 10.000 à 100.000 Habita 28% | principale AENS le rétabliras bien vite” nie a promis $1,400 et l'Ethiopie | Spéciale” Maintenant | 
anada les de Fe de 100,000 habitants 24% 1. Comment va ta santé? Nous 2. (a) On dit: les examens de est engagee a verser pour ia | O € Inclus $1.0%, Envoyer moi | 
D F Voici les proportions compa-; avons hâte que tu reviennes tra n'est-ce Das? : première fois au fonds une som franco de port une bouteille régr 
ourcentage de consommateurs ,é6es de buveurs du Canada et à Demain. les examens del 1" : Ace. . [me de $8.000. | liére de 11 onces de NOVORO! | 
Voici la statistique des con- | deg Etats-Unis: be Mc Û 2, (b) . que tu sois mieux ; Eve 
sommateurs par province, en Hommes Femmes | T2NCaIs À bien vite’: même faute qu'à 1 (e) Parmi ces contributions gou | | 
1952 anadé 2% 76: 64% 3. Ma grand-mère a été malade. En plus répétition Varions le vernementales qui constituent Koin 
Colombie-Britannique Etats-Unis n 70% 47, 4. Dimanche, nous irons te Voir. | tour, tout en évitant la faute 88 p. 100 du financement du | 
A ri 1 Cela est parfait. L'élève a com-|  3.'(a) L'usage aujourd'hui veut | fonds, c'est la Nouvelle-Zélande | 
repart Z P k pris qu'il faut, dans une compo- que grand-mère et quelques au-|qui a verse la somme la plus éle | Adresses vtistsesessimennsiée 
Pr es Maritimes enon ar sition, clas ses idées, ranger |tres locutions du même genre, | Vée par habitant, avec un total "4 
v P L L Cù et li en p grai es celles qu M cs composées de l'adjectif grand et! de $140,000, tandis que la princi | Bubèsu de Poubs 4 
oici la stalhstique des a!C00!- 2 | . |ensemble, La clarté l'exige. Au-! d'un nom féminin commençant! pauté de Monaco se trouve au ra 
ŒNOR RAT) PEONIDEES ROUE SRE La DR à pepe + 3 "Es +! ne trement, sr serait pes une | par une consonne, s'écrivent Sves roisième rang des contributions | DR. PETER FAWRNEY “ pps co. | 
me anneé gieuses couven A en 1 r is ur uiilhi i . n FE 7 CE £ ne 11 a! : 1 1 ep 52-55- 
Co r pat 100,000 habitants | Diaisir de recevoir leur Supé-| ns ne rad PPS ea 1 4 le trait per À non pas avec per capita, dr ve de eh | dA:IL Reésiiser Avédbe. Olens 4e 1 
Québ louta _CétEntn de “and Al temarquez € suite comme Îles | l'apostrophe Autre remarque | Les Etats-Unis ont la deuxième [258 Stanley Strent, Winnipeg, Man., Canada 
Ontario cette occasion, nos religieuses re- paragraphe s son bien ordonnés ici: le temps du deuxième verbe | place par rapport à leur popula- ee ee mm mm mm 
Dore | vétirent : léut A SUUaRT NAN |antre eux: le premier sert d'in-| est défectueux Si, comme on|tion, la première place comme 
Manitoba LdadttieniTe He Advédues nécessai. | 'oduction à la lettre, le dernier | nous le dit à la phrase suivante | pays contributeur avec $9,814,- FHSTS SRE 
Sask. res pour “Literie AUS exigences | conclusion. Ceux du centre (b), la grand-mere est mieux | 333. Viennent ensuite la Thaï-|! BESANÇON Mgr Maurice 
pes: Ep temps présents ” |constituent le corps de la lettre, | maintenant”, il faudrait écrire à | lande avec $573,538, le Canada | Dubourg, archevéque de Besan- 
T.-Neuve MM. Albert et Charles Soucy:l}° développement Cet ordre n est | (a): “As-tu su que grand-mère avec $507,614, la France avec çon, qui avait été frappé d'une 
| nur: 70e : [ ge Y| pas l'effet du hasard. Au con-|avait été malade” $500,000, l'Inde avec $315,000, y rh PF 
Voici comment les goûts dulet Henri Fortier sont allés en |traire, nous pouvons aisément af-| 3 (e) Georges, en français, | le Royaume-Unt avec $280,000, crise cardiaque dans la nuit du 
consommaleur ont évolué depuis | YCYage d'affaires à Prince-Albert, |, que l'élève, avant de ré-| prend une s. Ensuite, vers la fin! l'Australie, la Suède, la Yougo- | vendredi 29 janvier, est mort di- 
187 à la fin de la semaine dernière. | diger sa composition a eu la bon-| de cette phrase, le verbe a eulslavie et la Suisse, {manche à l'âge de 76 an. 
1871-1900 Sont allés à Melfort pour af- , 
Boissons fortes ...., 7a° faires, MM. et Mmes Etienne Po- 
piere TEE er |: tié et L.-P. Hudon et Mme Lau- | 
FF 151  dnate nt dia Qu | rianne Duperreault. | 
Bière 0000: 58% Mlle Rosa Gaudet, de Belle-| 
Boissons ob. ES à 4% | vue, passe quelque temps chez | 
1941-1950 Ve Ve Lt | ses soeurs et beaux-frères, MM. | 
Bière NS OR [et Mmes Alex, April, Fernand 
pe tte ce A YO 27 | Favreau, Lucien Joubert et.Ray- 
s FIVE sh mond Chicoine. 
€ order. PECRARAOE"T M. et Mme Jos, Dion, de Vawn, 
nellement, CORNE 10 plus de | étaient en visite récemment chez 
bière: 71 p. 100 des breuvages|}e,;< soeur et beau-frère, M. et | 
alcooliques bus dans la province. | Me Omer Hamelin pour une se- 
La Nouv lle-Ecosse consomme | maine, Ils ont aussi passé quel- | 
la proportion la plus élevée de ques jours chez M. et Mme Jos. | 
ap gt et de vin: 39 et} Fortin, oncle et tante de Mme J, 
11 p. 100, respectivement | Dion, et autres parents. | 
La consommation mesures | M. et Mme Amable St-Amant 
en alcool pur {sont partis pour Coleville où | 
Voici le tableau de la consom-| passeront quelque temps chez 
mation mesurée selon la teneur | leurs fille et gendre, M. et Mme | 
en alcool, pour 1952 Bertrand Beaulieu, et leur famil- | 
Ontario ..:..,: sa 1.62 gallon |le. Ils visiteront aussi leurs au- | 
Alberta .,,,: 1A1 par tres fille et gendre, M. et Mme E, | 
Dieter .:19 naPitant| Gerlinsky, de Carmel. | 
Saskatchewan . : : : : : : 1.08 ” | M. et Mme Eugène Leblanc| 
Nouvelle. Ecosse 0... + 0.95 ! sont revenus d'une promenade | 
Le rapport ne donne pas dé |d'un mois chez leurs fille et gen- | 
hiffres pour les autres provin-|dre, M. et Mme Arsène Rabut, | 
ces, sur c2 point, mais établit | de Domrémy. Ils visitèrent en mé- | 
cependant la consommation moy-| me temps d'autres parents et| 
enne du Canada à 1.48 gallon. | amis à Hoey, Bellevue et autres | 
Voici la répartition des alcooli- | endroits. | 
ques selon les sexes, à diverses Mile Rita Chabot est de RL 
epoques, par 100,000 habitants: tour chez elle après une opéra- 
“ARE ES Hommes Femmes! tion subie à l'hôpital Victoria! 
1901 2.084 425 de Prince-Albert la semaine der- | 
1921 1.043 230 ve 
1931 1.118 oo |nicre. : : 2 
1951 2 627 525 M. l'abbé Armand Arès a fait 
un voyage à Prince-Albert au 


ut 


SUR LA VOIE PUBLIQUE 


Toutes les quinze minutes, un Canadien est gravement blessé dans un accident de la 
circulation. Toutes les quatre heures, une personne est tuée. Toutes les deux minutes, 
un garde-boue est enfoncé. 


L'assurance ne peut ni rendre la vie ni adoucix la souffrance. Tout ce qu'elle peut faire 
est d'alléger les charges financières provoquées par l'accident. Mais même alors, les 
frais sont élevés. 


L'année dernière, les compagnies d'assurance contre les accidents d'automobile ont payé 
plus de $75,000,000 en indemnités — et ce n'est là qu'une partie de ce que coûtent 
l'insouciance et le manque de courtoisie de nombreux automobilistes, 


ALL CANADA INSURANCE FEDERATION 


porte-parole de plus de 200 compagnies concurrentes 


d'assurances feu, automobile et accidents. 


PAGE DIX LA LIBERTE ET LE PATRIOTE Winnipeg, le 19 février 195A 
. HADIO GRHAVELBOURG 


1230 Kilocycies 


Séance dramatique et musicale 


Chronique de C(FRG 


P d’ h | 11 fé VENDREDI) sx a sar-dessus 
400—Un cenretien de- Du lundi eu samed ‘ 
ri ne 1230 Kilocycies | vant S. Pau \ “ ent S00- 1 ve Fe 
a ru omme, e 100=Les dix succes inclusivement _ personnages 
LUD'HOMME : out Qui!! Lake. étaient en visite chez Changements a l'horaire ! ses” qui avait lieu à Gravelbourg Een sfo-rournar 6 5—Ouverture 6:20— Nos ue 
de l'A rrisle et en l'hon- | le nombreux parent L'émission “Carrefour” de Ra- | dimanche dernier. srrefour | 100-—Sur toutrs les 
. ! 3 s t : ù + 0 compto:r u 
je Mgr Pierre, de retour M. et Mme A. Lepage et M € dio-Canada, qui passait sur nos On e lé prie : À M, Mucg tnt disque RE : vu le 
1 \ P Fra e séan-|loiselle, de Detroit, Mme Edgar ondes le mardi à 8 h. 15, vient} €£T que l'equipe ces réalisateurs SE lu mal 13 Ch D Poonès 
| tiq : nusicale eut! Caillé et M. et Mme André Le- d'être remplacée par une nou- du programme ue ru nos me — 8301 x 
’ ' … salle paroissiale ! page, de Windsor, étaient en v velle émission intitulée: “Les! Paroisses se preseniera à Mont: 820— Passe-temps murs k 4 : 
eud { parents et amis l'affair:s de l'Etat”. Cette nou-! Martre, dimanche prochain, 21 SAMEDI 845—Je vous ai tant N veiles 
: velle émission, une gracieuseté | février. : 655—Ouverture RES promet TR" du jour 
! e, de l'ile à la du Service des relations exté-| Nous remercions cette parois- | 7.00—Radio-Journa! _ Asxinibois 1000—Fin des emisions 
à x M t te chez M. et |rieures de Radio-Canada, est| 5€ qui veu’ bien participer à cet- Hier La Fi 2-30— Bulletin de LUNDI 
, Ja 1 1 cpage composee de discours par les | pd emission, Nous sommes con- 815—Manchettes des re ” ee. se ; H » " 
‘ srimard était en chefs politiqu:s des partis: Libe- vaincus qu'elle remportera un nouvelles 10.00—Parade de ia ee _ 
pie P« PT es à St-Brieux ral, C.C.F.. Crédit Social, et Pro- Vrai succes à cette occasion CAEN Te mas | ù ie 
terprétée p L Oneil et Adrien gressisteconservateur. Remerciements 900—En parcourant LL te 
et de Berthe Lepage Voici l'horaire de ces émis- Nous remercions chaleureuse- Assiniboia | 10.50—Signai-Horaire S60- Recto + À 
ér. ln fé Mi + rendaient à Gravelbourg der- sions ment tous nos auditeurs qui s'oc- 4 ER Ep 1100—Quelques valises Sucre — 
Ji ceupait du! nmiérement, à l'occasion du 25ème Libéral — 2 et 23 fevrier, 16, cupent de remercier les comman-! “les jeunes! RE re is = n s.30— 1 Ce ch ‘s 
4 M. læpage, qui! anniversaire de mariage de M et 30 mars, 13 avril, 4 et 25 mai, | ditaires de CFRG. Même si tous | 1000—Nos étud au | 1200-L'Angélus EE 
ser de Derson- | et Mme Dumont Lepage 15 juin nos auditeurs n'achètent pas,|,,,, Micro (CFNS, | 1202-—Quelques retrains la CB 3 
: Vésule ” et n DR£é D Ho 2 dit À C.C.F. + 16 fevrier, 23 mars,! pour une raison ou pour une au- ". Uiiéachoner FER Fouven es MARDI 
3t-De q ent « grand | Gravelbourg, derniérement, pou: 20 avril, ler juin tre, chez tous nos commanditai- | 11u0—Piano populaire | 100 Randonnee à 1.05 er de 
mbre ette séance assister au sacre de S. Exc. Mgr Progressiste - conservateur: 9 ]|res, ceux-ci sont toujours heu- DER pere Le og N Ponteix Radio-Paren 
Mariage A. Decosse février, 9 mars, 6 et 27 avril, 18 reux d'entendre dire: “Sapristi,| !°0—£Sandonnee à \2--Qtuéio A FA COMpRO 
2 e -m darsc ra 
er à été célé M. et Mme Emile Préfontaine mai, 8 juin. nous avons entendu votre annon- |. 136-Studio A pe Lo M or 4.00. D jolestence 
+ . : . p n & | 215—Radio S -C De adolescenc 
F ie t passé une semaine à Mont : ue s Credit Social -- 2 mars et 11!ce ce matin sur les ondes de ‘no-| 300—Les talents de | 230-Lafièche . . . se 41ô—Femmes celebres 
” . ‘ à ‘ . » », : 1os aro 5 1 00— Us 
1 G Miie Berthe | martre vez leur f M le D Un prêtre catholique, Mgr Bela Varga. a récité une priére mai. \tre’ poste”. Il faut toujours être! 409_Radio-Journa) 50 fntermeu " VHid joue den à 
B l - Lionel] Préfontaine pour le cardinal Mindszenty, à l'ouverture d'une session du sénat Autre changement prêt à se déranger un peu pour! 410—Une tasse de thé | 390—Bulleun de out eù deg lettres 
Va-et-vient P eurs de no ‘ té americain L on voit ici Mgr Varga, à droite, causant avec M. Ri. Pour un changement supple- | encourager nos commanditaires 430 en 4e cd t 305—Onze desennu 81s Ler affaires de 
( y pitalisé 16pita 1-  chard M. Nixon, vice-président des Etats-Unis. Mgr Varga a déjà entaire à son horaire, nous pri | et tout naturellement, nos com- D enaasennentes et l 330Chefs-d'oeuvre de RE 
p 1, et t Ce mit: Mile ne été l'’orateur du parlement hongrois, (NC) Fr viéi audit ré de d'aûrtaer patriotes. 500—Notre français | à pt RAS ce 
() Painchaud : innette rimard à | : ” » "F2 1 Quilles sur le vif BR 00. | . 
tas À 1 ENT mod Doiitue à M. Arthur Bouffard. Celui-ci Srillants sut nos ondes. bril-| 41t-#ents 430 Une tame e | L'orchest 
’ M. Hervé Po v » : st un rateur J ièr "he + LE «ai 30— samedi des rhge 
our act: M Camille Florizoone, cet un opérateur de p emière | jamts sur les allces de quiles| °° eme ce | 440 ième | | wencaros 
La- quarantaine en tout bravent le de Ca der à Mad 1 ° Jeannine Fournier, Madeleine 700—Au crépuscule 5.00—La evue de 10.15—Fémine 
, et les tempêtes pour alle pas, demandez à MAGRIEINE , .« .| Grenier, Claude Maltais et Guy| 720—Nouveaute dram l'actuali .06—Dans le bo 
: : bd … : n ù . ë ASE ù 8.00—Concer 1 rpg ten 
, soda 7 ve red de Don rem est décédé DT Re cG Parissau. En effet, ceux-<i ont LAS rate des pm Mg v g 6 rh 4 00- A ture 
Y, CFRG remercie tous les audi-! remporté de haute main la vic- sports pre valut 1.30-—Les idées en 
ter rave! l ire s Ù ‘re jioute 9.00- Samedi soir en - t : na € 
L . Lé . ” ÿ ; eurs de Grave'bourg pour le! toire lors de leur première joute pe 00 en 5.45—Concert apéritif PE , 
n l u nl à DOMREMY ; La paroisse de! Decker), de San Francisco | franc succès qu'ils ont fait de la | de quilles. De grâce , ,, conti- 9.50— Musique bai PR SRE oCan ne a 
af ie e C r e Domr:my perd un ancien et Elise (Mme Détillieux et soirée ‘Talents de nos parois-' nuez! 10.00—Bulletin de nou ST UER CS où se d homme 
cell t r ssien an a D "4 me Arthiür re . ù 615-Gravelbourg sur 
excellent paroissien dans la per Mme Arthur Détillieux) de | —mmmmmmmnmnmmereenrimnmmess assiste a é es ondes 900 La boîte à 
sonne de M. Camille Florizoone,' Prince-Albert: un fils, Jérôme, de i né 5 45—1 heure du chanso 
syri r décede le vendrdi 5 février à: Vonda, Sask., et plusieurs petits- 10.30 —Sigmai-horaire chapele! dan 2 Tir: _ 
à e dde 1 hôpital Ste-Famille de Prince- enfants * e * . T4 1100—Le quart d'heure | 1000-—Bulletin de nou 
Albert ü U 4 / F / % de Ste Anne ————…—— 4.00— 2. 
‘ Le cl a: ds dn ft Remerciements CT A /I 1) & ue eo 4 LS 11.15—Radio-journal 415—Mus A 
HF! : " ‘ é sont rendu Æ Cne ï di pal À, qui ademeurali Les familles Florizoone et Dé- 1120—Intermede musica) 200—Pot pourri 1.00—C1 
14 fév 1 à la salle pa ’ affaires avec sa fille, Mme Elise Détil- , Nate détient à mire Fe M k 11.30— Boston Pops 2.30—Le sel de la terre 1.30—Bapti 
ro ile u partie de carte I MA t Mmes Antoine Rou ieux, était né le 4 février 1865 Obs L me je” si te ; ds. 1170 Kilocycies 12.00—Les institutions 300— Talents de nos Marian 
ée pa fan l .| sel et rt Martin étaient de: en Belgique. Il arriva avec sal 7 "tes por Ré ‘ > É ’ TOUR pren |  SASEarreious 
& _P } 5 1 a Lt « + lg ai» Ma mess di den on mè dr mé Canaë en 1908 de. gnages de sympathie reçus à l'oc- La semaine dernière, votre! non Park. Nos gens ont éte reçus pee FH Dr: Log ou 400—La musique | HE" HR TSORAneS 
to Arme ‘ i Dona em passage à Souris, &é J »rnier, | 4411 al hr der: ut ù Red 6 we pros : à ES st 1 ta 3 ; à à 2. JU: 03: | armi nous | de \omme 
ES NE phèt eo € our nr MM et Mmes Georges Mago. | meura dans la région de Périgord casion de leur deuil. chroniqueur a fait une erreur sé-| comme des rois et la foule en-| 60—Béatirication de la | 4.30—Les plus beaux | 900-Au Café Concert 
porta É } FA d'u Chère 0 allés | plusieurs F et. de 1934 *à Cà et là rieuse: il a donné le nom d’un/|thousiaste a versé un montant! Rév. Mère Léonie | disques | 930—L'abum de RCA 
Ü M. Geors 1 gagna le|tiaux € ai regorge sont allés TES ". : è : rende À . se con: | anti > eur des di 10 ee : Match intere ficto 
Fr A A 1948, à Domremy où son épouse $ Mgr Lév Blais, évêque vendeur que personne ne con-|substantiel en faveur des diffe-| 1-—France-Dimanche 5.00—Match  intercité VO 
naît ici comme vendeur, c'est-à-! rents concurrents nombreux et RS ES CNE BE 


pi l'ent { tre b ts! a Régina pour affaires Jo ; ] héan à 
le $10.0 g és par M M. et Mme Stanislas Paulhus ! g tr HELE porn ere A 4 part ne Pr rss Bérubé. En realite, il aurait | bien préparés. L'émission de Ze-| BADIO PIE A IRIES:, VOND 


| Morea M Lucienne nt passé deux jours à Brandor a a 4 « "rc à F 
vive l tte Wilve Î et, en revenant, s'arrétéren é Domremy le lundi 8 février. La  rement, l'hôte de M. l'abbé A.-J. D Rp, + ge rare qu À nes ra pr Br Du ver EN” 
DS A à Li tértes El iouiséb Virden chez M. Clovis | croix de deu portée par son | Houle ube est en dehors du poste pres-| prochain, 1 evrier, à . de} 1170 Kilocycles 
PAPE: MAN re ; rs RUE. d titifils s le K F : a 441 } que continuellement, son nom |l'aprèsmidi. La série des ‘Ta-! à 
le gà ( min nard, frére de Mme Ent petit-fils reli le K Louis Nos félicitations à M. et Mme pr re ‘lie , hez " briti VENDREDI 330—Prog. ukrainien 
: + eng 4 ; Détillieus di collède:| Euxè#fe Bouti di 45Heù | nous est moins familier que ce-| lents de chez nous” se continue- Ô Ju 1 Qobcla fivsiqu 
ge - lent de passage à Bellegarde! Ann ne es Hortéure Iuren tte Très le Nes Pop eh d ntune! ji des autres employés, mais | ra avec l'enregistrement qui sera | 1235—D'une paroisse Du lundi au vendredi parmi nous 
ne rêu n du de |: a Eamonton, Le rteurs furen ù » fille » huit mois 1 les à r F ë : autre : ; | F 
1 i voit 1] I un on du CR C de la MM J "es Er F Vide " petite uie de huit mo dont le nous tenons à lui rendre ce qui fait à St-Louis, le dimanche 28 à 26 à LE € | inclusivement 430— Doctrine cath 
i lont plu- | région no 2 de la Saskatchewan: | MM. Joseph, L ictor ét An- parents périrent dans un incen-!, : uit pige "#77 os 5—Sérénade 5.00—Match intercité 
” ; i Détillieu: t Pa 1 lui est dû. fevrier, chantent 6.45—Serénade ‘a 
le Hedve avt M abbé Arthur Marchildon, ins- ARR 1% : à dé Pa 7. 7.00—Prog. allemand OA Pt PER | ke se w É NT ” 
( ‘ l bbé A. Vanden- | pecteur d'écoles du sud manito- l!Z00ne, tous petits-fils du défunt M. Philippe Bremner, du C.A Chantez ... Souscription 1.30—L'âge de raison horaire eo, PPS 
4 D + Es ain 18 D J:Bordet PM. fl lnisse dans le deuil 4 filles | RC. stationné à Ottawa, fils del Dans le #ii B | P 8.15-Carrefour 1.00—Radio-Journal 6.00—Radio-Coliège 
k à ÿ s : he , Peu ares] US ER l'an - 5 | ans le film de “Blanche-Nci- Nous n2 vous avons pas parlé! 830—Initiation à 1.05—Bonjour peur te À lres 
te St-Hubert, et M. l'abbé Domini- | Maria (Mme Leroy), de Rose Val- M. et Mme Jean Bremner, est|ge et les sept nains”, on chante | de la souscription depuis quel-| l'orchestre __ compatriotes! £ etoiles 
que D igas. ley Sask., Art mandin e {Mme en congé chez ses parents, En|“Sifflez en travaillant” is s : ai F gl 900—A la console 145—Prière du matin 1.00—Théâtre canadien 
se il doi ed a] rad 1 ez e al nt , mais sur) que temps, mais ça ne veut pas! ; 30— Récital 8.0u— Nouvelles 8.50—Petites symphon. 
M. l'abbe l 1, accompa qu s, 11 doit prendre le PAPERS les ondes de CFNS, nous présen-! dire que tout va bien dans ce do- | 10:00--Nouvelles et fin | 8-10—Intermede 900— Musique pour tof 
n ) Samaria pour un séjour de deux tons, le matin à 9 h. “Chan-! { 5 ù / 8.15—Bonjour 9.30—La fin du jour 
tons atin à 9 h. 05, “‘Chan-| maine. Nous croyons que plu- des émissions DDR lbtes 10:00--Nouvelles et tin 


des émissions 


gr e M »be KR. Ducharme 
TT ; 1 - Rss ans en Allemagne, « | tez « rai ” / in- | &i { 
at sente ve Réunion mensuelle de la LFC de *°" "777777" men Nourrounine eur a nos audeurs Go Poe sam | 20e gun | 
retra EE ME |vitons à ne pas manquer cette tés à croire que leur ‘‘effort de aimé LUNDI 
| 655—-O Canada ÿ.00— Nouvelles tps 


‘emission de chansonnettes fran-| guerre” a été suffisant. Et pour- 
1 : s rh nes EM En 1 de 0.15—Fémins 
© Val Marie çaises tous les matins pour en- F 7.00—-Radio-Journal 9.05—Chantez en AE Léo 


et Mmes Félix Sylvestre à | 
rges Magotiaux et MM. Ro- £ | tant, il est certain que CFNS ne! 705—Bonjour, travaillant | 12.35—D'une paroisse 
" Moisson, Arthur Wilvers et as à oon enue e evrier v: ÿ tendre vos artistes préférées, | pourra pas acheter un émetteur compartiotes 9.30—L'orgue populaire à, l'autre 
LA a-et-vient €omme nous avons plus de chan-| d2 5 mille watts avant plusieurs! ?4-—Prière du matin 945— Artistes lyriques 430—Cordes qui 
Mme Frank Spiess est revenue | sonn:ttes que de musique conti-|.anné I l'a #.vu—Nouvelles 1000—Au fil de l'heure Ever 
SASKATOON SASKATOON stmaitués  AUTS fai SE PR 2 “A Ê ss €: es S années, au rythme où l'argent! 8.10—Intermède 10.30—Quatre dans un 100— Amérique latine 
SASK: à Ææs membres | Jacqueline Lacroix, de Prin-! de Moose Jaw, samedi dernier, | nentale, nous pourrons vous don i i | 815 59—S 7.15—Bal 
ke Sp ART THE rte : mL "net ÿ NTM ernier, | nentale, NOUS p ons \ -| entre depuis quelques mois . . .| 8.15—Bonjour, 10.59—Signal horaire 1.15—Bal musette 
de la Ligue des Femmes Catholi- | ce-Albert, après avoir passé une couple de|ner ainsi plus de variété d'une s Pr à compatriutes | 1100—Musique à trois 1.30—Don Caämillo 
A C Ile | ques de la paroisse des SS. Mar- Éd semaines en visite chez sa fille, | semaine à l’autre. L'hture: 9 h.| . Nous espérons encore que d'ici! 9.00—Nouvelles temps Rating 
u le] ege re: Citation rit Tout PêU: Mile Thérèse Masson était de. Mme Philippe Diacon nn À de AT jusqu’à 9 h. 80, pour quelques semaînes, plusieurs de 0.00 Visite à la 11.15—Radiv-Journa) soie °hog des idées 
“= ÿ x . M1 li 14 , . 8 £ . HU, n js sci » ME 5 f — À ay »s gits 
S Th M nion mensueiie 1e dimanche 7 fé- passage à Ridgedale, Sask., chez Ont conduit je club de gouret  ‘‘Chantez en travaillant”. nos bons amis nous enverront des 9.30—L'école du ‘Bush’ 12 Revell rural 9.30— Programme 
t. omas OF srier. M. l'abbé O. Lacroix, curé | sa soeur, Mme Fernand Neault, | ravis 1e club a gouret | pe pale Nr | chèques qui nous permettront d°\iutu—Cuncert vopuiaue | 12:00— Nouvelles sport ukrainien 
et chapelain, était présent, I] fut da —— d nior à Blumenhoff, dimanche] pepe D le donner avant trop longtemps à | 10.%0—Père Paris 12.10—Rapport des 10.00— Nouvelles et tin 
Le dimanche 14 févric au | décidé, par suite d'une résolution, Ÿ: rnier, MM. Alfred Duquette, Dimanche dernier, l'équipe de | notre auditoire le s:rvice parfait | MAR TR l'ipas: Us den: QMIeNURE 
Club Newman, nous eumes l'hon-| d'envoyer une carte de félicita Wolseley bre Barron, Clément Grand et! CFNS se rendait visiter une gros-! qu'il attend déjà depuis plus 1115-Radio-Journal 1225—Communiqués et MARDI 
neur et le privilège d'avoir com-|tions à l'occasion de la naissan Armand Quessy. se paroisse canadienne- française | c'un an. Qu'en pensez-vous, chers 1125—Interméde n. rég | 12.35—D'une paroisse 
me orateur invité au déjeuner-|ce de chaque nouveau bébé dans] M. l'abbé L. Savoie et Mme F. MM. Omer Clément et Arthur du nord-est de la province, Ze-! compatriot-s? HM--Denueue ds | reel di su—Grands pianistes 
commu! + le R PSV acho- | la paroisse, 1] fut aussi décidé Savoie allèrent à St-Boniface as- Labelle sont partis la semaine # CERN ENAESEUT HN + ADR ad MS RS 0 To Spiritwood 1.00—L'heure de 1.00— Amérique latine 
VER 0! ML, provincia + O- d'avoir une soirée paroissiale le | sister aux funérailles de leur tan- *erd pour une promenade LAS 2 55 Sas de ÉrAge"AIDerS 1 30 Rev DU dir dés 
blat e la province St. Mary's. ! dimanche ? bovidé Hahs 14 eat se sle-cneiir ans les »stEtats-Unis et le Æoville 200—Boulevards er am rh de nl 
its € pro ax } dimanche 21 février, dans la sal-}te et belle-soeur M ps sud des Etats-Unis et le Soirée-sur rise en l' honneur de 130—Un peu de tout SSrietens 8.15— Carrefour 
Mexique. | 23u—Radio S-C 2 30—Radio Savre-Coeur B30—A travers le 


Le R P YWachou . P V2 Rs É : 
Le R. P. W 10WIiCzZ a assisté au |le de l'école St-Paul. Les capitai- | Mme Emile Therrien, accom- 
M. et Mme Roland Svyrenne, 245— Accordéon 245—Piano populaire temps 
S300—Concert sytmph 


qu géné al à Rome, l'anines des cinq cercles acceptent la | pagnée de sa fillette, vint en fin M À . | 3.00—Bienvenu Sask 3 A lad 
passé, Il nous décrivit son voya-|charge des responsabilités de semaine visiter son frère ma-|4insi que Mme Antoine Dunand| t 0 e e a PARA EONS, es 300—Aux malades a sd Pr 
à 4 P ot ge l ÿ 0] e me e urni F, e r n H Re Neue 3.30—Bienenue NP TON TRUE ETES 


l'Italie, la France, La présidente, Mme A.-L. Le-!lade, M. Henri Cormier, et au-|e€t sa fille, Jeanne, étaient en vi- | 415—Echos Saskatchewan 


st a L] 
Espag et le P et dé-!G pi à #1. : lsite à: Jui os + . } Ç U 
: | | Gars, remercia les capitaines, ain- tres parents à Wolselev et Sinta- te a Swift Current, la semaine ! s ù ; (| —Petit concert 4.00—Radio-College 
peignit avec viv lieux, | si que les ro pour leur | luta, | dernière. ‘ FERLAND — Une agréable | vi:r, de Gravelbourg, M. et Mme 00—Notre français | 415—Radio-Collège Aa nai REDI 
et »biets « térêt 4 “yet ph Ste à à | F x 21 is * soirée-surbori anisée nri ri isieux 5—L'orgue populaire Jeudi: 'ches Femina 
Hs. ndlr e Te VUS! coopération et leur bonne vo- M. et Mme Adélard Rioux, de} M. et Mme Jean-Baptiste Bleau | SOITee-SUTprise, Darren Le APRES Le ré ro Vénus En | 5.30—Les dix FUCOËs David Roc) pd 12.35—D'une paroisse 
penda 0 ice, Sa causerie onté Min brrra rite DATA 6 He sont bartis pour un voyage de!leurs enfants, réunissaient les | et Mme Jos. Bouvier, de Gravel-, ÿ 50m à3t . | à l'autre 
"1 lont ntmarire, passérent une cou- 1 a ATEN JYage her : rt 4 1 __ _m usique à emps 445—Un homme et # EX L. 
+ À noie y ot , tive Election annuelle ple de jours dans les familles Eloi | Quelques semaines dans la Co-|parents de M. et Mme Louis! bourg, MM. et Mmes “phrem, 6.1»—Nouvelles son péché | #30—Cordes qui 
{ut vraiment appréciée par tous. e nds: .. let Emile Tourigny et Mme A.!lombie Britannique Fournier à l'occasion de leur|Bouffard, Alex. Laberg:, Char-! 65—Interméde ne: 4 NE 130-140 6 marche 
Il est à espérer q e À P, Pro L'élection annuelle du prin- Laplan ” Fe s AC Mme Réel Leonutt ot quarantième anniversaire de ma-|les-Henri Fournier, Avila Cha-} ne Ro die di s 15 Ven Minirénide 815—Divers 
ncial reviendra nous intéresser + "ut lieu du semaine à M: et Mini Jos. Malsch oi Léo. | Xe EE M te it pastis pe + En riage, le mercredi 10 février, à | bot, Louisa Bouffard et Leonard | 705-Opéra et opérette 530—Pour les barbins sr Pot du soi 
‘ncore sous pe cole Normale exécutif él ; | : CHE PURE " Get PEUT LEH EURE Lie Û » | 4 ssistérent . 6. | 7.30—Nouveautés | Juu—Les peupies et 
encot 1s peu, a eve M nard étai ent les hôtes de M. et|ge à Morinville, Alta, dimanche | leur demeux LES LES HUONES assistèrent à cette cé-| 73 péter ré Hire sans tech | leurs Déncans 
Le R. P. Bis:tyo Edmond LeG: s dé ‘Sachalann: Mme A. Pitre, dimanche dernier, | dernier. sage, es € pres | euIon, | 8.00—Tout le monde en 25—Intermède | 10.00—Nouveres et fin 
« :dmonc ÆæGars, d# Saskatoon x LM Es E une montre à chacun de leurs pa- | place 6.30—Le chapelcet | des émissions 
 Dimanch: e R J.| vice-président, M. N. Schultz, de B Nue Conan jee el all hong vrai rents comme gage d'affection et | Va-ct-vient 830—Magazine des 645—Sérénade JEUDI 
Bisztyo, de la cathédrale ’aul | Waldheim; secrétaire, Mille Rut} onneville et M, #t Mme Henri 10r65, sont alles en promenade à | 4, ec aisse i | i sports 8.00—Racio-Journal w : 
ie Saskatoon, "us montra des | Qu: Je Saskz ps. : AS cl Coueslan visitèrent Mme Lé Régina, la semaine dernière de reconnaissance. Parmi ceux | MM. et Mmes Albert Forcier | 990-—Musique muderne | 10.00—Nouvelles et fin | 1 —Variete 1HC 
. FA! juance, de Saskatoon; trésorière, Cover Ai Ml Adèle B pi Les famille” Alek Schmidt et | QUI étaient à la soirée, mention-| et Elphège St-Arnaud étaient en! 9.30—Chansonnette et des émissions 4: —Grands pianistes 
s u à p t en es Juesian et Miie Adeie énard| , °° mi A1 EL: 1 € ; s Ame Nan i er. | sie: M + tie variété 7.00—Amérique latine 
vues consistaient de paysages ita aux hôpitaux de Régina. Gordon Watson sont en promena- | M PANNE ri guy Sbert Mar. | visite chez M. et Mme Aristide | 559 Kouveiles et tin 1:15—Bal musette 
liens, de scènes dans plusieurs Gravelbour Ut ANS Col Ke de à Mailta, Mont, chez M. Ni- , 32, Et 5 u Fournier, dimanche dernier. 1:00—La bonne chanson 7.30—Baptiste et 
DS eu D US : g M. et me Gerard Mailhot et colas Schiat cotte (Angéline), M. et Mme} La Ré s RAT, DIMANCHE (Talents de chez Marianne 
bar . iriout de pnotos du eur fillette passèrent une couple AN at AR : Louis Fournier, jr, M. et Mm:| a Hev. soeur Marie-Hose a| , nous) 8.15—Carrefour 
Vatica Le R. P. Bisztvo est né Milé Jeanne Fiset ‘file dé M |de ous chez 1 ie Mc M. et Mme George MacAulay, Doi (H Je t 4 | dû aller à l'hôpital de Ponteix et | 11.00—Chant religieux 1.30—Quelques valises 8.30—Connaissance de 
en Hongrie où il fit ses études pri-|et Mme Lé id Fi Papers queen à € D d Z ieurs parents de de Birmis, Alta. sont en visite | 22 onauer (He ene), 1o:s de} les Hé € Artl Mari t 11.30—Mère Marie- 200— Doctrine catho! l'homme 
vi PS ar gs pri- | "me Leopo iset, est partie, Régina ‘hez M. Ephrer Tatiot: ù Meyronne: Gérard, du Collège | les Rev. Soeurs Arthur-Marie et} ? Léonie. 2.30—L'heurz polonaise 9.00—Café-concert 
na res, Il étudia à Rome pen-| pour Hamilton, Bermudes, où elle Mlle Florence Bonneviile vint! 2€ M. Ephrem Lebel de Gravelbourg, M. et Mme Gas-! Marie de la Providence sont 1200-Hadin-Coutse 3.00—Conférence mis- 3.30—Concerto 
ape la pus: re i : € % cestia VE 8 ap ge FA en fin de semaine chez ses pa- M e: L evueg Giave va pont | ton et Lise, à la maison, Qua-| venues la remplacer. 1330 Radio-Cohége 3 15—À la console PT des émissions 
pendi qu rit ces e r et me J.-; Soucy | rent: eny et leurs enfants, de Lorinsg |tre filles, Alice, Denise, Lor- Mr : + F 
C2 4 Ê ; Mme Médelger Chabot et sa 


magnifiques vus sont de retour d'un voyage dans M. Thomas Perras, de Winni- Mont. étaient en. visite chez M. | raine et Evelyne, de Régina : ” 
“eci fut » * inie \ Fe / , € erras, LE v? È e Ps yne, ina, ! mère, Mme C. Douville, de Pon-|! 
ere DS rl ne À DNS PIS RENTE de Québec, Henri peg, passe quelque temps chez! Michael Heisler, dimanche der-| n'ont pu se rendre à cette fête, | teix, sont parties en evion dans 

_. L è ati4 v- Le Eye . e re venu 'aveo"euxs. ;, sa mére, Mme Rose Perras. nier, 1 | mais transmirent lcurs bons sou-! l'est, visitant Ottawa, Montréal! erras, e piri iver, 
rréable soirée : dur ris ; M. et Mme Gordon Cochrane | haits à leurs parents par télé-| ef autres endroits rour un mois. | 

et leurs enfants, d'Orkney, é-| phon:. MM. Honoré, Arsfne, A- ÿ 

EEE F4 taient en visite chez Mme Jos.|lexandre et Daniel Bouvier, de le Yvonne br RP victime ‘une mort tragique 

| s soeur - 


Mme h. Leblanc, de Domremy, est décédée Sincennes, la semaine dernière, ! Meyronne et Gravelbourg, M. et | allée visiter ses 


frère, M. et Mme E. Douvill:, à 


Ro FT-E, i 2 x . 2 e à à E 
bert-E. Gobeil, B. Com. deux semaines après son mari, le 9 février," Micnaci Lewans, de Die | re PR PP 'Eanipiee, Ai D écoltene vint cguir ETES | he M OR Cl. 
Comptable Agréé : vale: JO sache ARE Vs à 116, | A ‘ ÿ que accident vint ravir à l'affec-| noît, de Vancouver, C.B., Cle- 
F g ,,POMR. EMY - Le mardi 9 fé Remerciements PPS pd np : Ë Willow-Bunch VOL SRE se Eire a tion des siens M. Ferdinand Per-| ment, d'Edmonton, Alta, et Ma- 
ad Sidi rier, deux aines après le dé-| La famille Leblanc remercie! 5% ##aurice Sincennes et Ro- ADEUSER, AOCODER Lg ras, âgé de 25 ans, fils de Mme | gella, de Paddockville, Sask. 
cès de son rer ‘ane Crilé Carol 15 302 + ; and Bellefeuille étaient en voya- ; x Mme Raymond Chabot, Edmond | ÿijn Perras e L 7 Fate 2 Le 
SASKATOON, SASK liaque emporta Mme Hercule Le. |, d4mes de Ste-Anne et tous|e d'affaires à Cadillac, lundi Varet-viont Paul et Renald, ‘e Ponteix, sont | V0p2 Perras ot de feu Of Pattes Le SN Dre, M John Pertes, est 
srque emparts Jim recule Le-! Le qui lui ont exprimé des! Gornier FF SSPMES.. RRROU M. l'abbé F. Blanchard, de Ver- | venus visiter leurs parents, M L: jeune homme était employé | décédé le 3 juillet 1953, et un de 
eme | MRNC. A GéTUNte laisse 16 SOUVE-! marques de sympathie, de quel To RD DL Ted Où Socd vint à WING EUTEN la let Mend Avis Chabot |OR IR ROUE Oil Drill Explo-|ses frères, Blais:, l'a précédé 
mn 7 E. #5 GAUDET ir d'une exce ente chrétienne, que ière que ce soit à l'oc- | inerte. + 1ourigny, O.M.I, AUS (TS 22 AUS siszs- 7 où * , ration Co.”, Or, tard dans la soi-| dans la tombe le 6 mai 1950, 
d'une épouse dévouée et d'une! cacion du décès 9” supérieur du collège de Gravel- Vendredi 12 février, pour affaires M. et M Paul Morin sont ! rée du 4 février trouvant LE rice funébre fut ct » 
Clim dical mère modèle pour <ses enfants | 45197 du décès de Mme LebiahcC. | bourg, était en visite au presby- de sa Ferme Coopérative Lacer-| ie CRE a nn ni pu évrier hôtel de Wild, APS fUQère fut gnante 
que medicale et dentaire nn mn MS le sans dNATi le la et auiess Te ent at allés à Moose Jaw, pour affaires de chambre à l'hôtel de Wild-| par M. l'abbé Clément Richer, 
Fr + Elle ee pal tie ir cons 4 Baptème +, a ee mr dy accompagné ! des Frères des el la semaine derniere. wood, il décida de coucher dans | curé de la paroisse St-Joseph, de 
En face de la Commission tion des Dames de Ste-Anne, dont Le 0 Zévria ADI Al et Mme David Scantland, 1 Chrétiennes, il se an dit ‘à M. et Mme G. D:sharnais sont “09 Camion. Le lendemain ma- | Spirit River, Alta, au milieu d'un 
vs he Loue les membres-nésistétant Aux | US ri se bap me Fa PR CAL ê DR, En) Gravelbourg pour voir S. Exc.! allés passer la fin de semaine cu Ne 8 h., Da + TR as-| vaste Là apr d pare ce d'a- 
i se tême le triés Mie £ L Vage & onteix, dimanche der- pe ta xrÿ tel Erreur e Huross pnyxie, Disn que toutes 1€s por-|miIs qui remplissaien eglise 
Prince-Albert, Sask. - Téléphone 4202 , M Paul à ndeau porta la»; : 2 t baptis se Rp v+ pi be Mer À. Deco LA chez lsurs parents, à Pon:eix. tes de son ps. fussent ouver- | Les Sorieurs furent: MM. An- 
ba nière dé Ar ine., Mmes A . y 218 A0 pr M. Denis Denniel est en v Ÿ ec pr EP de RAA VOS tes, JUS le monr rt 98 Le PE M V7 se bhes 5 A Per. 
. Douc: Josep \ 4 sollier de, 5 Li chez $a soeur, Mme Coranthin >engougn, & nus re x { médecin, qui fut mandé immé-!ras, MM. Mitchell, Spalding et 
Pha posa Duncan € Bi o 4 eorges -lK pe nn: nt 7 Kervish. de Ponteix site à leurs parents et amis, der- Marcelin diatement, le fit conduire sans | Roy. M. Ernest Perras portait la 
s venue Centrale gi 1b: C I : i , AC et Mme Michael tieisler: ont ni rermeus, ; % tarder à l'hôpital d'Edmonton. | croix, et M. Alex. Perras condui- 
INCE-ALBERT. SASK Aer célébré leur 25ème annive M. et Mme À. Martin sont allés Là, rizn ne fut épargné pour le | sait le deuil. Quelques neveux 
{PT IONE par: Be: mdr y Bonspiel de mariage, jeudi dernier à Weybarn. dimanche dernier, Aime J. R. Bell est décédée Je lanimer; six médecins Le traité- du défunt servaient la mess 
, ù pho . Rompri \ FH PA Cu Die dx | Vi: M. et Mme Emile Rodri- ATARARS iris à l'âge de rent. Cependant, le samedi 6 fé-! L'inhymation se fit dans le ci 
b poterie. etc cue La quête du service fut Le club de cu des dames rendu tai M pr gue 90 ans T'entsemmant eut lieu à vrier, vers 6 h. du matin, il ren-| metière local, pres du père du 
Téléphone: 2155 aite pa Mmes A. Doucet et J sous la présidenc Mme télicitations L eur M. Albert Lemieux est allé ré- Prince Aibart le mardi suivant dit son âme à Dieu. défunt. 
N Re FA ‘ bonspiel M. Albert St-Jean est allé en | <°Mment conduire sa mère, Mme L s : TR Ur Le défunt laisse dans 12 deuil! Remerciements 
‘ cast he à FA CN M. onstas équipes | promenade à Ponteix. la semai- ire Lemieux, chez sa fille, Ça et la sa mére, Mme John Perras (née, La famille Perras offre ses r« 
H r C x de deui Louis, Hoey, | re dernière : Mme Bernard Bourgeois, de Gra- M. et Mme Paul Phil Angéle Bellemare), 10 frères et| merciements à M. le curé, aux 
2. outu, C.R. dure SE Domrémy ; M Violette F . | velbourg. Elle y demeurera pen-!}, eh: s0me. € A0 ilibert et 3 soeurs: Frank, de Valrita, Ont.,| Rév. Soeurs Grises de la Croix 
e, 1 ‘ Ars aa à dant quelques semaines. leurs eg +. Marcel et Denis, | Al Ernest, Victor, Bernadet-| aux membres du choeur de chant 
AVOCAT NOTAIRE Félicien, et soi d tournoi, l'équipe LE : vift Malad era à Saskatoon, le diman-\£e (Mme Mitchell}, Nathalie! et à tous csux qui lui ont témoi- 
Suite 5. editice Impes eg en “He mpstad a rem- jeudi dernie: ok UE 5m et Mme How rd Ste a w (Mme Roy), de Spirit River, Al-|gné de la sympathie, soit par of- 
editice Imperial Bank rien Langlois J 1 Furent à l'hôpital du 6 au 13 + Mme Howard Stensrud, €t 4!{3 Antonio, de Donnelly, Alta, | frandes de messes et de prières, 
PRINCE-ALBERT. SASÉ _ Mme Leblanc (née Joséphin: Statistiques Mmes Alcide Grégoire, Bee Aenions LARrpuR, de Cal-! Ajphonse, de Grande Prairie,| soit par bouquets spirituels ou 
__ | Langlois) naquit le 30 avril 1899 a: DRE 1 là pou inen, Gail Bérard et Lilliane | 8aTY, qui ÿ était en visité. Alta, Louis, de Régina, Sask, tributs floraux 
dise je à ñ Catherine, comté de Stan pour 1 évé gs ts [me fille), MM. Emile! Mme Adélard Marion est allee | mem nes 
gences J,-A, Fournier PQ 2ème prix, un service à gâteau fovers et 450 ârnes ouquet, Jack Foley, Louis Cam- | 4 St-Boniface, voir son pér lan- 
€ laisse daps le deuil. outre |" A "sème tournoi Mme Fio-| #istré, au cours de pagne et Harry Crawford, Mme | gereusement malade. 
AE x De, Aobiauee ot) Au Jme fourtel Bns Pis SubS en ee ere Dénee 2 Life | Le lundi après-midi 8 février, | Cd, me “Ever-Charge” 
. Ga de | eurent des boites à pou fe 12.000 com i Woodv, et le bébé Marit, de Fife | un incendie a détruit la demeure oulourd'hui! 
H dr es ayant rem té la e-LDanmie ÿ mala k 4 > M. et 1 e W. Craig. / - 
PE mat te ges Romuald | ire conte Pénuire er Hign|liés et 2990 traités au A ae vanne de dau en ue CAE dau | CHARGE VOTRE BATTERIE EN 10 MINUTES 
i o ar Napoleon Las . 1 n uItie 4: NOPiIlgaii 2 Lau- rs QU oi 
clephone 3697 v School, sous la di rection de En de re: ‘couvent: 15 pe rent O’Reilly. Mlle ji han Mme Craig était seule à la mai- Lo garde à pleine charge automatiquement, 


| son. Elle a subi des brülures à la 


Antoinette: ses : 184 élèves exter 
s elles-ci reçu-! 189 eieves externes Gaucher, Mme René Fhilippon et | 


Employez démorreur, lumières, radio, sans inquiétude 


PRINCE-ALBERT. Sask 


nt s Vouite à 1] 3 next : M4 | figure, aux mains et aux bras et : - 
Diamants et bagues Blue R : ) A ? FRE " Malades Kids F +4 Mile Marguerite Piché, 15 étre hospitalisée. Les flam- Double la vie et la force des batteries neuves et usagées pour 
Dose corps Re. Rite Piusieurs x 10!, léquipe de Liste des malades hospitalisés à  t°us de Willow-Bunch, à nl St vuset automobiles, camions, tracteurs, plans électriques 
perte de montres Le sal Mme nger eut comn ui T - " « NS à mes se répandirent si rapidement 
Gravures gratuites - Emetieurs Le gg red as pe En es Notre-Dame du 7 au 14 Mme Patricia Piché est reve-|que les gens qui accoururent DETAIL: $1,50 — SPECIAL avec ce coupen: $1.00 
permis de mariage r7rr ei um CM À jan 1 de ù nue de l'hôpital de Gravelbour£.! bour porter secours, ne purent SATISFACTION GARANTIE ou ARGENT REMIS 
BLIOUTERIE ailles. versaire | eGrath, des) Val Marie: Charles Cyr, Mme Son état de santé est satisfaisant. | faire grand-chose. S:ule la ma- “ ; “ 
S1nou 1. v° , Dose + pra » va We vrs Le "a gta SN Gladys Walker, Joseph Bellefeuil- Mme Napoléon Durand est re-| chine à coudre fut sauvé», Ce Inclus $ Env. ou prix spécial. 
Le Ma diamants || Leblanc, beeu-frère de Mr “ga ER DU , 1e Laura Nadeau, Hildegarde Le-| venue dernièrement de l'hôpital | même après-midi, une souscrip- 
Le a roues Des on blanc, de Régina et M : dec + ÿ ne NF, HAÇORE _de Fer- ICK , | de Régina. Son état de santé de-|tion a été lancée, et 1: mercredi NOM sat sterser .…. ADRESSE 
1-B GAUDET, prop Emile Fournier, sa belle-soeur, de | chez leur na D. et Mine F6! Willem Biere Hit Mhndons TRES | suivant, il y eut une soiré:, dont 
. Prince he 5 fige Fe el: > NUS e llia vhnstone onne chance à tous ces mala- les profits allérent à La famille E. & À. DISTRIBUTORS — 24 i Ù e 
— — | Prince-Albert ilix Branger, dernièrement. li Orkney: Arthur rl 4 | des. Ts | 5 UTORs 2458 Atkinson 51, Régine, SASK, 


Winnipeg, le 19 février 1954 


L4 LIBERTE ET 


LE PATRIOTE 


PAGE ONZE 


Mile Louise Roy donne ra un concert 
en la cathédrale de Prince-Albert 


PRINCE-ALBENT 
19 février, 
Princes 


Aujour- 
la cathédrale 
Mile Louise 
ginaire de St-Bo- 


t d'une mn- 


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Soiree sociale 
Le , dimanche 
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prenaient part 
oin. en l'absence de M 
fut en rge de la 
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2ème, M.| 


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vants: ler pr 


Leroy, 


ler prix des da-! 
Cau- 


Amande 


A 


Rosé 
Mme 


St-Brieux 


Mariage 
28 janvier, deux de nos 
M. Steve Varga, no- 
tre radioæmeécano surveillant | 
des lignes téléphoniques, et Mile 
PhyllisCélestine Bédard, fille de 
M. et Mme Wiiliam Bédard, re- 
cevalient la bénédiction nuptial 


Le 
jeunes ge ns 


et 


dans notre église magnifique- 
ment décorée. Le nouvel époux 
avait pour temoin son pére, 
\ Steve Varga, et la ma- 
rite, vêtue d'une toilette à la 


fois modeste et de fort bon goût, 
s'avança à l'autel au bras de son 


pére 
Les garçons d'honneur étaient 


MM. M. Bédard, frère de la ma- 
rie Lucien Briens et Roger 
Rohel; les demoiselles d'honnesr 


furent Miks Hélène et Fay Bé- 
dard, soeurs de la nouvelle épou- 
se, et Mile Vera Varga, soeur du 
marié. 

La cérémonie religieuse termi- | 
née, un magnifique repas fut 
srvi dans la salle paroissiale, à 
plus de 150 invites 

Le nouveau couple 
sur la ferme paternelle 


habitera | 


Baptèmes 

Marie-Anne-Rose, enfant de 
M. et Mme Antoine Biandin, née 
Schmitz. Parrain et marraine, | 
M. Lucien Leray et Mlle Alice 
Blandin. 

Philippe-LouisJoseph, enfant 
de M. et Mme Louis Rocher, née 
Coquet. Parrain et marraine, M. 
et Mme Donatien Coquet 

Denis-François-Joseph, enfant 
de M. et Mme Paul Coquet, née 
Mahussier. Parrain et marraine, 
M. et Mme François Bourgault, | 
fils | 

Cécile-Marie, enfant de M. et | 
Mme Emile Creurer, née Fau.| 
Parrain et marraine, M. Arthur | 
Creurer et Mille Lucienne Fau, 

Maxime-Marie, enfant de M. 
et Mme Louis Boulanger, née Le 
Gatt, de Pathlow, Parrain et 
marraine, M. et Mme Joseph Le 
Gatt, 


Nos malades 

Mme François Thébaud a eu 
le malheur de se fracturer une 
jambe et elle devra faire un as- 
sez long stage à l'hôpital. 

Mme M. Rouault est aussi sous 
traitements à l'hôpital de Mel- 
fort, ainsi que Mme Daubenfeld. | 
Nous leur souhaitons un prompt | 
rétablissement. 


Le berne des profits 


sur tout le grain livre aux Elévateurs du POOL en 


1952-53 est maintenant 


$2,000,000 


payes oux membres 
ARGENT COMPTANT 
UN CENT LE MINOT 


$4,000,000 


crédites œux comptes 
des membres 


DEUX CENTS LE MINOT 


Us ra li 
La coopéralion est avantageuse 


SASKATCHEWAN 


HEAD OFFICE 


| plus jeune fille, Antoinette, Mme 
| Alfred Charles, 


| M. 


| Mme André Baudu. 


| Georgette Jacques, sont heureux 


‘en bonne voie de rétablissement. 


sous la direction de 
les gagnants fu 
Stockli et Aimé 

ernadette Di- 
et Aristide 
Mme Henri Sar- 
victoricuse au Jeu 
organisé par 
M. et Mme Ernest Bourgeauit. 

Le goûter fut servi par MM.! 
et Mmes Donald Régnier et Léo- 
nard Lemieux et M. Jean Détil- 
lieux 


Au bingo, 
M. M. Gaudet 
rent MM 
Brossard 
nelli, A 
Guiliet (2 fois) 
razin fut 
Chaise musicale 


t Marc 
Mrne 


n doi 
Sst-Amant 


apprend que 
Mme L.-G. Carrier, 
‘hôpital Ste-Famille, 
sensiblement 


On 


anté de 
pitalisée à 
s'améliore 


Dumas 
Noces d'or 
M. et Mme Camille H. Garié- 
py visitèrent leurs fils et belle- 
fille, M. et Mme Eamond Garie- 
py, gérant de la J. C. Case Ma- 
chine Co., à Maxville. Ils se ren- 
dirent ensuite chez leurs fille | 
et gendre, M. et Mme A.-J. Abra- 
ham, de 667, rue Elm, à Winni- 
peg, et y célébrèrent leur 50: 
anniversaire de mariage 


ST-HUBERT L'assemblée! 
annuelle de la Caisse Popuiaire 
de St-Hubert eut lieu le vendre-| 
di 12 février, à 1 h. pm. Trente- 


M. et Mme Camille-H. C-rié-! six membres et un visiteur 
py #e mariérent le 18 janvier | étaient présents 
1 F : san-Bantiste 
1904, à St-Jean Baptist , Man. La séance fut présidée par M.| 
où M, Gariépy opéra une bouti-|G Decelle et le secrétaire, M | 
que de forge pendant 6 ans. Ils\E Henschel, lut les minutes de 
deménagérent à Dumas avec|], séunion annuelle précédente. 


leurs deux enfants, Edmond et 
Alma, au printemps de 1916, et 
M. Gariépy y exerça son métier 
jusqu'en 1932, C'est alors qu'ils 
allèrent rester sur Jle.r ferme 
non loin du village de Dum. 4, où 
ils resident actuellement. Leur | 


M. O. Praud proposa et M. W.]| 
Blackstock s-conda l'adoption! 
des minutes. M. Raymond Mullie | 
donna le rapport des directeurs, 
adopté par M. O. Brule et secon-| 
dé par M. L. Beaujot. Le rapport | 
financier fut lu par le trésorier, | 
M. E. Henschel, ct démontra que | 
les recettes nour l’année se che | 
frent à $46,534.69. Les prêts de | 
la Caisse Populaire au cours des| 


demeure avec 
eux. M. Gariépy vendit une por- 
tion de sa ferme (320 acres) et! 


rer re mp pr _ pere 3 10 ans de son existence sont d'un | 
Alfred e harles. Les pr total de $219,024.57. Ce rapport | 
laires jouissent d'une excell.te | ji fut adopté sur la propositio® | 
re de M. O. Rrulé, secondé par| 

Assemblée M. L. Beaujot. Le rapport fi- 


7. | rancier fut lu par le trésorier 
La première asszmblée de la | # oi. | 
Ligue des Femmes Catholiques total de $219,024.57. L'adoption 
ET J p “bn | de ce rapport fut proposée par 

a eu lieu chez Mme Jean Charles À 
la seconde chez Mme Alex. Bou, | M: Paul Jordens et secondée par | 
let le 13 janvier, et la troisième ER À Mers À A FAPPOR + 
chez Mme Adoiphe Charies, le! 9 pred Flick. MM. O. Brulé et | 
10 février. Un bon nombre de Rémi Praud Droposérent et se- 
membres y assistaient, ainsi que | condérent pre Es ion sad 
l'abbé D, Dorion qui nous fit P pi | 
Le rapport du comité de sur-| 


une intéressante causerie et nous 


>rodigua de bons conseils. On Veillance fut donné par M. A.| 
remit également aux membres  Smects, adopte pr M. H. Flick | 
les insignes de la L.CF. et secondé par M. A. Beaujot. | 


Du tissu fut distribué à tous 
les membres présents qui en| 
feront des vêtements. L'on ven- 
dra ces derniers au profit de 
notre église. | 

Un délicieux goûter fut servi. | 


M. D. Smith, de Régina, ins- 
pecteur des Caisses Populaires 
pour la Saskatchewan, fit quel-| 
ques remarques sur le rapport 
annuel et donna plusieurs exem- 
ples des activites des Caisses 
Populaires dans la province. 


Les élections pour l'année 
1954 suivirent. Tous furent élus 
par acclamation: MM. ©. Praud 
et W. Blackstock, directeurs; 
MM. J. Dartige et R. Mullie, au| 
comité de surveillance, et M. A. 
Beaujot au comité de Crédit. 


Un goûter fut servi par ï) 
(l 


Baptème 
Marie-Diane-Valérie, enfant de 
M. et Mme Arthur Charles. Par-| 
rain et marraine, Lionel et Anita 
Larrivée, oncle et tante de l'en- 
fant. | 
Va-et-vient | 
M. et Mme Maurice Zebière et | 
leurs enfants rendirent visite à | 
leur père et grand-père malade | J 
à l'hôpital de Wawota, Son état | rent montrés, l'un sur les coopé- 
s'améliore. | ratives, en particulier la raffine- 

M. et Mme Emile Baudu et | -— ” 
Alice, de Kipling, rendirent vi- | 
site à M. et Mme R. Jacques et à 
leurs fils et belle-fille, M. et 


messieurs. Deux films nous fu- 


| Coderre 


Les enfants des classes primai- 
Naissance res et intermédiaires de l'école 
M. et Mme André Baudu, née | publique ont fêté la St-Valentin 
le jeudi après-midi 11 février. 
de faire part à leurs parents et| Leurs invites étaient les tout-pe- 
amis de la naissance d'un fils, | tits qui doivent commencer l'é- 
né le 13 février à l'hôpital de! cole au prochain terme, Le soir, 
Wawota. les élèves des grades supérieurs 
Nos malades eurent aussi leur fête et s'amu- 
M. Z. Rollin est à l'hôpital. |sèrent à différents jeux d'esprit. 
M. Alphonse Lamontagnc fit] La soirée se termina par un bon 
un court séjour à l'hôpital et est | 8oûter. Merci à leurs dévouées 
maîtresses pour l'organisation de 
{ces divertissements pour les éco- 
| liers de Coderre 
| Les dames de l'Autel tinrent 
ieur assemblée du mardi 9 février 
chez Mme Armand Gaucher: 10 
membres étaient présents, ainsi 
que M. le curé, On fit lecture des 
minutes de la dernière assemblée | 
et une discussion des problèmes | 
financiers suivit. Mme Gaucher | 
servit à ses invités un délicieux | 
goûter. | 
La prochaine partie de caries | 
aura lieu le dimanche 21 février. ! 
M. et Mme Albert Parent dd 
leur fils, Edouard, de Meyronne, 
étaient en visite chez Mme J.-B. | 
Gaucher, le mercredi 10 février. 
MM. Olivier et Willie Gaucher | 
étaient en voyage d'affaires à| 
Moose Jaw le 12 février, 


| 
Mme Lucien Peltier, souffrant | 
d'une mauvaise grippe, est hos-| 
pitalisée à Gravelbourg 
Mile Pauline Marcil, de Moose 
Jaw, était en visite chez des a-| 
mis, à Coderre 


eh 


distribué comme suit: 


MONTMARTRE — La 12ème 
assemblée annuelle de la Caisse 
Populaire de Montmartre se te- 
nait en la salle Beauchemin le 
mercredi 10 février, à 2 h. p.m. 
M. Hector Lavoie présidait l'as-| 
semblée et donna le rapport des 
directeurs, tandis que M. J. Jou- 
bert, secrétaire-trésorier, fit part 
du rapport financier. L'année 1953 
en fut encore une de succès pour 
notre Caisse, et espérons que rel- 
le-ci continuera à progresser com- 
me elle le fait depuis ses débuts 
en 1941. 

Les officie:s sortant de charge 


ei MM. Régis dy g Louis 
uan, ©. Robert et J.-C. Perron. 
3 CENTS Les ane mage à és un Ds 

de 3 sont les suivants: MM. 
LE MINOT Régis Ferraton et W. Fisher, au 


comité de direction: M. W. Latur- 
nus. au comité de surveillance, et 
M. O. Robert, au comité de crédit. 


Bonspiel 


Deux équipes de Montmartre 
prirent part au bonspiel du vil- 


lage voisin de Candia: ce sont 
WHEAT POOL | l'équipe de MM. A. Coclican, L.| 
| Fournier, H. Cho“whish et W, La-| 
© REGINA turnus et celle de MM. Paul, G.| 


Lerminiaux, M. Lavoie et J.| 
Luster. L'équipe de M. Coolican | 
remporta les premiers prix, \ 


de St-Hubert se chiffrent à $46,534 


| de 


Election des officiers de la 
Caisse Populaire à Montmartre 


À Huit de ces Super Constellations géants pesant chacun 66 tonnes seront eh service sur les 
| lignes aériennes d'Air Canada à compter du 3 mars. Ces appareils, d'une valeur de $3,000,000 chacun, | 
sont activés par des moteurs turbopropulseurs et peuvent survoler une distance de 4,000 milles sans 
|arrèt. Les Super Constellations en usage au pays pourront accommoder 94 passagers tandis que ceux 
qui seront affectés aux envolées transatlantiques n'en transporteront que 63. (CPC) 


Les recettes de la Caisse Populaire 


rie d'hui’e de Regina, et l'autre | 


sur l'établissement des Caisses | 
Populaires dans les provinces 
maritimes 

Les Rév. Soeurs de l'Haspice 
Jeanne d'Arc avaient eu l'ama-| 
bilité de nous prêter leur projec- | 


tur pour l'ocasion et M. E.| 
Gatin en était l'opérateur 

Dames de l'Autel | 

La réunion des Dames ce| 

l'Autel eut lieu chez Mme F.| 


Beaujot, le mercredi 10 février, | 
avec 17 membres présents. Le 
rapport de la partie de cartes fut | 
donné et une autre partie de| 
cart:s fut proposée pour le 24 | 
mars. La prochaine réunion .ura 
li:u chez Mme Be!lehumeur, le 
10 mars, en vue de confectionner | 
un couvrepieds. Les membres | 
devront apporter des morceaux | 
d'étoffe. Le prix d'assistance, | 
donné par Mme E. Beaujot, fut! 
gagné par Mme R. Istace, | 
eut un goûter. | 
Va-et-vient | 
MM. Jean Boutin, Victor Gatin| 
et Georges Istace, de Régina, | 
étaient chez leurs parents en fin | 
semaine. 
Mlle A.-M. Istace, qui était à 
l'hôpital des Soeurs Grises ‘| 


Y 


Régina, est revenue chez ses 
parents en convalescence. | 


Mile Elise Mercereau, de Titanic, 
est décédée à l'âge de 22 ans 


TITANIC -— La mort a enlevé | 
à l'affection des siens Mlle Elise 
Mercereau, âgée de 22 ans et 7! 
mois, décédée après une assez | 
longue maladie à l'hôpital de| 
North Battleford. Elle rendit | 
son âme à Dieu le lundi 8 fé-| 
vrier. 

Le service funèbre fut chanté 
par M. l'abbé R. Jourdain, le 
jeudi 11 février, à 10 h. 30, 

Les porteurs étaient MM. Au- 
guste Mercereau, Armand Rio, 
Paul Fiolleau, Felix Arcand, Fe | 
saire Arcand et Percy Verreault, 
M. Raymond Piché portait la 
croix. 

La défunte laisse dans le deuil | 
son père, M. Arsène Mercereau, | 
sa mère (née Marie Fiolleau), 5 | 
frères, Emile, Edmond, Paul,| 
Claude et Gérard, 2 soeurs, Aga-| 
the et Suzanne, tous à la maison. | 


Sont venus assister aux funé- 


| railles: Mmes Léonard Doucette | 


et Allan Dumont, tante et cousi- 
ne de la défunte; MM. Cléme.t 
Mercereau et Jean Fiolieau, ses 
grands-oncles; Mme Marie Pogu, 
sa grand-tante, ainsi que M. J.-B, 


| Mauvieux et Mlle Reine Mau- 


vieux, tous de Duck Lake. 


Sintaluta 


M. et Mme Marcel Longeau et | 
leur mère, Mme Léopold Lon-| 
geau, de Lac Marguerite, sont! 
venus à Sintaluta, rendre visite 
à Mme Henri Oudot et aux fa- 
milles Noël Oudot et Marcel Fran- 
çais. 

Mme Henri Oudot et les fa- 
milles Noël et Robert Oudot et 
Tom Earnshaw sont allés au Lac| 


Marguerite, visiter MM. et Mmes} 
Marc Longeau et Charles Oudot. 


M. et Mme Marcel 
sont allés à Indian Head, visiter | 
Mme Napoléon Gendron. 

M. et Mme Stanley Zaba sont | 
allés à Régina, visiter leur mère, 
Mme Zaba, malade à l'hôpital 
des Soeurs Grises. 

MM. et Mmes Paul Français et | 
Jos. Stoppler sont allés à Régina | 
et ont visité l'oncle et la tante de; 
Mme Paul Français, M. et Mme) 
Stanley Miller 


Français | 


Malades | 
Furent hospitalisés en notre hô-| 
pital au cours de la semaine:| 
Mmes Paul Slymka, Dorothy | 
Schmidt, Peter Lesko et Elmer] 
Klassen, MM. Harold Anderson 
et Honoré Ferraton 
Naissances 


A M. et Mme Charles White, 
un fils | 
A M. et Mme M. Sebastian 

un fils 


A M et Mme Anton Baumgart- | 
ner, un fils 

Gouret 

Deux parties de gouret furent! 

jouées sur notre patinoire, samedi 


soir et dimanche après-midi. A 
la première entre Glenavon et 
les nôtres, ces derniers furent 


victorieux, mais la partie de di- 


manche, jouée entre Montmartre 
et la “Regina Balfour Tech 
Schoo!'"', donna la victoire à l'é- 
quipe de Régina 
L LL L 
Etaient en visite chez M. et 
Mme J. Joubert, M. et Mme L 


Noëls et leurs fils, de Wolseley 
Nos sincères sympathies à Mme 
John Perras, anciennement de 
Montmartre, à l'occasion de la 
mort de son fils, Ferdinand, vic 
time d'asphyxiation dans un ca- 
mion, ! 


| semaine 


|et marraine ses oncle et tante, 


| serie 


| d'autres, par 


| d'entrée 


| town 


: 


Meskanaw 


Naissance 
A M. et Mme Aibert Gudelot, 
une fille, née le 5 février à l'h6- 
pital de Kinistino. 


Malades 
Mme Alex. Dubois a passé deux 
à l'hôpital de Kinistino 
pour traitements médicaux 
Mme Rosalie Janex a passé une 


journée à l'hôpital de Kinistino 
Ça et là 

Nous apprenons que M. et Mme 

Henri Beaudet ont acquis une 


propriété à un mille au nord de 
Crystal Spring. Ils ont l'intention 
de déménager au printemps dans 
leur nouvelle demeure 

M. et Mme T, Carrière, de Prin- 

ce-Albert, étaient en visite chez 
leur tante, Mme Justine Descham- 
bault, et chez plusieurs autres 
parents dans les alentours, ré- 
cemment. 
M. Louis Beaudet est revenu, 
4 février, de Saskatoon où il 
à passé une semaine avec sa fille 
et son gendre, M. et Mme J. Fra- 
ser 

M. Elie Rouault alla visiter sa 
mère qui était hospitalisée à Mel- 
fort, le 3 février, 

MM. et Mmes Jos, et Henri 
Janex ont fait un voyage en auto 
à Prud'homme, le dimanche 7 
février. 

Mlle Madeleine Rouault était 
en visite chez ses parents, récem- 
ment. 


le 


Remerciements 

La famille Mercereau désire 
remercier tous ceux qui lui ont 
témoigné de la sympathie, soit 
par visites et prières, soit par 
assistance aux funérailles. 

Naissance 

M. et Mme Paul Mariani sont 
les heureux parents d'une fille 
née le 17 janvier à l'hôpital de 
Rosthern. Elle reçut les noms 
d'Anne-Marie et eut pour parrain | 


M. Joseph Mariani, de Duck 
Lake, et Mlle Marie Vien, de! 
Vancouver, 


Redvers 


Partie de cartes 

Le dimanche 7 février eut lieu, | 
en la salle de l’église, une partie 
de cartes organisée par le groupe | 
no 2. Les gagnants au whist fu- 
rent comme suit: prix des qua-| 
tre mains, Mmes Louis Claude et 
Paul Freçon, M. André Bauche, | 
de Bellegarde, et M. Paul Syl-| 
vestre, de Wauchope: prix de la| 
de 16 mains, Mlle Ruby 


Gohel. 

Au bingo, deux prix furent ga- 
gnés par Mme Paul Freçon et 
Mlle M. Robertson, 
Darby, Mlle Lorraine! 
Matheson, Mille Mariette Dumai- 
ne, de Storthoaks, M. l'abbé A. 
Vardendriessche, Mile J. Freçon, 
Mile Anita Buissé, Mme A. Pe- 
ters et Mme L. Marchand. 

Le grand tirage de $25.00 fut 
réparti comme suit: $10.00, à M. 
P. George, de Bellegarde: $10.00, 
à M. j'abbé A. Vandendriessche 
et $5.00, à M. André Paulhus, de 
Bellegarde, Les numéros chan- 


Mme cC. 


|ceux furent gagnés par Mme C.| ; 
| naire, 


Darby et M. Fabien Cook. Le prix 
échoua à M. Paul Fre- 


| çon et une rafle de $5.00 favori- 


sa M. Fabien Cook. | 

Les recettes de cette soirée fu- 
rent de $522.00, La prochaine soi- | 
rée aura lieu le 7 mars et tous y | 


, sont les bienvenus. | 


Çà et là | 
M. le Dr et Mme L. Morin ont 
passé quelques jours à Winnipeg. 
M. Etienne Paulhus est parti à | 
Weyburn où il a accepté un em-| 
ploi | 
Notre vicaire, M. l'abbé A. Van- | 
dendriessche, a passé quelques 
jours à Weyburn et Régina 
M. Raoul Sylvestre est allé à 
Régina pour quelques jours. 
M. et Mme Aimé Lamothe ont | 
passé une semaine à Régina, | 
M. et Mme Maurice Lamothe | 
sont allés à Hartney, Man, pour | 
quelques jours | 
Etaient de passage au presby- 
tère, ces jours derniers: MM. les 
abbés A. Turgeon, de Wauchope, | 
et C. Gibney, de Storthoaks 
Naissances 
A M. et Mme Jos. Lajeunesse, 
une fille, née le 24 janvier et bap- 
tisée sous les noms de Rachelle- | 
Lydia, Parrain et marraine, M 
et Mme Raoul Béchard, de Rase- 
tante de l'enfant. | 


Î 


1 


oncie et 
A M. et Mme André Delmaire, 
de Wauchope, un garçon et deux | 
filles jumeaux, nés le 5 février 
à l'hôpital de Redvers 
A M. et Mme Aibert Luyten,! 
4 


Soiree paroissiale 
Le dimanche 7 février une soi- 
ree, agréementée d'une partie de 
cartes, de bingo, rafles, enché- 
res, eîc., eut lieu 


au profit de la construction de 


notre église. Les recettes furent | 


de 5650.00. Félicitations. 

Depuis le ler février, les pa- 
roïssiens viennent à tour de 
rôle (une quinzaine chaque jour) 
pour travailler à l'intérieur de 
l'église; aussi, les travaux avan- 
cent-ils rapidement 

Naissances 

Le 15 janvier: à M. et Mme 
Georges Blaïn, une fille, Jeanne- 
Louise-Marie, baptisée le 24. 
Parrain et marraine, M. et Mme 
Pierre Blain, grands-parents de 
l'enfant 


Le 17 janvier: à M. et Mme | 


Daniel Paquette, une fille, Lynn- 
Donna-Marie, baptisée le 31. 
Parrain et marraine, M. et Mme 
Laurent Bujold, de Cold-Lake, 
Alta, oncle et tante de l'enfant 


Va-et-vient 

M. Athanase Lajeunesse est de 
retour d'un voyage de deux mois 
à Port-Alberni, Vancouver, Vic- 
toria, etc 

M. et Mme Eugène Labrecque, 
de Rosetown, étaient en visite 
les premiers jours de février, 
chez Mme Léontine Labrecque 
et autres parents et amis 

En visite chez M. et Mme 
Louis Laitre, le 7 février: MM. 
et Mmes Oscar Henri et Philias 
Boucher, Mmes Arthur Gerard et 
Jos. Poilièvre, de Laventure et 
Léoville. 

M. et Mme Lionel Courchesne 
et leur fils sont partis en voyage 
à Vancouver. 

Nos malades 

Mme Omer Lajeunesse est ren- 
trée dans sa famille, après un sé- 
jour de 2 semaines à l'hôpital de 
Prince-Albert 

M. Ovide Lajeunesse est hos- 
pitalisé à Prince-Albert 

Voeux de complet rétablisse- 
ment à tous, 


Saint-Isidore de 
Bellevue 


Ça et là 
M. Wilfrid Gareau est 
d'un voyage à Debden où il a vi- 
sité sa fille et son gendre, M. et 
Mme Philippe Pouliot. 
M. et Mme Jean Gaudet et M. 
Pierre-Albert Gaudet sont partis 


|en voyage dans le Québec et les 
| Etats-Unis. 


Mlle Rose-Anne Topping, fille 
de M. et Mme Emile Topping, 


nous a quittés, la semaine der-| 


nière, pour entrer au noviciat des 


Soeurs Grises, à St-Boniface, Man. | 


Baptèmes 
Le 27 décembre: Joseph-Jean- 
Léo, fils de M. et Mme Jean-Ca- 


sous les aus-| 
pices des dames de la paroisse et | 


revenu | 


Chroniqueur: 


Messe à 5 h. 


p.m. 

Le 5 février, premier vendred 
du mois, exposition du T. S$. Sa 
[crement pendant toute la jour 
née; à 3 h. 30, bénédiction, A 
5 h. de l'après-midi, S. Exc. Mg 
| Aimé Decosse disait pour la pre 
mière fois la messe au collège 
Au collège, sur semaine, mess 
dans l'après-midi! chose tout à 
fait nouvelle pour nous 
son de cette innovation, 
donner aux externe 


de faire plus facilement 


mier vendredi, Il en se 
parait-il, a avenir, tous les pre 
miers vendredis du mois. Du 
| rant la messe, la chorale fit en- 
tendre ses plus beaux cantique 
Après le souper, S. Exec. M£g 

notre évêque se rendit au gym 
nase où iln a parole 
C'était la pr que nou 
avions le p idre no 
tre b pariar 
dans l'initimité aux élèves. Il nou 
donna des conseils paternels sui 
la nécessité des convictions soli 
des: sur le devoir que nous avons 
de nous préparer à devenir de 
bons chrétiens et des apôtres p 


mond 


tard dar 

Au nom de tous les Î 
je prie Son Excellence d'agrezr 
notre témoignage de vive grat 
tude. Puissions-nous jouir sou 
vent de sa présence au milieu de 
nous 


otre 


Renaud PREFONTAINE, 
Arts II] 


Sports 


dé 


Le 4 février, 
ballon-panier 


joueurs 
rendaient à As 
siniboia pour leur première jou 
te de l'année ‘54. Au début, la 
partie fut chaudement disputée, 
mais nos étoiles prirent bientôt 
| le dessus et remportèrent une 
brillante victoire de 83 à 43 

Félicitations aux gens d'Assi 
niboia pour leur bon esprit, 

L L 


nos 


se 


Un beau voyage 


l 


Pour des collégiens, une excur 
sion en auto, à une distance de 
200 milles, en hiver, voilà qui 
sort de l'ordinaire! 

La semaine dernière, la troupe 
| des acteurs de la comédie “Ma 
| femme tient le volant” et le club 
{des Alouettes quittaient Grave] 


mille Gaudet. Parrain et marrai- |- 


ne, M. et Mme Jean Gaudet 
Le 8 janvier: Joseph-Julien, 


fils de M. et Mme Maurice Pelle- | 


tier. Parrain et marraine, M. et 
Mme Joseph Doucette. 

Le 10 janvier: Vivianne-Marie- 
Josette, fille de M. et Mme Con- 
rad Gareau. Parrain et marraine, 


| M. et Mme Gilbert Gareau. 


Le 14 janvier: Alice-Florence- 
Marie, fille de M. et Mme Ernest 


Jobin. Parrain et marraine, M, 
et Mme Herbert Bruch. 

Le 16 janvier: Colette-Marie, 
fille de M. et Mme Félix Pelle- | 
tier. Parrain et marraine, M. et | 
Mme Jean-Marc Gaudet. 

Le 16 janvier: Jeannette-Marie, | 
fille de M. et Mme Félix Pelle- 
Îtier. Parrain et marraine, M. et 


Mme Constant Brülé, 
Le 17 janvier: Marie-Adrienne- 


Hilda, fille de M. et Mme Pierre | 


Gareau., Parrain et marraine, M, 
et Mme Adrien Hamel. 
Décès 
La petite Della Gaudet, fille 
de M. et Mme Jacques Gaudet, 
est décédée le lundi 28 décembre 
à l'âge de 3 ans. 


Viscount | 


Ça et là 
Le dimanche 7 février, avait 
lieu en l'église St-Alphonse l'as- 


| semblée annuelle de la paroisse. 
M. Peter Reiber, jr, fut nom- | 


mé marguillier en remplacement 
de M. Raoul Clavelle, démission- 


Nos malades 
Mmes Ben Kusikoski et Clif- 
ford Marcoux sont revenues dans 
leurs familles après avoir été 


hospitalisées durant plusieurs se-| 


maines à l'hôpital St-Paul de 
Saskatoon. Leur condition est sa- 
tisfaisante. 

Le mardi 2 février, M. et Mme 
A. Ciavelle recevaient la nou- 
velle que leur fils Henry, de 
Winnipeg avait été transporte 
à l'hôpital Miséricorde de Win- 
nipeg, gravement malade. 

Décès 

Le mercredi 10 février, M. et 
Mme Ed. Comeault se rendaient 
à St-Jean-Baptiste, Man., où ils 
assistérent aux funérailles de 
l:ur beau-frère, M. F. Jubinville, 
décédée le 8 février et dont les 
funérailles eurent lieu le 11 sui- 
vant 


L L1 L2 
Récemment avait li en la 
salle EIK une soirée de whist 


au profit des Scouts. 


Une tribu indienne 
entre dans l'Eglise 


MADRAS Tous les membres 
de la tribu sud-indienne des Kanis 
se sont récemment convertis à la 
foi catholique ; 

Les Kanis vivent dans les mon- 
tagnes et ont été évangélisés au 
prix de difficultés 


res du T, S. Coeur de Jésus. 


En cette Année moriale , , . 


Jeunes gens qui désirez vous dévouer au service de 


MARIE IMMACULÉE 


Enrôlez-vous dans la Congrégation des 


FILS DE MARIE IMMACULÉE 


Oeuvres: Petits séminaires 


Pour 


tout 
Réverend Pere 


renseignement, 


- Missions - Prédication. 
s'adresser 
Superieur 


ou; 


des Fils de Marie Immoculée 


ST-HUBERT, SASK. 


; énormes par | 
la Congrégation indienne des Fre- 


:_ Saint-Front 


Va-et-vient 

MM. Emile et Gérard Boire et 
|leur soeur, Mme W.-H. Fortin, 

sont allés à Saskatoon, chez leurs 

parents, 

| MM. Léo Senez et Charles 
| Beaudry, de Bellsite, Man., sont 
venus voir leurs familles et amis 
dans la paroisse, 

Mmes Arthur Lamoureux et 
Albert Caillier sont allées à Ré- 
gina, la première pour voir son 
| mari, à l'hôpital des Soeurs Gri- 
ses, et la dernière pour chercher 
| sa fillette, Anita, qui a subi un 

opération. 

Mme Orance Plamondon et sa 
| fillette, Murielle, de Flin Flon, 
Man., sont venues faire une vi- 
site à leur parenté, ici. 

MM. André Le Strat, Laurent 
Plamondon et Philippe Proulx 
sont allés à Yorkton, pour affai- 
res. 


Le R. P. C. Lesage, P.S.M., en| 


compagnie de M. A. Messier, est 
| allé rendre visite au curé de 
| Tisdale. 


| M. Roger Quessy est allé pour 
quelques semaines à Val Marie, 
Sask., chez son cousin, M. Ar- 
mand Quessy, 


Chronique du 


Collège de Gravelbourg 


Saskatchewan 


Directeur: André Gervais 
Rédacteurs: André Blondeau - Lucien Bose 


Paul Juneau 


ua | V1 \ 1 rt 
ngnant < NS 
end | Let 
Leb et! Ç i et 
d'étonnem C'est fond 
de la vallée de la Qu'Appelle, sur 
les bords d'un bea grand lac, 
se paro 
: ’ co 
t LH vtte 
)! a piu 
n ég de Gra 
u ilsi ou des 
pains d'autre s de encon 
t 1 deux, trois quat: 
ins de séparatio Poignées de 
na à t pl éclats de 
ire, histoire ou ve Une 
couple de jou ne seront pas de 
trop po échange les impres 
ton 
æ din | ] qu 
égier escalada 1 côt 
haute de 300 pied t en a! 
Ù isticat, pour la re 
È re, dat e temps de le 
dit € toboggan, pendant que 
les autre faisaient, en sKi tou 
t wtes de pirouett Dans l'a- 
prés-mid es Alouette mesi 
raient, dans une partie de gou- 
"et, avec les élèves de l'école in- 
dienre, Les champions du coilé- 
ge laissèrent les honneurs de ja 
victoire à leurs jeunes adversai- 
res, Le soir, tous les pères et sco- 
lastiques assistaient à une repré- 
entation de la comédie donnée 
par nos artistes dans l'auditorium 
du scolasticat, Le lendemain ma- 
lin, autre joute de gouret. Cette 
fois, entre les Alouettes actuels 
et les anciens Alouette: au- 
jourd'hui scolastiques Les an 


ciens montrérent qu'ils n'avaient 
jeunes durent 


| pas désappris 
bai pavi 


les 


set ion 


Un beau voyage dont ouve- 
nir vivra longtemps dans la mé- 
moire de ceux que le sort à fa- 
vorises! 

La troupe des acteurs et l'équi 
pe des Alouettes adressent leurs 
plus sincères remerciements à 
tous ceux qui ont contribué à 
son organisation et à sa réalisa- 


tion. Un merci tout spécial à tous 
ceux qui les ont si bien reçus, 
soit à Régina, soit à Lebret. 
G. DORIACÇ 
LA LI D 
Académie française 
Le 3 février, première séance 


de l’année ‘54, Les élèves qui bril- 


|lèrent par leurs talents oratoires 
sont les suivants: Rhéal Préfon- 
taine, Renaud Préfontaine, M, 


Dupasauier, N, Ferré, Méritent 
nos félicitations comme déclama- 
teurs: A. Poulin, Roger Fournier, 
A. Bédard et F. Simonot, L'art 
de la critique fut très bien exercé 
par H. Douville, La rédaction du 
rapport était confiée à l'habile se- 
crétaire, Lucien Roy. Le R, P. Pa- 
ris, directeur, toujours à la hau- 
|teur de là situation, nous dit le 
{mot de la fin. 


| 
ou 


0 + 


Faits d'hiver 


Quarante sous zéro avec un 
vent de quinze milles à l'heure 
qui a bientôt fait de vous far- 
der les joues en rose, c'est amu- 
sant, Mais si le froid se méle de 
geler les conduites d'eau qui ser- 
vent à chauffer votre résidence, 
c'est différent, Essayez de dacty- 
lographier avec des mitaines: 
cherchez à creusér une thèse de 


métaphysique emmailloté dans un 
gros parka, et vous m'en donne- 
|rez des nouvelles, Interrogez à ce 
] résidants de la maison 


sujet les 
blanche. Ils préféreront peut-être 


vous parler de faits divers d'été 
plutôt que de simples faits... 
d'hiver 


Me" 
Levure Sèche rapide 


Maintenant que vous avez à 
votre disposition la Levure Sèche 
Fleischmann qui lève vite, vous 
n'avez plus à craindre les risques 
que présentait l'ancienne levure. 
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le mélange de lait 


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COUvrez € 
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du “Winnipeg Real Estate | 
Board'' depuis 1912, vient d'être | 
nommé membre honoraire de 

association en considera- 
de services rendus et com- 
me témoignage de l'estime de 
ses collègues 

Venu au Canada en 1902, il a 
coopéré durant un demi-siècle | 
au développement et au progrès | 
de nos villes et notre province 
et satisfait une nombreuse clien- 
tèle, particuliérement de langue 
française 


cette 


tion 


"Dieu ou Marx”, déclare 
S. Exc. Mgr P. F. Pocock 


Si je ne croyais en Dieu, je 
m'attacher au communisme”, a | 
déciaré lcrs d'un diner du club| 
Cosmopolitan S. Exc. Mgr Philip 


archevêque de Winni- 
affirmé devant | 


F, Pocock, 
peg. Le prélat a 
les membres réunis dans une sal- 
le de l'hôtel Marlborough que le 
communisme serait très logique si 
Dieu n'existait pas 

Appuyarnt sur la nécessité d'ins- 
taurer a rouveau la region dans 
la politique, l'économie et l'édu- 
cation, Son Excellence fit remar- | 
quer que l'attitud+ anticlérica- 
le continue au faire des progrès 
dans ces domaines, les masses se 
tourneront vers le communisme, 
advenant une dépression. En re- 
jetant Dieu en dehors de l'Etat, 
de l'éducation et de l'économie, 
de continuer le prélat, nous pri- 
vons le peuple de l'autorité dont 
il a besoin: et ce même peuple 
s'attachera au communisme qui, 
théoriquement, nie toute autorité 
supérieure et travaille à établir 
“un paradis sur terre” 

La principale erreur du marxis- 
me, de déclarer Mgr Pocock, c'est | 
sa prétention que l'homme peut 
vivre sans admettre la possibilité 
de l'autorité. Mais, dit-il, dans la| 
démocratie chrétienne comme! 
dans la monarchie chrétienne, , 
suprême doit reposer 
sur Dieu de qui découle toute au- 
torité, quelle qu'elle soit. | 


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AVIS À NOS ANNONCEURS 


A l'avenir, notre page des petites annonces 
sera fermée à midi, le mercredi. Nous prions done 


nos annonceurs de bion vouloir noter qu'il nous 
sera impossible dorénavant d'accepter des petites 
annonces aprés la limite de temps mentionnée, 
pour publication dans la même semaine. 


Winnipeg, le 19 février 1954 


TERMES DU PLAN BUDGÉTAIRE 


| douard et 
| Winnipeg: 4 frères, Albert, 


Societe St-Jean-Baptiste 


Dimanche prochain 21 fevrier 
marquera le début d'une nouvel- 
le année pour notre société na- 
tionale. Ce serait de bonne augu- 
re pour l'année si un grand nom- 
bre de nos membres etaient pré- 
sents à cette première réunion. 
H s'agit simplement d'un petit 
coup de coeur et ça y est. D'aïl- 


leurs, cette année notre société | l'Immaculée Conception” se con- 
aura beaucoup à faire en matière | tinue 
de coopération dans la prépara- Nous accepterons les autres 


tion du jubilé de la paroisse; il 
faudrait donc que tous y soient. 


En passant, quand vous vien- 


drez à la réunion de dimanche | lentours du Sanctuaire est de 
prochain, il ne faudrait pas ou-| $4.50 par jour avec lit double, 
blier que c'est au début de l'an-| et $5 00 par jour avec lits ju- 
née que se paient les cotisations. , MEaUX à 

| Le congrès durera 10 jours 


M. le trésorier s'attend à rece- 
voir de chacun de vous un petit 


billet vert tant 1! hoto de spéciale; celle du Manitoba est 
2 dE sn aura. 8 Sd a fixée au 12 août. S. Exc. Mgr P. 

ps Pocock, D. Th., -.chevéqu: de 
Au Club du Sacré-Coeur Winnipeg, officiera à la mess 


Records de la semaine: 


MME J, ROBERT 
Le dimanche 14 février, à l'à- 


ge de 73 ans, est décédée Mme | 


Joséphine Robert, à l'hôpital St- 
Boniface. Née à St-Norbert, Man, 
Mme Robert avait résidé à Au- 


bigny pendant 53 ans et demeu- | 


rait maintenant à 513, rue Home. 

Survivent à la défunte: 2 fils, 
Adélard et Odias, tous deux d’Au. 
bigny; 4 filles, Mmes A. Alarie, 
de Ste-Agathe, L. Champagne, de 
Winnipeg, E. Reimer, d'Empress, 
Alta, et G. Prénovault, de St-Bo- 
niface, ainsi que 3 frères et une 
soeur, 

Le service funèbre de Mme Ro- 
bert fut chanté en l’église du Sa- 


Au Sacré=-Coeur 


Ligue de 10 quilles rice Baudoux, archevéque-coad- 
Equipe G. P.|  juteur de St-Boniface, fera le 
Bijouterie Bourbonnais 2 1! scx.son de circonstance 
| Guertin Frères 2 1 Afin de pouvoir retenir un 
Canadian Publishers 1 2 certain nombre de chambr- 
Western Paint 1 2 nous aimerions savoir dès que 


|H 1 P —— Léo Durand 205 qui se proposent de prendre part 
H 3 P -— Edmond Pazdor 549! à ce pélerinage 

H 1 P — Guertin Frères 715 Pour plus de détails, veuillez 
H 3 P — Guertin Frères 1965 svp. vous adresser à Mmes Q 
—— Roy, hôtel Roblin, tél.: 92 1587; 

à | Henri Gauthier, 591, rue Sher- 

A burn, tél: 723441 ou A. Cari- 
Décès gnan, 580, ave Elgin, tél.:! 

| 74 8549. 


S. M. Georges VI et marqué aux 
quatre coins du chiffre 1. 
C'est entendu, n'est-ce pas? 


Dames de Ste-Anne 


L'organisation du pélerinage 
au sanctuaire de Notre Jame du 
Cap, à l'occasion du Congrès 
Marial, pour célébrer le centie- 
me anniversaire du ‘’Dogme de 


nationalités qui voudront s'unir 
à nous pour ce pieux voyage. 
Le prix des chambres aux a- 


chaque province aura sa journée 


pontificale, et S. Exc. Mgr Mau- 


possible le nombre de »ersonnes 


Chevaliers 
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(ACHAT MINIMUM, 15.00) 
Durant le mois de février jusqu'au ler mars indusivement 


© 10 mois accordés pour payer 
les achats de moins de 75.00 


© 18 mois pour les achats de 
75.00 et de moins de 200.00 


© 24 mois pour les achats de 
200.00 et de moins de 400.00 


© Jusqu'à 36 mois pour les achats 
de 400.00 et plus. 


Frois de transaction équitables exigés pour ce service. 


| “T.EATON C°.. 


Conseil Provencher 
Winnipeg 


Assemblee récreative 
Nous vous parlions de l’as- 
semblée du 25 prochain dans 
notre chronique de la semaine 


CITE DU VATICAN — Le car- 
dinal Alfredo Ottaviani, prose- 


cré-Coeur de Winni le mer- x n : yu } ù 
credi 17 février. à 10 PÉRNES dernière, Tel qu'annoncé, nous |crétaire de la Sacrée Congréga- 
; , ° |aurons une courte assemblée | tion du Saint-Office, a pris pos- 


tion se fit dans le cimetière pa- 


| d'affaires, à 8 h. précises, après 


session de son titre de protecteur 


roissial d'Aubigny. as le he ” A iaurent, | de l'Institut français des chanoi- 
onférencier du Conseil, nous |nes réguliers de l'Immaculée Con- 
MME WILLIAM GLADU présentera une vue parlante | ception. 


Mme William Gladu (née Ma- 


fut chanté en l'église du Sacré- 
Coeur de Winnipeg le mardi sui- 
vant, 16 février, à 10 h., et l’inhu- 
mation se fit dans le cimetière 
de St-Boniface. 

Le salon mortuaire Coutu diri- 


| geait les funérailles. 


Mme Gladu laisse dans le deuil, 
outre son époux, 2 filles, Mmes 
A. Palmer, d'Edmonton, et G. 


| Mitchell, de Winnipeg: 2 fils, E- 


tous deux de 

Xa- 

vier, Charles et Paul Leclair, tous 

de Winnipeg, et 2 petits-enfants. 
D LA LA 


Albert, 


MME E. OLIVIER 
A l'hôpital St-Boniface, le di- 
manche 14 février, est décédée 
Mme Eveline Olivier, de 470, ave 


| River, Winnipeg, à l’âge de 70 ans. 


La défunte laisse dans le deuil 


Corydon, est décédée le samedi|des Chevaliers sont invitées à 
113 février à l'hôpital Victoria, | cette soirée et le tout sera arrosé | 
à l’âge de 51 ans. Son service | de rafraichissements appropriés. 


x : | française 
rie-Jeanne Leclair), de 631, ave | 


Mais il y a encore du| 
nouveau à tout cela. Les épouses | 


Dans un discours prononcé à 
cette occasion, il a abordé ka ques- 
tion des prêtres-ouvriers. 

“Dans la recherche des nou- 


Que nos Frères viennent donc 
nombreux le 25 prochain en com- 
pagnie de leurs épouses, 


Mardi 


Les préparatifs de notre gran-| 
de soirée du Mardi gras (le 2 
mars) vont rondement. Le Frère 
St-Laurent y travaille ferme de 
concert avec son équipe dévouée, 
11 nous pardonnera d'en dévoiler 
quelques petits secrets. Nos ama- 
teurs de la danse carrée pour- 
ront y prendre des leçons four- 
nies par les bambins de quatre 
ans, experts en la matière, Il 
faudra arriver de bonne heure, 
naturellement, car ces tout jeu- 
nes ont besoin de leur sommeil 
et seront à la scène vers 8 h. 30. 

De plus, des insignes spéciaux 
seront présentés à sept Cheva-| 


Le jeu de dames 
[au Cercle Ouvrier 


gras 


3 fils, Cyrille, Adélard et Emile|liers qui deviendront membres| S$s i re ème d 
Boisselle; 3 filles, Mmes J.-P. Lu-} honoraires de la Chevalerie, + pet vaut * 
signan, J. Desautels et B. Miron;| après vingt-cinq ans de vie co-| Blancs: Noirs: 
un frère, Wilfrid Beauvais, et 2|]ombienne. 71-65: : 
soeurs, Mmes J, Muloire et P, Et l’on nous promet des amu- 42- 3: 

Saltel. sements pour tous les goûts. 67- 7: 

Les funérailles eurent lieu en e 7-20: 31-14 
l'église du Sacré-Coeur de Win- Notre chapelain 3-25: 43-49: 
nipeg, le jeudi 18 février, à 10 h. Avez-vous parfois des doutes| 925.45 et gagnent k 
et l'inhumation se fit dans le ci-|sur la foi? Quelques aspects de| 2ème problème, par M. E- 


metière Memorial, 
Les arrangements funéraires a- 


| vaient été confiés au salon Coutu, 


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notre religion demeurent peut- 
être incompris. Pourquoi demeu- | 
rer dans le doute pendant des 
années? Et quel laïc n'a pas eu! 
de doutes? 

Notre dévoué chapelain, le R, 
P. Bertrand, se charge volontiers | 


douard Lespérance: 
Noirs: 13, 14, 20, 23, 25, 27, 29, 
30-D, 36. 


64, 70, 71. 
Les blancs jouent et gagnent. 


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prospérité terrestre, parlent au- 
jourd'hui davantage du pain tem- | 
porel que du pain céleste, et ils | 
parlent peu du Christ et de sa| 
croix.” | 
Après avoir exalté la 5 : 
| 
| 


PHARMACIE 


D. 20 


de la France, qui, a-t-il dit, “a 


de la foi romaine, et un pays ca- 
tholique par excellence”, le car- 
dinal Ottaviani a déclaré que l’E- 
glise savait ‘adapter avec sages- 
se les méthodes traditionnelles 
aux exigences modernes, sans 
pour cela faire des sauts dans le 
noir, ou adopter des méthodes 
plus spectaculaires que sûres et 
efficaces du point de vue sacer- 
dotal, méthodes qui font bon mar- 
ché des grâces surnaturelles dont 
nous devons être ministres et non 
pas seulement témoins”, | 

“Vous unissez la prière et l'ac- 
tion dans un même ministère, a 
dit le pro-secrétaire de la Congré- 
gation du Saint-Office à ses au- 
diteurs, vous comprenez et sou- 
tenez le pauvre et l’ouvrier, vous 
repoussez la lutte des classes, vous 
ne dissociez pas la famille reli- 
gieuse de la paroisse, et de tout 
temps, exaltant la dignité du chré- 
tien dans le laïcat, vous avez une 
idée saine du sacerdoce.”’ 

Le cardinal Ottavlani à dit en- 
suite que l’action paroissiale était 
supérieure à toute autre forme | 
d’apostolat qui ne tiendrait pas| 
compte de la paroisse et de la fa-' 
mille. 


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